Code général des impôts

……………………………………………….9 C- Progression soutenue des recettes fiscales ………………………….10 I Vers plus de transparence des informations fiscales et d’équité : ………12 A- Le droit de contribuable : ……………………………………………12 B- Edition du code général des impôts : ………………………………..13 C- Quelques mesures dans le cadre de projet loi de finance 2007 ……14 Conclusion……………………………………………………………………. 14 Introduction : La reforme est la modification délibérée du système fiscal existant ;

Dédicaces……………………………………………………………………………………………………………………..2 Remerciement………………………………………………………………………………………………………………3 Abréviations…………………………………………………………………………………………………………………5 Introduction…………………………………………………………………………………………………………………6 Premier chapitre : Présentation de Direction Générale des Impôts: IMissions de la DGI………………………………………………………………………………………….8 IILa stratégie de la DGI…………………………………………………………………………………….9 IIIOrganisation de la DGI………………………………………………………………………………….10 1) Le service central…………………………………………………………………………………….11 2) Effectifs

l’objet d’une codification dans le cadre du Code Général des Impôts (CGI). Les principaux impôts qui le composent sont : • • • L'Impôt sur le Revenu (IR) qui concerne les revenus et bénéfices des personnes physiques et des sociétés de personnes, L'Impôt sur les Sociétés (IS) qui concerne les revenus et bénéfices réalisés par les sociétés et autres personnes morales, La Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA), qui s'applique aux dépenses de consommation, Impôt sur le Revenu (IR) Définition L’IR s’applique

agents des douanes peuvent exiger sans préavis, à des fins de contrôle statistique, la communication des documents nécessaires à l’établissement de la déclaration prévue au 2 chez toute personne physique ou morale tenue de souscrire celle-ci. Code général des impôts, éd. Dalloz, 2011. La déclaration d’échanges de biens (DEB) a pour but de réaliser des statistiques sur les échanges entre les entreprises des pays membres de l’Union européenne. Elle vise aussi à contrôler ces échanges et à justifier les

très difficile la compréhension du phénomène. Le législateur marocain touché également par la confusion terminologique du phénomène n’a pas expressément définis la fraude fiscale. Dans le titre premier « sanctions en matière d’assiette » du Code Général des Impôts Marocain, les seuls actes réprimés fiscalement sont :  Le défaut ou retard dans les dépôts des déclarations du résultat fiscal , des plus-values, du revenu global, des profits immobiliers, du chiffre d’affaire, des actes et des conventions

précise de l’impôt mais il faut retenir que sa fonction essentielle est d’assurer la couverture des dépenses publiques .Le budget 2010 prévoyait des recettes fiscales d’un montant de 283 Millions d’euros. La Direction générale des impôts propose une définition fonctionnelle. Les impôts sont des prestations pécuniaires mises à la charge des personnes physiques et morales en fonction de leurs capacités contributives et sans contrepartie déterminée, en vue de la couverture des dépenses publiques et de

verrons très loin que cette définition de l'intention frauduleuse correspond avec celle que d'autres droits et doctrines donnent de la fraude fiscale. B. En droit comparé En droit français, la fraude fiscale est définie par l'article 1741 du code général des impôts qui dispose : « Quiconque s'est frauduleusement soustrait ou tenté de se soustraire frauduleusement à l'établissement ou au paiement total ou partiel de l'impôt ; soit qu'il ait volontairement omis de faire sa déclaration dans les délais prescrits ;

    LES MODIFICATIONS DU CODE  GENERAL DES IMPOTS                1      INTRODUCTION      1 La  loi  n°2014‐011  du  14  août  2014  portant  Loi  de  Finances  rectificative  2014‐  modifie et complète les dispositions des articles du Livre I et du Livre  III du code  général des impôts sans création d’impôts nouveaux     2 Est présenté ci‐après le sommaire des titres, chapitres et sections touchés par les  articles modifiés      LIVRE I‐ IMPOTS D’ETAT    1‐ IMPOTS SUR LES REVENUS (IR)  1‐1

I. – Le I de l’article 197 du code général des impôts est ainsi modifié : 1° Le 1 est ainsi rédigé : « 1. L’impôt est calculé en appliquant à la fraction de chaque part de revenu qui excède 6 011 € le taux de : « – 5,50 % pour la fraction supérieure à 6 011 € et inférieure ou égale à 11 991 € ; « – 14 % pour la fraction supérieure à 11 991 € et inférieure ou égale à 26 631 € ; « – 30 % pour la fraction supérieure à 26 631 € et inférieure ou égale à 71 397 € ; « – 41 % pour la fraction

1115 du code général des impôts, sous lequel M. X... s'était placé, en raison d'anomalies dans la tenue du répertoire prévu par l'article 852 du même code ainsi qu'en raison de l'absence de revente de certains biens qu'il s'était engagé à revendre dans le délai légal ; qu'après rejet de ses réclamations, M. X... a saisi le tribunal de grande instance afin d'obtenir le dégrèvement des droits d'enregistrement et pénalités mis en recouvrement ; Sur le premier moyen : Vu l'article 2 du code civil