Cognitivisme

Psychologie 4 points de vue théoriques = éclairer le comportement humain d’une manière large A. Comportementalisme (le behaviorisme) Apprentissage (pas mémoire et pensée) B. Cognitivisme Apprentissage + Mémoire et pensée + Développement C. Systémique Communication + Violence D. Psychanalyse Sexualité + Développement + Psychopathologie + Culture et lien Social + Violence Domaines privilégié par une théorie. - Cela ne veut pas dire que les théories ne s’intéressent pas aux autres domaines

sont expliquées par les processus de conditionnement et de renforcement. L’innéisme ou nativisme est rejeté ainsi que tout concept mentaliste (non observable) ; c’est surtout le cas des premiers béhavioristes (Watson, Skinner). Sous l’influence du cognitivisme, les psychologues néo-behavioristes admettent des intermédiaires entre le stimulus et la réponse et tentent d’opérationnaliser des concepts « non observables » (Tolman, Hull, Bandura), mais ne tiennent pas ou peu en considération le rôle de l’hérédité

blocages psychologiques de l’apprentissage (théorie de l’apprentissage organisationnel d’Argyris et Schön) ou sur les ressorts affectifs et métaphoriques de la création de connaissance (Polanyi, Nonaka, Takeuchi), • aux critiques du rationalisme et du cognitivisme articulées par trois courants de recherche issus de divers horizons disciplinaires (pyschologie, anthropologie, sociologie, linguistique), présentant de réelles convergences entre eux et esquissant une alternative aux théories rationalistes et

réponse. Cependant les cognitivistes ne remettent pas en cause le principe du lien entre le stimulus et la réponse, mais ils préfèrent s’attacher à comprendre ce qu’il se produit entre les deux. Selon George et Richard en 1982, le projet fondateur du cognitivisme est « d’identifier les processus mentaux, même inconscients, qui s’intercalent entre stimulus et réponse ». La principale différence, entre ces deux principes, réside dans le fait de vouloir s’intéresser à « la boite noire », comme l’appellent

l'approche est de considérer la cognition comme étant essentiellement informatique par nature, avec l'esprit jouant le rôle de logiciel et le cerveau celui de matériel. L'approche du traitement de l'information en psychologie est étroitement associée au cognitivisme en psychologie et au fonctionnalisme en philosophie, bien que les termes ne soient pas tout à fait synonymes. Le traitement de l'information peut être séquentiel ou parallèle, les deux pouvant être soit centralisés ou décentralisés (distribués)

comportements jugés pathologiques, à partir d’un nouvel apprentissage constitué de processus deconditionnements. Deux branches : Psycho-réflexologie (Pavlov), Béhavioriste (Watson) ------------------------------------------------- Courant cognitivisme (conduite) : Le courant cognitiviste est issu des travaux sur la logique et les mathématiques, et surtout du développement de l'informatique. Capacité virtuellement de raisonner comme un cerveau humain. L'idée est émise d'une représentation mécanique

l’expérimentation et les mesures comportementales qui comprennent notamment la mesure de temps de réaction ou du temps nécessaire à une opération, la précision de la réponse, des données physiologiques… (Ex la peur a une influence physio) 5.4 Cognitivisme Cela désigne le courant de recherche scientifique endossant l’hypothèse que la pensée est un processus de traitement de l’information (ex : peur = danger = cerveau ordonne de fuir) C’est un paradigme scientifique constitué au moment de la révolution

courant théorique appelé behavioriste qui cherchait à établir des lois mettant en relation les évènements survenants dans l’environnement S et les variations observés dans la conduite des sujets, ce sont les réponses R. Un autre courant théorique, le cognitivisme, va plutôt insister sur le rôle des activités mentales qui s’intercale entre le stimulus et la réponse. Cours de psychologie cognitive Issep ksar said S.Mouelhi Guizani 12 • Dans cette approche, on va mettre l’accent sur les connaissances

langage et le guillaumisme dans la perspective des recherches cognitives », in P. de Carvalho & O. Soutet, Psychomécanique du langage. Problèmes et perspectives, Paris, Champion, 1997, 329-338 ; Walter Hirtle, « La psychomécanique du langage et le cognitivisme : Un point de vue guillaumien » in Patrick Duffley, Renée Tremblay, Walter Hirtle (textes de), Psychomécanique du langage et linguistiques cognitives. Actes du XIe Colloque international de l’AIPL, Limoges, Lambert-Lucas, 2007 ; Catherine Fuchs

qui résulte des interactions que l’on va avoir avec l’objet. * Cognitivisme : tendance à considérer les connaissances comme des prédicateurs des conduites. On essaye déjà de voir quelles sont les propriétés des connaissances. On part du principe que l’organisation des connaissances est un moyen de savoir à l’avance si le comportement attendu sera obtenu. On est déjà dans quelque chose qui relève de l’approche cognitivisme car on s’intéresse aux connaissances et aussi au contenu et à leur organisation