Comité de salut public

sa compagnie d’Ores et Déjà nous invite sur les bancs du Comité de Salut Public aux côtés de Saint-Just l'enflammé et impulsif, Carnot, le charismatique Robespierre, et les autres, qui ont dirigé la France durant quelques mois, entre 1793 et 1794, pour faire face aux dangers qui menaçaient la première République française. Ils sont là, avec des costumes du vingtième (pas du vingt-et-unième) siècle. Au début de la pièce, les membres du comité ne sont pas souvent du même avis et échangent des arguments

3/ Action pendant la Révolution : Le Tiers-Etat (le peuple) renversa l'ordre établi et la Révolution éclata. En janvier 1793 le roi Louis XVI fut guillotiné et en octobre la reine Marie-Antoinette. Au mois d'août fut institué un « comité de salut public » ( comité de membres élus pour proposer des mesures rapides face aux menaces pesant sur la France) qui sous la direction de Danton puis de Robespierre gouverna la France. La Révolution se fit très violente. Froid et ambitieux, Robespierre prit

avec Panis, Duplain et Marat -, redoutaient très fort la publicité qui pourrait être faite, après le 10 août, sur leur prévarications passées, dans le cadre d'une procédure, même extraordinaire, avec témoins, défense, pièces à conviction et débats publics. Mais hypothèse n'est pas preuve. Danton, comme Roland, ministre de l'intérieur dont c'était la tâche, n'a, comme le maire Pétion, pas pu empêcher les massacres dont la non exécution dépendait uniquement de Santerre, commandant de la Garde nationale

décréter une constitution démocratique, qui est connue dans l'histoire sous le nom de Constitution de 1793 et qui ne fut jamais mise en activité. Les échecs des armes françaises amènent la chute du premier comité de Salut public, où Danton était prépondérant, et l'établissement da second comité, qui sera bientôt sous l'influence de Robespierre. Le 13 juillet, le conventionnel Marat est assassiné par Charlotte Corday : cet événement, coïncidant avec les périls extérieurs, décide la Convention aux mesures

et s'oppose à la Gironde. Après les journées du 31 mai et du 2 juin 1793, il entre le 27 juillet 1793 au Comité de salut public, où il participe à l'instauration d'un gouvernement révolutionnaire et de la Terreur, dans un contexte de guerre extérieure contre les monarchies coalisées et de guerre civile (insurrections fédéralistes, guerre de Vendée...). À la suite de la victoire des comités contre les factions au printemps 1794, il contribue à faire cesser la politique de déchristianisation et

le 28. 11. 1759 - Paris le 5. 4. 1794 * Il fonda le club des Cordeliers. * Membre de la Commune et du directoire du département de Paris * Ministre de la justice et membre du Conseil exécutif provisoire après * Membre du Comité de salut public * Il réclama la fin du régime de la Terreur Camille Desmoulins * Publiciste et homme politique français * Guise 1760 - Paris 1794 * Avocat au parlement de Paris * Il publie de violents pamphlets contre la monarchie

attaquent le palais des tuileries et s’empares du roi. Le 22 septembre la république est proclamé par la convention. Face aux dangers extérieurs et intérieurs, les montagnardes nomment un comité de salut public, sa va être Robespierre. Robespierre met la terreur à l’ordre du jour. Les Mesures prises par la comite de salut public, levée en masse, recrutement d’un million de soldats, loi des suspects : permet d’emprisonner et de guillotiner tout se qui son contre, la loi maximum fixe le prix des produits de

révolutionnaire établie à Paris à la suite de l’émeute du 14 juillet 1789) après l’insurrection du 10 août 1792, puis député à la Convention, il devient le chef des Montagnards. Hostile aux Girondins, il provoque leur chute (mai-juin 1793). Entré au Comité de Salut Public (juil.1793), il est l’âme de la dictature, affirmant que le ressort de la démocratie est à la fois terreur et vertu ; il élimine les hébertistes (mars 1794) et les indulgents menés par Danton (avril 1794), puis inaugure la Grande Terreur (juin

1. Le discours de Maximilien Robespierre «les principes du Gouvernement révolutionnaires» est sans aucun doute, un témoignage volontaire puisqu’il débute son discours en interpelant la foule de manière à leur faire comprendre qu’ils sont le public cible de ce message telle que cette citation le prouve: «Citoyens, représentants du peuple, […].» De plus, le discours de Maximilien informe les membres de la convention sur la théorie du gouvernement révolutionnaire lors de la révolution. 2. Le discours

contre-révolutionnaire de Bretagne contre les partisans de la République. Il sera traqué par les révolutionnaires, et en particulier par son neveu, Gauvain, passé du côté des révolutionnaires, lui-même surveillé par son tuteur Cimourdain, mandaté par le Comité de Salut Public. On assiste à la confrontation de deux modèles, de deux visions de l'Histoire, de deux systèmes de Valeurs. Le marquis de Lantenac incarne l'Ancien Régime, celui du Sacré, de la Tradition, de la Fidélité, de l'anti-matérialisme au profit