Communard

Les communards. Qui étaient les communards ? Les communards sont des hommes qui composent la Commune. En effet, ce mouvement est apparu suite à un soulèvement des Parisiens le 18 mars 1871. Dans Paris, les communards sont nombreux, dans les environs de 200 000 dont 30 000 opérationnels. Ils sont issus de partis politiques (comme jacobins centralisateurs, blanquistes, marxistes internationalistes, indépendants ou anarchistes..) et de métiers différents. Ce mouvement est donc bien associé à différent

Nationale sont retirés, les français développèrent un mouvement constitué de communards. Nous pourrons nous demander quels étaient les motivations de ces communards jusqu'à la fin du mouvement. Nous verrons dans un premier temps les objectifs des communards pour ensuite traiter des raisons de l'échec de ce mouvement. Dans une première partie, nous allons voir quelles étaient les différentes motivations des communards et quelles étaient les organisations qu'ils proposaient. Premièrement, selon

Certaines d'entre elles écrivent des articles, des livres. Durant la Semaine sanglante, elles combattent en nombre sur les barricades. Quelques noms restent dans les mémoires : Louise Michel, Nathalie Lemel, André Léo, Elisabeth Dmitrieff, mais les communardes anonymes entrées dans le combat sont nombreuses. Bourgeoises déclassées qui ont rompu avec leur milieu et vivent d'un métier, mais surtout simples prolétaires, ouvrières, institutrices, relieuses, cantinières, blanchisseuses, petites commerçantes

s’oriente, avec le poids prépondérant des campagnes, vers des positions de plus en plus conservatrices, qui remettent en cause l’idée républicaine ? I) Le mouvement communard ne se limite pas à Paris et trouve des racines profondes dans les idées socialistes - on a souvent parlé de la Commune de Paris, mais le mouvement communard touche de nombreuses grandes villes de province, constituant ce qu’on a pu appeler une République des villes A. La République des villes : grandes villes ouvrières

fort du Mont-Valérien, ce qui est un immense avantage car il domine la banlieue Ouest de Paris. Les Versaillais s'emparent alors de plusieurs points stratégiques. La Commune vote alors le 5 avril le décret des otages (trois otages fusillés pour un communard exécuté) qui sera appliqué durant la Semaine Sanglante. Les Versaillais continuent de prendre des villages et le 8 mai, l'enceinte fortifiée de Paris est bombardées de Grenelle à Passy et le 9 mai, le fort d'Issy est pris par les Versaillais.

Pendant la guerre avec la Prusse, fonde le journal La République des travailleurs et participe à la Commune de Paris. * échappe à la répression de la Semaine sanglante * s'exile en Suisse > compagne de Benoît Malon (militant ouvrier, communard, journaliste) * « mariage libre » * Voyage en Europe et se consacre à l'étude de la condition féminine de son temps. Elle rentre à Paris après l'amnistie de 1880, et collabore à la presse socialiste. * Elle meurt en 1900 à Paris, et

civile. Enfin dans ce récit on peut voir que l'auteur réussi mêler la syntaxe et la disposition du texte pour développer ses idées et faire "vivre" le texte au lecteur. Ce récit nous parle donc de la révolte de la Commune en 1871, lorsque les communards sont attaqués par les troupes versaillaise. De ce fait, le récit est-il totalement pessimiste, ou au contraire, le personnage a-t-il encore une once d'espoir dans son discours ? La révolte fut engagée par de jeunes gens, par le bas peuple, le récit

Drouet, coll. « L'Imaginaire », Gallimard, 1951. La Légende de Victor Hugo, Mille et une nuits, Paul Lafargue, (texte original : La Légende de Victor Hugo de 1817 à 1873, parue dans la Revue socialiste, ). Pamphlet virulent, écrit par un ancien communard, et à contre-courant, accusant l'écrivain de n'être qu'un bourgeois opportuniste, écrit en 1885 (La Légende de Victor Hugo sur Wikisource). Marieke Stein, "Victor Hugo vient de mourir" les funérailles du siècle in Dans les secrets de la police

attaquent vers Versailles mais sont arrêtés par le canon du Mt Valérien ; le Général Emile Duval né en 1840 pris et fusillé avec son chef d'état-major ; les Versaillais attaquent Neuilly, prennent Courbevoie et Châtillon ; prise de 74 otages par les communards (dont l'archevêque de Paris Mgr Darboy) ; institution d'un comité de salut public ; 70 000 versaillais entrent à Paris par le bastion du Point-du-jour, dégarni ; "semaine sanglante" : Paris conquis rue par rue ; incendie : Hôtel de ville, Quai

PRESENTAION DU MEMOIRE : Communards et anarchistes en prison sous la IIIème République (1871-1914) Le mémoire que nous présentons ici s’intitule Communards et anarchistes en prison sous la IIIème République (1871-1914) et traite donc de répression politique en abordant celle de ces deux mouvements, que sont la commune de Paris et l’anarchisme et plus particulièrement des conditions d’incarcération des acteurs de ces mouvements condamnés à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle