Communard

l'épisode de la Commune, il se trouve à Bruxelles suite au décès de son fils mais ne cachant pas sa sympathie pour les communards exilés, il est expulsé de Belgique pour "trouble de l'ordre public". Après un détour par le Luxembourg plus accueillant, il regagne Paris et se présente sans succès, à deux élections partielles. A chaque fois, il réclame l'amnistie pour les communards mais les électeurs parisiens, partisans de l'ordre ne le suivent plus. Photographie de Victor Hugo à la fin de sa vie

de l’insurrection communarde. Ayant supporté l’essentiel du poids de la guerre, la ville de Paris admit mal les choix de Thiers qui déplaça l’Assemblée à Versailles, démobilisa les mobiles et gardes nationaux, privant de nombreux ouvriers de revenus, exigea le paiement des échéances dont le non paiement menaçait de ruine 50 000 petits commerçants, et abolit la suspesnssion provisoire sur les loyers.La révolte éclata alors . Le gouvernement rassembla une armée que les communards appellent versaillaise

est proclamée.(napoléon III meurt en 1873 en Angleterre ou il avait fuit après sa libération). A la fin de la guerre contre le Prusses , donc après la défaite de Napoléon III il y eu la commune de paris ce sont en fait des communards qui se révolte, parmis ces communards nous pouvons trouver des personnages historique comme Jules Vales , écrivain d'une trilogie décrivant cette époque; Karl Marx , lui profite de la commune pour promouvoir ses idées socialiste et enfin Hugo , d'abord royaliste il

libéralisation de la presse. Si la Commune voit éclore une floraison de titres communards tout comme anti-communards, l’Ordre moral renoue ensuite avec la réglementation de la presse. Dès juillet 1871, la loi sur le cautionnement préalable à la diffusion d’un journal est rétablie, la taxe postale est doublée et le papier est surtaxé. L’ordre est donné de supprimer tout journal suspecté de collaborer avec d’anciens communards et on entrave également le colportage. Jusqu’en 1875, dans 42 départements,

programmes donnés. Ce qui ressort de ce texte est que la Commune se veut défenseur de la République. Il reprend une partie du programme des radicaux de Belleville. Mais les communards se veulent aussi avec une orientation sociale. Il y a toute une partie qui évoque un projet de décentralisation c'est à dire que les communards rêvent d'une France qui serait une organisation de communes autonomes et fédérées pour constituer le régime français. Cela créer une réaction immédiate au centralisme de

franco-prussienne (1870). Le roman s’achève sur la répression sanglante qui a mis fin à la Commune de Paris (28 Mai 1871). Jean Macquart, bouleversé par la mort d’un ami contemple, dans les dernières pages du roman, la capitale incendiée par les Communards désespérés. Voici donc le texte : Jean, plein d’angoisse se retourna vers Paris. A cette fin si claire d’un beau dimanche, le soleil oblique, au ras de l’horizon, éclairait la ville immense d’une ardente lueur rouge. On aurait dit un soleil

disciples d'Auguste Blanqui -  « l'Enfermé »  qui est, d'ailleurs, de nouveau en prison, loin de la capitale, au moment où ses disciples Ferré et Rigault prennent en charge la police et le maintien de l'ordre dans le Paris communard. Or toute la vie politique de ce révolutionnaire ardent est placée sous le signe de la barricade. C'est en 1827 - l'année où reparaît cet antique mode de combat parisien - que le jeune Blanqui participe pour la première fois à une bataille de rues

appelés les communards (ou fédérés). Ils forment alors un gouvernement avancé à l’hôtel de ville : c’est la commune de Paris. L’élément ouvrier est prépondérant et ils souhaitent de grandes réformes sociales. Fin mai 1871, l’armée gouvernementale venant de Versailles, entre dans Paris qui est hérissé de barricades. Cette armée écrase la commune de Paris en flamme : c’est la semaine sanglante dans une ambiance de guerre civile (otages fusillés). La dernière résistance des communards se déroules

ce vers « « Paris, mon cœur, trois ans vainement fusillé » fait référence aux 30 000 Communards fusillés par les Versaillais en 1871, alliés de circonstance des prussiens qui occupaient Paris. Les Communards s'étaient dressés contre le gouvernement d'Adolphe Thiers à la suite de la défaite de Sedan et du traité de Versailles. Pour Aragon, il y a une filiation historique entre De Gaulle et le général communard Cluzet tandis que Pétain s’assimile à Thiers. Aragon avec l’emploi du futur,  « il

la Cour pénale fédérale ou une autorité administrative fédérale, ainsi que pour les affaires pénales militaires jugées par le tribunal fédéral. Elle a été crée pour diminuer les rigueurs de la justice militaire qui réglait le sort des « communards », («communard » c’est un individu désigné ainsi en regard à sa participation aux événements de la Commune de Paris (1871) ce sont des personnes qui voulait la séparation de L’église et l’Etat. Elle fut désignée par le surnom de « Commission des assassins »