Communard

programme est mis en place. La minorité proudhonienne propose un projet politique (association libre/ volonté de fédérer toutes les Communes de France donc de créer une République fédérale) et un programme d'action immédiat pour la capitale. Les communards se prononcent ensuite sur différentes mesures: * Tout d'abord ils se prononcent en faveur du retour au drapeau rouge. Ce point-là est très important car il marque la volonté de la Commune d'affirmer sa vocation sociale et de révolte que symbolise

de la condition ouvrière • représenté son électeur durant les 72 jours, améliorer la situation sociale • Oeuvre générale de la Commune dirigée vers la condition sociale - Dans sa continuité le programme est d’une radicalité évidente • Procès des communards, Jacques Rougerie (un parisien écrit en province) • « Nous serons plus heureuses que lorsque nous n’aurons plus ni patrons, ni riches ni prêtres » - Programme politique en avance sur son temps, un « Etat ouvrier » (organisation) • 9 commissions

nombre de mesures parmi lesquelles: L’école primaire gratuite et laïque. Séparation des églises et de l’État. Création de coopérative ouvrière.Ces mesures ne peuvent pas être appliquer à cause de la guerre civil, qui va opposer les communards et les Versaillais. Communards: Partisans de la Commune. Ce terme, utilisé par les historiens, était péjoratif à l’époque. On préférait alors parlais de «fédérés» en référence à l’uniforme de la fédération de la garde nationale qu’ils portaient.

entre «Versaillais et communards». Le 21 mai, Adolphe Thiers chef du gouvernement de Versailles, envoya des troupes sous le commandement du général Mac Mahon. Au bout d’une semaine, du 21 au 28 mai «la semaine sanglante», l’armée, avec l’appui de Bismarck (qui fait cause commune avec le gouvernement français devant l’ennemi de classe) qui consentit à l’augmentation des troupes de 40.000 a 130.000 et qui renvoya même des prisonniers de guerre, l’emporte sur les communards. Cette victoire est

lorsque Thiers veut récupérer les canons de la garde nationale, sur la colline de Montmartre. Etablissant une commune socialiste et prônant des valeurs égalitaires, les communards sont alors écrasés par l’armée puis fusillés ou déportés lors de la semaine du 21 au 28 mai. C’est la semaine sanglante, faisant 30 000 morts chez les communards. 1873 : -24 mai  Thiers est remplacé par Mac-Mahon, royaliste convaincu, après avoir été blâmé par ce dernier devant la chambre. Le but de Mac-Mahon est de restaurer

l’occupation des Prussiens, qu’ils ont vécue comme une humiliation, et victimes d’une situation économique des plus déplorables, décident de se rebeller. Thiers laisse alors la capitale livrée à elle-même, qui s’érige rapidement en Commune. Le communard est héritier d’une forte culture révolutionnaire. Sous la Commune, l’école devient obligatoire, gratuite, laïque et professionnelle, permettant notamment cette émancipation tant désirée du peuple par l’école. Ils sont de plus anticléricaux, suppriment

mars : échec de la tentative de conciliation entreprise par les députés et maires parisiens. Annonce d'élections pour créer un Conseil de la Commune. 21 mars : Les troupes versaillaises occupent le Mont-Valérien. Manifestation anti-communarde des Amis de l'Ordre. 22 mars : Place Vendôme, échec sanglant d'une nouvelle manifestation des Amis de l'Ordre 25 mars : l'Assemblée nationale vote la réintégration de 15 magistrats qui avaient été déchus par le gouvernement de

Michel Peyret 6 juillet 2010 LEFRANCAIS, GUSTAVE. J'en cherchais un, j'en ai trouvé deux. D'abord, bien sûr parce que chronologiquement, le communard. Daniel Bensaîd, qui s'y est intéressé avant moi, dit de lui: « Moins célèbre que Varlin, Vallès, Flourens ou Rossel, il fut pourtant le premier président de la Commune de Paris et, tout Lefrançais qu'il fût, Eugène Pottier lui dédia l'Internationale. » La piste apparaît bonne à suivre... Le second se présente plutôt de façon

les troupes du gouvernement surnommées les Versaillais par les communards investissent Paris. Les révoltés mènent un combat désespéré. Ils incendient des monuments comme le palais de Tuileries ou l'hôtel de ville pour ralentir l'avance des versaillais. Après l'exécution de l’archevêque de Paris par les communards (Marx écrira que c'est Thiers qui l'a assassiné), la répression tourne au bain de sang. Entre 20 000 et 30 000 communards sont exécutés en une semaine. Des milliers de révoltés sont envoyés

revient à Charleville le 10 mars, 8 jours avant le début de la Commune de Paris. On ne sait pas s'il s'est engagé avec les francs-tireurs entre avril et mai 1871, mais dès le départ il prend pari pour les insurgés et commence à écrire ses poèmes "communards". Le 10 juin 1871, Rimbaud demande alors à Paul Demeny de détruire "Les cahiers de Douai". C'est à l'été 1871 qu'il va rencontrer Verlaine. Les cahiers de Douai, les premiers poèmes Rédigé après sa première fugue à Paris d'août 1870, chez les