Communautarisme Et Multiculturalisme

limites de notre village, ce sont des barbares ! ». C’est un phénomène universel. Dans la définition des sciences sociales, l’ethnocentrisme dévalorise la diversité culturelle et l’ethnocentrisme peut également se réaliser, se développer dans le communautarisme identitaire, dans le nationalisme, dans le colonialisme ou encore dans le racisme. LA XENOPHOBIE : On le confond avec le racisme. C’est l’hostilité à l’égard d’un groupe social, d’un individu qui est perçu comme un étranger dans le double

langues régionales a montré, s’il en était encore besoin, que la situation n’a pas fondamentalement évolué. Nous assistons même aujourd’hui à une nouvelle diabolisation du régionalisme, de l’ethnisme ou du communautarisme, qui relève dans une large mesure du fantasme. On parle de « communautarisme » sans avoir la moindre idée de ce qu’ont pu écrire les théoriciens communautariens. On continue de célébrer le refoulement ou la liquidation des identités comme une « émancipation »52. On disqualifie les

qu'on ne le pense, le sentiment organique d'être français existe. Certes, des apprentis sorciers agitent la menace du communautarisme , insinuant que des groupes sociaux, ethniques ou religieux s'organiseraient pour neutraliser l'Etat et exiger des droits spécifiques ou des accommodements contraires à la République. Ce scénario régressif nourri d'images réductrices sur le multiculturalisme américain relève du fantasme. Si l'on prend le seul sentiment religieux, l'étude publiée en 2009 par l'institut Gallup

position d’une nature humaine mais dans ses relations. C- Le sens de l’Humain face au défi de la diversité 1- Les dérives du relativisme artificialiste : pour une critique du relativisme culturel. a- du relativisme au tolérantisme et au multiculturalisme. De ce que tout ce que fait l'homme est de l'ordre de l'artifice, certains en concluent que tout se vaut, qu'il n'y a pas de nature qui permette de hiérarchiser ou disqualifier certaines pratiques. Le double postulat du relativisme culturel

quelle est l’ampleur réelle des discriminations dans le monde du travail ?). Hors du cercle étroit des experts, le débat est dominé par des approximations (par exemple sur la réalité des expériences étrangères) et des fantasmes (par exemple sur le communautarisme) qu’on aimerait voir disparaître. Le choix des moyens pour répondre au défi de la « discrimination raciale » n’est malheureusement pas simple. C’est un débat largement inédit pour la société française. On s’illusionnerait pourtant à vouloir trouver

société et soumettre l’Homme à la finalité collective. HYPOTHESES - CONCLUSIONS. Huxley teste les hypothèses de fonctionnement de son Utopie. Toute société est un conditionnement qui rejette tous ceux qui ne le respectent pas. La thèse du multiculturalisme est une justification de l’aculturation des sociétés dominées par les sociétés dominantes. La Science, détournée de sa fonction de recherche objective de la vérité et mise au service de la rationalisation de la société, sert de justification

liberté individualiste chère aux libéraux qui met en danger les communautés. C’est là qu’on aborde les sociétés où se côtoient plusieurs communautés religieuses, ethniques, nationales… I. La société « multiculturelle » Comment gérer le multiculturalisme ? La question multiculturelle est une question que beaucoup de systèmes politiques ne se posent pas. L’ancien régime français (absolutiste) n’était pas absolutiste au niveau culturel : il demandait à ses sujets l’obéissance, et ça s’arrêtait

ethniques Introduction ........................................................................... Les clubs de football « communautaires » et l’immigration turque en France et en Allemagne ...................................................... Multiculturalisme et sport à Madrid – Un processus d’intégration .. L’implication des filles de culture arabo-musulmane en faculté d’éducation physique et sportive – Etude comparative sur les pratiques motrices des étudiantes de France et de Tunisie ......

des discussions qui ont lieu aujourd’hui en philosophie politique à propos du passage qui s’effectue, par dégradation croissante entre les perspectives philosophiques du libéralisme communautarien et les perspectives idéologiques du multiculturalisme et du communautarisme, perspectives qui, sur deux registres différents mais en définitive assez proches en même temps, actent l’« impossible » acculturation d’un projet assimilationniste et son ambiguïté duale, celle du différencialisme. S’il semble « facile »

les années 1960, un tiers des américains est incapable de se positionner socialement. Au passage il y a un lien entre le fait que dans la société américaine ce sont les logiques identitaires et d’appartenance que l’on qualifierait en France de communautarisme. Les deux grands partis dominant ne font rien pour activer ce type de clivage en utilisant le moins possible la question sociale, et ils n’ont pas d’ailleurs d’identité sociologique bien déterminé. Au contraire il y a un consensus sur les institutions