Communautarisme Et Multiculturalisme

fécondité. Société MULTIETHNIC. Pop répartie inégalement dans territoire, forte disparité sociale et ethnique. Pop essentiellement urbaine et mobile. Flux interne essentiellement vers SUNBELT . b)Une société cloisonnée Population multiculturalisme et communautarisme fort. (bcp parle pas anglais..etc) Inégalité entre les communautés fragilise la société américaine: violence interethnique. Mais cette pluriethnicité est également un atout (diversité de conso, apport culturel, partenariat éco avec

communi- la question d’un bien culturel mondiale. Et de l’autre cation des médias est différente selon les classes côté la résistance face à la mondialisation qui prend moyennes ou les classes populaires mais n’est pas différentes formes de multiculturalisme qui est à la pour autant plus importante chez les unes que chez fois plusieurs cultures populaires (souvent traditionles autres. nelles ou minoritaires)…. Idée de diversité et de différence Une étude de la communication de masse ne peut pas se

république et démocratie, il faut mentionner que cette tension s’explique grossièrement par le fait que la république vise l’atteinte du bien commun, alors que la démocratie vise la protection des libertés de chacun. Dans un contexte de multiculturalisme, voire de communautarisme croissant dans la société française, ces deux objectifs en viennent à entrer en conflit. Ce fut le cas lors de l’affaire du voile. On avait ici un conflit entre la liberté de se vêtir et de s’exprimer de la part de jeunes femmes

retiennent ensemble pour des raisons de culture, l’idée de Nation. Elle n’est pas condamnée parce qu’elle est aussi encore le lieu qui peut empêcher, limiter les forces centrifuges qui agissent en son sein (toutes les tentations de divisions, de communautarisme). Ce replis ethnique qui a été porteur de guerre, est difficile à gérer à un autre niveau qu’au niveau de la Nation, seule espace identitaire qu’on peut lui opposer. En France, quand on parle de « communauté », on en parle au sens singulier

nouveau la confusion qui domine. À la fin des années 1990, on avait enfin commencé à voir émerger la question des discriminations comme un enjeu d’action publique distinct des controverse théoriques et idéologiques sur le multiculturalisme et des polémiques stériles sur le « communautarisme » et ses dangers. L’annonce de la nomination d’un « préfet musulman » par Nicolas Sarkozy a malheureusement contribué à rétablir cet amalgame entre le traitement des discriminations ethno-raciales et ce qui relève de

« vivre ensemble » également, les politiques des grands pays d'immigration commencent à s'imposer là aussi et soulèvent de multiples questions quant aux identités nationales : introduction d'éléments de droit du sol pour l'accès à la nationalité, multiculturalisme, lutte contre les discriminations font partie aujourd'hui des nouveaux attributs de la citoyenneté en Europe, malgré une mosaïque de situations. Au Japon, devenu lui aussi terre d'immigration, la politique des « travailleurs hôtes » connaît des

méritocratique : cette visions s’inscrit davantage dans une optique d’équité que d’égalité. Les termes du débat Ces politiques font l’objet d’un débat très animé entre défendeurs des principes républicains et partisans d’un multiculturalisme laissant une place au communautarisme en France. Pour A.M. Le Pourhiet6, professeur de droit public, ces discriminations juridiques ne pourraient être que temporaires et disparaître une fois atteint l’objectif visé, du fait de l’accoutumance au passe-droit et à

celui du multiculturalisme. L’interculturalisme décrit un modèle selon lequel des cultures en contacte mènent un dialogue mais sans que la communication puisse changer ces cultures, qui restent renfermées sur elles-mêmes.[4] Selon le modèle du multiculturalisme par contre plusieurs cultures fermées différentes, dont les membres ont une même identité collective[5], coexistent dans un même endroit géographique mais sans s’influencer[6]. La différence entre l’interculturalisme et multiculturalisme d’un

immigrations intra-européenne ou des immigrations venant du reste du monde. L’arrivée d’un certain nombre d’étrangers en Europe développe un multiculturalisme, qui, parfois, entraine des dérives communautaire, et donc une rupture spatiale et sociale entre les différentes cultures, entre les différents immigrants en fonction de leurs nationalités. Ce communautarisme entraine donc des problèmes de racismes, ou d’antisémitisme ou d’autres problèmes liés. Dans un second temps, l’immigration clandestine est

différences. Nous pouvons penser que l’Amérique retourne vers un « melting pot ». La France quant à elle, peine à s’ouvrir et à se prononcer clairement sur ce marché. En effet, l’omniprésence du débat sur le bien-fondé du républicanisme face au communautarisme montre que la société est devenue multicommunautaire malgré elle. Selon certains chercheurs, identités culturelles et républicanisme ne serait pas incompatibles. De ce fait, il n’est pas question de remettre en cause les idéaux républicains mais