Communautarisme

« positive » aux autres individus du groupe. Cela creuse alors l'écart entre les bénéficiaires et les non-bénéficiaires. L'égalité est alors remise en cause au profit du principe de l'équité. B. Stigmatisation de la société et facteur de communautarisme Mettre en place la discrimination positive rend davantage les gens conscients de leur différence vis à vis de la société. Ils savent alors qu'ils bénéficient d'un traitement de faveur et cela créera alors l'effet inverse: au lieu qu'ils pensent

Front homosexuel d’actions révolutionnaires ) . a)(de la partit 2)Egalite sociale Aujourd’hui les gays ont réussi réussis a se faire une place dans la société . L’homosexualité est passe de contre culture a sous culture. Il y a moins de communautarisme, maintenant tout le monde peut assister a la gay Pride . C’est une faite qui a lieu tout les ans en l’honneur des gays qui se sont révoltés contre les autorités .Depuis 1960, leur situation a bien évoluer en effets il y a une net augmentation

rare de trouver des Soufis habitant avec des Oranais, par exemple. »). Ceci alimente ce que lʼon appelle aujourdʼhui le communautarisme (« notre mode de vie…est notre seul repère »). 4. Quels arguments s’opposent dans le débat sur la question de l’intégration des Maghrébins? Un véritable débat oppose, depuis les années 1980, ceux qui dénoncent le communautarisme des immigrés maghrébins à ceux qui dénoncent les discriminations multiples dont ils sont lʼobjet. Certains, en effet, estiment

Français. Il en est de même pour les Musulmans ou les Juifs qui demandent à l’Etat, au-delà de respecter leurs valeurs, de les intégrer aux valeurs françaises. Cependant, parallèlement à cette montée des revendications communautaires, un anti-communautarisme se met en place. Certaines personnes craignent que le fait d’accorder plus d’autonomie aux communautés ne favorise la désolidarisation de la société française, et qu’en lieu et place d’une société de citoyens nous n’ayons une société de communautés

HALPERN Catherine Communautarisme, une notion équivoque Sciences humaines, n°148, avril 2004. P.8 Faut-il avoir peur des communautés et de leurs revendications ? Un colloque tenu à Sciences po a tenté d’éclaircir la notion de communautarisme, dont l’ambiguïté nourrit aujourd’hui bien des interrogations. [Extr. Intro] OTT Laurent Valoriser le communautaire, pas les communautés Actualités sociales hebdomadaires, n°2526, 12 octobre 2007. P.31 Mise en garde de l'auteur contre le communautarisme PUECH Laurent

marxisme) avec beaucoup de débats à une confrontation identitaire entre « communautés », religions, avec peu de débats. L’appartenance héréditaire (à une communauté, à une religion) est plus importante que les opinions acquises. C’est la montée des communautarismes. Cela est vrai notamment dans le monde arabo-musulman où le radicalisme religieux s’intensifie de même que leur lutte contre l’Occident. Le monde musulman est encore plus en crise, il est « au plus bas ». L’Occident qui reste le « modèle », n’a

toutes les religions, ce qui va engendrer l’apparition de cultures différentes. De plus, la notion de « communautarisme » affirme que, « l’individu n’existe pas indépendamment de ses appartenances, soient-elles culturelles, ethniques, religieuses ou sociales », c’est-à-dire qu’un individu n’existe pas indépendamment de son histoire et de sa culture. Dans l’islam, meilleure exemple de communautarisme, on assiste à un rejet total de toute autres cultures, notamment occidentales. La politique peut aussi

les Tahitiens vivent en harmonie avec la nature, ainsi que l’indique le vieillard lorsqu’il dit : “Nous suivons le pur instinct de la nature« . Cette affirmation catégorique constitue un refus de la civilisation des Européens. Par ailleurs, le communautarisme, exprimé par l’expression »ici, tout est à tous« , est la caractéristique principale de la société tahitienne : les Tahitiens ont le sens du partage et ne font pas de distinction entre le »tien« et le »mien« . Ce sens du partage est mis en évidence

trancher ? Avons-nous besoin culture universelle ? d'une Le relativisme culturel entraîne régulièrement de violents conflits entre les sociétés, parfois au sein même de l'Etat. Il est donc dangereux de laisser les cultures s'enfermer dans le communautarisme et dans une méconnaissance les unes des autres. Cependant, la solution consiste-telle à converger tous vers une culture universelle ? Cette solution n'estelle pas appauvrissante ? Par ailleurs d'où cette culture viendrait-elle ? Les moyens par

un pays, mais au monde. Hugo, Goethe ne s’adressent pas qu’à leur propre pays. Finkielkraut, La défaite de la pensée Toute culture suppose une culture de l’appartenance, mais aussi une ouverture à l’universel, sinon, on aboutit au communautarisme. Repli communautarisme chez de nombreux intellectuels. Voir texte : le rôle de l’intellectuel et de l’engagement, Sartre. => un intellectuel ne doit pas se borner à son groupe social, il faut même qu’il remette en question les valeurs que son groupe social