Communauté Universelle

audience parmi les adolescents, une population caractérisée par son statut social particulier et qui possède ses demandes propres8, comme nous allons l’expliquer plus bas. La famille est une institution sociale, c’est-à-dire un groupe primaire universel dont les formes, quoique relativement stables, peuvent varier selon les sociétés et leur contexte historique9. Elle est aussi un élément social extérieur aux individus et sa durée d’existence leur est supérieure : l’individu naît dans cette institution

patrimoine culturel ne se limite pas aux manifestations matérielles comme les monuments et les objets qui ont été préservés au fil du temps. Cette notion englobe également les expressions vivantes et les traditions que les innombrables groupes et communautés dans le monde ont héritées de leurs ancêtres et transmettent à leurs descendants par voie orale. En tant que force motrice de la diversité culturelle, le patrimoine vivant est très fragile. Ces dernières années, il a reçu une reconnaissance internationale

de la commune de Port-au-Prince, plus précisément les gens les plus vulnérables dans les Zones ciblées seront les principaux bénéficiaires. Parmi ceux-là on considère les chefs de familles qui seront les travailleurs et d’autres acteurs de la communauté : organisations, les églises, les écoles, les marchés formels et informels etc.… Stratégies de mise en œuvre : L’Organisation L’Organisation Collectif des Penseurs pour le Développement Durable d’Haïti , avecla Collaboration et la Participation

bénéficie de droits importants et qu'elle joue un rôle de premier plan dans la société.D'autres part, il faut savoir que :- Les règle de la chevalerie pour les guerriers- L'interdiuction de l'usure pour les plus riches- Les règles de solidarité pour la communautés... sont inspirées directement par l'Eglise. ROLE DE L'EGLISE : LE CATHECHISMEIl s'apprend jeune avec l'aide des clercs, des curés et des Moines mais également de façon permanente dans les églises et les cathédrales par les vitraux, véritable

Ce document est un recueil d’articles réalisé par Franck Mermier, anthropologue, et Elisabeth Picard, politologue et tous deux spécialistes du Moyen- Orient, retraçant un portrait panoramique du conflit de l’été de 2006. Il se compose de quatre parties : le bilan de la guerre, ses conséquences sur l’échiquier politique libanais, la répercussion sur la relation israélo-libanaise et sur la communauté internationale. Les textes sont tirés de nombreux auteurs dont certains experts renommés

réelle participation de la communauté à l’amélioration de sa santé : réflexion sur les besoins, les priorités ; mise en place, gestion et évaluation des activités. Il y a santé communautaire quand les membres d’une collectivité, géographique ou sociale, réfléchissent en commun sur leurs problèmes de santé, expriment des besoins prioritaires et participent activement à la mise en place et au déroulement des activités les plus aptes à répondre à ces priorités »1 « Une communauté [dans ce domaine de la

B) les limites à l’action des collectivités locales La loi sur le domaine nationale sur le principe de l’affectation des terres de la zone des terroirs aux membres des communautés rurales se heurte à des obstacles. Et parmi ces derniers on note au plan juridique deux points essentiels qui ont trait à l’existence de voix de contournement des conditions d’affectation des terres fixées par la loi sur le domaine national d’une part et d’autre part aux problèmes de la compétence des membres des conseils

Ce principe est il solide? Tout d’abord, en matière d’environnement la communauté n’est compétente que si elle établit qu’elle est au meilleur niveau d’intervention par rapport aux états membres (c’est le principe de subsidiarité institutionnelle). Or, en matière d’environnement, cela fonctionne puisque la pollution n’a pas de frontières. Ensuite, il existe en droit communautaire une subsidiarité fonctionnelle : la communauté européenne élabore les normes mais ce sont les états membres qui l’appliquent

Le partenariat Octobre 2010 Programme de Coopération 2010 2012 Note sur la Mise en place des Cadres de Concertation. Dans le cadre du programme de coopération 2010 2012 le dispositif des Cadres de Concertation thématiques a débuté avec la thématique Santé. Ce cadre de concertation va permettre aux collectivités locales du département de Dagana de disposer d’un plan d’action sanitaire élaboré conjointement avec les partenaires techniques

: Raisons p ersonnel les ou psychologique s Raisons m atérie l l es ou économique s Raisons religieuses ou t radition nel les Raisons m oderne s ou sociétal es 1. - À cause du poids des traditions dans certaines communautés : mariages arrangés. 2. – Pour a cquérir une position sociale plus élevée, plus riche ou plus sécurisante . 3. - C’est un des fondements de la société : héritage du patrimoine , des biens ,... . 4. - C’est une tradition