Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice

de ces routes sont privées que l’on doit payer pour emprunter. Les routes à péage existent jusqu’en 1912. Au XIXe siècle, ces routes ont la largeur de deux charrettes et sont régulièrement inondées. En 1800, les Seigneurs de l’île, les Pères du Saint-Sulpice, disent que les routes sont très bonnes et qu’elles sont praticables en tout temps. La réalité est que de nombreuses plaintes sont envoyées aux Sulpiciens sur l’état des dites routes. Le même constat est fait pour les routes qui mènent à la ville-centre

XVIIIe siècle. C'était la période coloniale sous régime seigneurial qui voit l’apparition de la ville marchande, puis ensuite de la ville industrielle, dominée par la finance et le capital. 2. le long d'un axe sud-nord, parallèle à la rue Saint-Denis et Saint-Laurent, vers 1870, en extension rapide ; c'est l'urbanisation résidentielle et commerciale qui ronge les terres agricoles jadis consacrées à l'horticulture, et favorisant l'étalement urbain de faible densité et en grappe, selon la volonté

1. Cercle de vie : La nature influence le mode de vie de quelques communautés autochtones de l’est de l’Amérique. 2. Chaman : ce personnage mystérieux aide les iroquoiens à se sortir du mal avec l’aide des esprits. 3. Inukshuk : Ce symbole dirige les chasseurs de caribou Inuits grâce à sa grande taille. 4. Gallicanisme : Durant le régime français, certaines idéologies croient que les pouvoirs du roi doivent être plus puissants que ceux du pape. 5. Ultramontanisme : À la fin du 16e siècle en

Sarlat, surveille sa formation au collège jésuite de Cahors ; il étudie ensuite à Paris, au collège du Plessis, où il retrouva un autre oncle, membre de la Compagnie du Saint-Sacrement et ami de Vincent de Paul et de M. Olier, fondateur du séminaire de Saint-Sulpice. Surtout, il se lie avec M. Tronson, supérieur de ce séminaire, et devint prêtre (ordination en 1675, doctorat en théologie de l'université de Cahors en 1677). Ce docteur en théologie devient en 1678 et pour dix années supérieur des « Nouvelles

qu'il décide d'entrer au séminaire d'Amiens pour finir ses études et entrer dans l'ordre de Malte, comme convenu. Mais alors qu'il travaille à Saint-Sulpice (les prêtres-guerriers de Malte avaient parfois des charges d'avocats, ou de plaidants), Manon réapparait et supplie des Grieux de lui pardonner. (Voir l'analyse de la réconciliation à Saint-Sulpice) Il le fait, se défroque (quitte l'habit religieux) et part avec elle à la campagne. Manon s'ennuie à nouveau rapidement, prend un appartement

spatial (la paroisse) * elle enseigne ce qu’elle estime être les vérités de la religion chrétienne (pastorale chrétienne : importance de l’Ecriture et de la Tradition, du péché originel, de la foi et des œuvres, des miracles, de la communion des saints, du Purgatoire) * elle administre les sacrements (les 7 sacrements) et prépare les hommes et les femmes à la mort chrétienne et à l’au-delà (importance du purgatoire et des indulgences) * elle distingue fortement le clergé (séculier et régulier)

La scène du parloir, de «Je retournai à Saint-Sulpice, couvert de gloire» jusqu’à «après avoir considéré longtemps les environs». Le texte que nous allons lire est la scène cruciale de l'Histoire du Chevalier des Grieux et de Manon Lescaut, ce roman de mœurs à forte tonalité autobiographique, avec les arcanes du roman à clef tout en s'inscrivant profondément dans les réalités sociales et économiques du temps, paru à Amsterdam en 1731, pour l'édition princeps (puisque l'édition de référence

suivant la naissance depuis 1698 par déclaration royale) : il y va du salut de l’enfant car efface le péché originel. Si l’enfant est mort-né ou n’a pas vécu assez longtemps pour être baptisé, les parents ont recours au « sanctuaire à répit » où un Saint mais le plus souvent la vierge permet la « Ressuscitation » de l’enfant le temps du baptême. Marque l’entrée dans la communauté des croyants et inscription dans registre paroissial. Il reçoit son prénom, svt celui de son parrain ou marraine (svt Pierre

Naissance « Du Samedy 15e janvier 1622, fut baptisé Jean, fils de Jean Pouquelin, marchant tapissier, et de Marie Cresé sa femme, demeurant rue Saint-Honoré, le parin Jean-Louis Pouquelin, porteur de grains, la marine Denise Lescacheux, veuve de Sébastien Asselin, vivant maistre tapissier. » Nul ne peut plus lire ces lignes dans le registre paroissial de l'église Saint-Eustache, car le feu les a détruites lors de l'incendie de l'Hôtel de Ville en 1871. Heureusement, le texte en avait été recueilli, vers

finissant. Cette aventure me parut des plus extraordinaires et des plus touchantes. (Le coup de foudre) Des Grieux étudie la philosophie à Amiens et s’apprête à devenir chevalier de l’Ordre de Malte. Son ami Tiberge quant à lui, veut devenir prêtre. Mais, la veille de son départ pour l'Académie, il croise le coche d’Arras — d’où sortent douze jeunes femmes. Il en resta une, [...] si charmante que moi, qui n’avais jamais [...] regardé une fille avec un peu d’attention, [...] je me trouvai