Compassion

revois enfant, écolier rieur et frais, jouant, courant, criant avec mes frères. Le Prêtre Le prêtre est émotionnellement détaché dans ses rencontres avec le condamné. -Il est là seulement pour son travail. -Il n’apporte pas de réconfort ni de compassion. -Il ne parle pas de son cœur, il fait que réciter un sermon. -Il est tellement habitué que ses paroles deviennent insensibles. Ex : Anaphore l.1508 « Pas un regard dans l’œil, pas un accent dans la voix, pas un geste dans les mains. » Ex : Métaphore

Il avait froid. " Tu veux dire que... Tu penses ... Je suis mieux, mieux sans doutes..." Il s'est rendu compte des choses rapidement. Il sentait de la colère sans doutes, de la colère contre le cours du destin, mais aussi la compassion pour son manque de compréhension - une compassion proche de la pitié. Il a mit ses bras autour d'elle, il a embrassé son oreille, et ils sont restés assis pendant un moment dans le silence. "Si je devait me consentir à ceci? " il a dit enfin, d'une voix qui était très

avances et les autres la poussent à l’acte. La jeune femme finit par céder et se sacrifie pour qu’ils puissent repartir. Au retour, dans la diligence, les voyageurs recommencent à mépriser Boule de Suif pour ce qu’elle a fait et n’éprouvent aucune compassion pour elle après l’avoir utilisée. Personnages : -Boule de Suif (Élisabeth Rousset) : C’est la jeune prostituée qui cherche à se faire accepter par les autres. -Cornudet : C’est un jeune patriote démocratique qui dit être contre la bourgeoisie

intéresserons au lien indissociable entre morts et vivants, et la danse qui les agite. Tout d'abord, cette Ballade des Pendus est une adresse des morts aux vivants. Les trépassés veulent susciter la compassion des vivants, même s'ils ne la méritent pas. Cette prière a pour objet la compassion des vivants à l'égard des pendus. A l'entrée de la ballade, l'impératif est suppliant : « N'ayez les cœurs contre nous endurcis. », autrement dit « Vous, Hommes, ayez pitié de nous pauvres pendants ». Nous

amitié « Arlequin compare les deux attitudes celle d'Arlequin fondait sur l'ironie, l'insolence, la déstabilisation d'Iphicrate et celle de son maître fondée sur la violence Forme emphatique « je sais ce que c'est que de la peine » il peut ressentir de la compassion car il a vécu ce que vit son maître, il est dc plus humaine que lui car plus sensible. « Tu m'as battu par amitié » « je t'ai raillé par bonne humeur, » parallélisme. Il oppose deux attitudes, et considère la sienne plus morale. Paradoxe du valet

dans lesquels il parle avec l’huissier « de son manque de temps » ou encore lorsqu’il le console d’avoir perdu son tabac ! — Il y a donc un décalage absurde entre l’indifférence qu’il affiche au condamné en tant que personne qui va mourir et la compassion qu’il manifeste envers l’huissier, triste d’avoir échappé son tabac. — Ce prêtre, représentant de l'église, symbolise à lui seul l'indifférence religieuse à l'égard de la peine de mort. Il récite plus son discours de circonstance qu'il ne cherche

notre « pouvoir » d’achat) et de notre personnalité (nous sommes standardisés, à l’image des produits que nous achetons). Cette femme, par sa médiocrité, son désespoir et sa solitude, suscite à la fois des sentiments de répulsion, de pitié et de compassion. Définitions : Hyperréalisme : L’hyperréalisme est aussi nommé en anglais photorealism ou superrealism. C’est un mouvement artistique qui apparaît aux Etats-Unis au milieu des années 1960. Ce courant artistique qui touche aussi bien la peinture

formes de comique selon l’intention de Voltaire. Le héros est caractérisé avec des qualités et des atouts car il est sensible, courageux et modeste, ses qualités sont marqué d’un effet immédiat grâce au passé simple: « il se sentit pénétré de compassion pour elle » ; « Zadig courut se jeter entre elle et ce barbare ». Le courage physique et moral de Zadig est une réaction instantané par le présent : l’Egyptien s’empare de son épée, Zadig s’arme de la sienne ». Le récit distingue les deux adversaires

cet épisode. Le directeur de l’établissement Monsieur Brockelhurst est un tortionnaire appliquant des règles dignes d’une prison : repas rationnés, privations , uniformes rapiécés, cheveux rasés, châtiments corporels. Peu de joies, chaleurs ou de compassion pour ces enfants et jeunes filles qui ne possèdent rien et sont vouées, si elles survivent, aux mauvais traitements, à travailler comme domestiques ou dans le meilleur des cas comme enseignante, l’unique métier que les femmes ont le droit d’exercer

B. Arrogance et détermination. - lexique de la provocation - La chanson révolutionnaire C. Le jeu et l’insouciance. - Les phrases en dyptique. Le renversement opéré par des termes liés au jeu. - Le jeu et une insouciance. - Suscite la compassion En conclusion, V.hugo réinvestit et transpose, à la rue, les éléments du cadre épique qui visent à positionner les personnages dans une atmosphère non commune. C’est ainsi que le vol de Gavroche et son insouciance sont transformés en acte héroïque