Compassion

les questions rhétoriques, les répétitions, les images) - PATHETIQUE : Provoquer un sentiment de pitié et de compassion chez le lecteur et /ou une émotion violente => (Figures rhétoriques visant à impliquer le lecteur, à le faire réagir (apostrophes...), Figures de l'exagération (hyperboles...), Tournures exclamatives, Rythmes saccadés, ellipses, Vocabulaire de la compassion, de la souffrance et des émotions violentes) - POLEMIQUE : Entraîner l'adhésion du lecteur à une cause ou un

naît de l'évocation de souffrances poignantes : des personnages généralement faibles sont confrontés à la violence, à la maladie, à la mort d'êtres chers. Cette situation douloureuse inspire au lecteur une forte émotion ; commisération, compassion. La mort, la maladie, la tristesse, la souffrance, les larmes, l'injustice de certaines situations, les victimes innocentes etc. champ lexical de l'émotion, de l'affectivité souvent violente, exagérations, exclamations, phrases interrompues

ses terres. Tous ces éléments dépeignent une femme mal à l’aise, sans que l’on puisse dire pourquoi. Son mari ne semble pas responsable de son malheur ; dans ce passage le narrateur n’en dit rien. Le lecteur peut avoir de la compassion pour cette femme qui comme dans d’autres héroïnes de roman ne s’épanouit pas dans le mariage. Mais d’autres faits nous troublent, et nous font voir Thérèse autrement que comme une simple victime. Thérèse manifeste de plusieurs

une animalisation de l’ortie encouleuvre, qui rapproche animal/végétal, introduisant ainsi un élargissement du propos. La personnification de l’araignée en “gueux” (v.12) introduit l’idée de marginalité et de malheur, renforçant ainsi la notion de compassion. Par ailleurs, le terme “œuvre” (v.9) permet d’établir un rapprochement entre l’ortie et l’araignée d’un part, et l’artiste de l’autre. On a donc ici une figure romantique de l’artiste méprisé et rejeté. Un rapprochement avec les individus misérables

éprouve une certaine pitié pour sa sœur, même si elle n’ait pas la victime à la base, « est-ce possible que la raison d’une jeune fille soit aussi mortelle que la vie d’un vieillard ? » cette métaphore permet de montrer que Laerte éprouve de la compassion pour sa sœur. Laerte est davantage attristé par la mort de son père à cause de la folie de sœur Ophélia ; « Tu aurais ta raison et tu me prêcherais la vengeance, que je serai moins émus. » cette phrases nous exprime le besoin encore plus grand de

I)Questions sur l’œuvre 1) La première partie se déroule sur environ deux semaines et demi et la deuxième partie se déroule sur environ 1 an. 2) Meursault: C’est un homme discret, on sait peu de chose sur lui. Il a perdu sa mère et ne ressent aucune compassion et aucune tristesse pour elle comme si il ne l’aimait pas. Il fume beaucoup, et ne montre aucune émotion. Il oublie très vite les gens et semble avoir du mal à aimer (Marie). Il ne veut pas se mélanger aux autres et avoir des amis (Raymond ou Masson)

peu à peu compte qu'elle a toujours de puissants sentiments pour Pyrrhus, ledit roi, malgré sa cruauté, et étudie dans cette scène la nature de ces sentiments. On peut d'ailleurs y trouver une Hermione aux pensées controversées: entre rage et compassion, elle joue tour à tour le procureur et l'avocat de Pyrrhus. Ce dernier est en outre, à travers ses mots, sans pitié, sans cœur, sans remords et sans dignité. Alors en quoi ces deux éléments font-ils de Hermione une victime de la fameuse fatalité

sentiment de compassion envers les injustices Dans le Rapport Brodeck, Claudel utilise du registre pathétique ainsi que du registre tragique pour accentuer les horreurs vécues par son personnage. Grâce à une bonne argumentation, il réussit à nous convaincre que le Brodeck est mal traité mais qu’il fait tout cela pour continuer de vivre et d’espérer un jour, revoir sa femme. Il nous persuade de ces malheurs et le lecteur en prends conscience et développe un sentiment de compassion. C) La plupart

de quelle manière elle (Manon) s'était laissé séduire par B... » (l.13-14). Ainsi dans les trois passages, les auteurs ont certainement voulu nous montrer le désespoir qu'éprouvaient les personnages, ce qui a pour but de faire éprouver pitié et compassion de la part des lecteurs. Ensuite, en étudiant plus en détail chaque passage des différents romans, nous pouvons nous apercevoir que l'histoire des héros est un peu différente, même si elles sont toutes plus ou moins pathétiques. Dans le texte

». Ils n'ont également aucune compassion pour Mme Raquin. En outre, Laurent semble agir au long du roman par interêt. En effet, Laurent choisit de se mettre avec Thérèse, non par amour mais par interêt car cette liaison ne lui coûtera rien « mais en somme, elle ne lui coûterait rien »(Chapitre