Complément circonstanciel

I – Le premier responsable du meurtre est l'Arabe et ses attenants. Et cette fois → Complément Circonstanciel de Temps placé en début de phrase : Mise en valeur de l’insistance sur le moment présent. Meursault a tué car c'était ce moment précis. Sans se soulever → préposition d'inaction + Verbe d'action : Opposition. L'action n'est pas réalisé, tout comme le meurtre qui n'est pas vraiment commis. Se soulever → verbe pronominal à l'infinitif : L'action se fait sans sujet, le meurtre se fait sans

plusieurs particularités. Tout d’abord, l’infinitif est à même de régir des compléments verbaux comme nous le verrons dans la suite de l’exposé. Ensuite, la négation de l’infinitif tient une place primordiale. La négation de l’infinitif est présente une seule fois dans le texte : « je leurs dis de n’en pas être si fort en peine ». On le voit, elle place les termes de la négation ne et pas devant le verbe et ses clitiques compléments, alors que les verbes à temps fini ou au participe présent s’intercalent

où Aurélien voit Bérénice, "..., il la trouva franchement laide"= le deuxième regard permet supposer qu'il créera des impressions différentes voire contraires, c'est-à-dire l'amour. -De même, "ses cheveux étaient ternes ce jour-là" le complément circonstanciel de temps ne nie pas le fait que d'autres jours elle aie les cheveux reluisants. - "Il l'avait mal regardée": confirme finalement le fait que leur première rencontre fût une situation d'exception. (-Aussi le simple fait d'avoir dédier

fois où Aurélien voit Bérénice, "..., il la trouva franchement laide"= le deuxième regard permet supposer qu'il créera des impressions différentes voire contraires, c'est-à-dire l'amour. De même, "ses cheveux étaient ternes ce jour-là" le complément circonstanciel de temps ne veut pas dire que d'autres jours elle a les cheveux reluisants. "Il l'avait mal regardée":confirme finalement le fait que leur première rencontre fût une situation d'exception. (Aussi le simple fait d'avoir dédier tout un paragraphe

effrayé et en danger : un animal chassé. Finalement, le Thénardier vient enfoncé le clou en inventant une maladie à Causette : il réclame cent franc à Fantine et pour lui sous-tirer l'argent, la fait culpabiliser. Il la brusque en utilisant le complément circonstanciel de temps "tout de suite" et fait du chantage en utilisant le registre pathétique. Il affirme "qu'il mettr[a] à la porte la petite Cosette" et "qu'elle crèver[a]" si "[Fantine le] voulait". Nous voyons ensuite que Fantine est comme enfermée

avaient fait mais ce qu’il avait fait, lui Les nombreuses questions rhétoriques de la page 27 révèlent pourquoi cette mère est si sourde aux besoins de son enfant : elle est humiliée par la faiblesse permanente de son fils. [...] [...] Le complément circonstanciel de temps, l’adjectif neuf caractérisant le fusil semblent alors promesse de changements : Les points de vue adoptés dans la nouvelle : Cette question suppose de découper le texte en focalisations. L’auteur par moment mélange cependant les

était constamment au milieu d’eux » (l.17). Consacrer veut dire sacrifier, se dévouer et prodiguer dépenser, distribuer, ces verbes révèlent l’aspect excessif. Il en est de même des adverbes «  minutieusement » (l.17) et constamment ». Le complément circonstanciel de temps « souvent » (l.18), «  constamment » (l.17) et de manière «  de toutes les façons » (l.18) accentuent son dévouement. Les verbes «  arpentait » (l.15), «  ne leur laissent pas de trêve », «  il faisait la navette » (l.19) et l’expression

rapides et peu longues qui n’exigent que de courtes réponses « Est-il possible ? », « Nous seront mariés ? » « Mais quand ? », « Dès ce soir ? ». On nous donne des indications de quand cela va se passer comme si tout était déjà prévu avec le complément circonstanciel de temps « Dès ce soir ». Mais le quiproquo a été brisé quand Agnès en dit un peu plus sur la personne qu’elle aime et pense épouser « Et qu’avec lui j’aurais de satisfaction », « lui » montre bien qu’elle ne parle pas d’Arnolphe. Troublé

                   - Gargantua oublie et leur rend leur indépendance, il ne tient pas à faire des prisonniers. P385 « Aujourd’hui, je vous pardonne et vous délivre et vous rends libres et indépendants comme avant. », « comme avant » : comparaison + CCT (Complément Circonstanciel de Temps) à faire comme si rien ne s’était passé, la guerre n’a jamais eu lieu et appui sur le mot « libre, liberté ».                     - Il leur promet un retour en « lieu sûr », sécurité. P385 « et six cents hommes d’armes et huit

atmosphère décourageante, bien que cela ne soit pas visible dès le début. En effet, il commence tout d’abord par des termes bienveillants tels que « bonté », pour mettre Fantine en confiance puis continue en la brusquant comme le montre le complément circonstanciel de temps « tout de suite » (l.48). Pour obliger la jeune femme à donner l’argent, il fait un chantage en jouant sur le registre pathétique, lorsqu’il affirme qu’il « mettr[a] à la porte la petite Cosette toute convalescente […] qu’elle crèverait