Complexité

les hommes à trouver des solutions aux problèmes d’action collective en vue d’objectifs communs mais qui, simultanément, oriente leur comportement, circonscrit leur liberté d’action, conditionne leurs résultats. Les contraintes : 1) La complexité des rapports de coopérations humains : au cœur de l’action collective on rencontre des effets contre-intuitifs dus au décalage entre les orientations et les intentions des acteurs. C’est que l’organisation serait un chemin de coopération et d’interdépendance

limites méthodologiques des chaque technique : La plupart des méthodes reposent sur des hypothèses sévères qui les invalident si l’utilisateur passe autre, ca veut dire que certaines de ces hypothèses ne font pas l’objet d’une validation solide. Complexité du comportement du consommateur : Les études de marché dépendent du comportement du consommateur, et peuvent conduire dans des cas à des résultats erronés. La réduction de l’incertitude, mais pas suppressions : Les études permettent la réduction

définir et s’analyser de différentes manières : à travers ses activités, à travers sa taille, à travers son statut juridique. 1) L’ENTREPRISE ET LES DIFFERENTS CHAMPS DISCIPLINAIRES Si l’entreprise est un lieu familier, son statut et sa complexité en font un objet particulier difficile à analyser. Pour cela, on recourt à différents champs disciplinaires : le droit, la sociologie, la psychologie, la philosophie et l’économie/gestion. C’est l’histoire économique : * Comment cette forme

propose de déduire des lois générales permettant de saisir les propriétés du système fondées sur l’additivité des propriétés élémentaires. Mais ces lois d’additivité ne fonctionnent pas dans le cas des système de haute complexité. Il faut alors les considérer dans leur totalité, leur complexité et leur dynamique propre en intégrant le temps dans l’étude de leur fonctionnement : c’est la caractéristique de l’approche systémique. Peu d’efforts avaient été fait jusqu’alors pour considérer le fonctionnement

maths (la première partie), la physique (la seconde partie), et à réaliser une expérience sur le mirage, qui nous prit beaucoup de temps de préparation. De plus il a été nécessaire, du fait du retard pris à cause de l’accident de Pascal, et de la complexité de certaines rubriques, de travailler le soir à l’internat, en groupe. Nous nous sommes alors basés sur les recherches effectuées en tout début d’année qu’il a éventuellement fallu compléter, ainsi que sur les conseils de nos professeurs ressources

une situation de stress temporel. Enfin, nous choisissons de mettre à l’épreuve l’apprentissage du coup droit dans des situations de match, à enjeu, où les joueurs n’ont toujours pas le droit au revers. L’incertitude du coup adverse confère de la complexité à la tache et pousse l’élève à adapter son habileté motrice à un contexte changeant. Fournir un feed back imédiat sur le résultat et sur les conditions de ses actions, réussite ou échec : Certains auteurs comme Buekers (l’entrainement, l’apprentissage

de faire un contrôle direct des activités, c’est pourquoi le contrôle de gestion ne contrôle que les résultats de l’activité. 2. Mission et Rôle du Contrôle de Gestion Le contrôle de gestion a pour mission d’intégrer au mieux la complexité interne et la complexité externe en élaborant des processus et des structures organisationnelles qui tiennent compte de ces deux (2) aspects. Pour y parvenir le système doit être sous contrôle. Contrôler la gestion c’est fixer des objectifs et fixer la manière

en fonction des secteurs, du type de projet, de la culture de l’entreprise ou de sa taille, etc. Cependant, certains critères permettent de dire si le recours à une organisation et à un management “par projet ” est pertinent : 1) La complexité : les savoirs utiles à la réalisation du projet sont dispersés dans les services et même à l’extérieur, ces savoirs sont à exploiter, à combiner. 2) L’incertitude : elle renvoie ici à l’innovation, i.e. que les savoirs utiles

ouverture au monde permise par une fréquentation de différents milieux, par diverses lectures et activités mais également par l’expérience de vie. Or pour être opérationnelle, toute connaissance doit être structurée. Il faut alors une méthode dite de « complexité » ou un « principe opérationnel qui aide à penser par soi-même » (selon Edgar Morin) et qui permet d’aller vers l’inconnu en s’éclairant d’éléments connus pour comprendre les diverses situations. Collière interroge le moyen d’application des connaissances

l’intuition. » (p109). Il est ensuite naturel que Mintzberg consacre son chapitre 4 sur cette nécessité de coupler l’esprit d’analyse et l’intuition. Il constate des oppositions entre les 2 modes sur plusieurs points : - Coût - Erreur - Facilité - Complexité - La créativité (cf annexes). L’auteur insiste sur les avantages et inconvénients de chaque « planificateur » et sur la nécessité d’un équilibre pour être un bon manager. Un équilibre en contradiction avec de nombreuses école de gestion qui ont