Comptoir national d'escompte de Paris

Phénicie : ancien Liban. Les Phéniciens vont développer un trafic basé sur le comptoir : établissement + ou – sédentaire, lieu d'échange entre les phéniciens et les autochtones. C'est par le procédé du comptoir que les Français vont s'établir en Inde, puis les Anglais. À l'origine, pas de pensée coloniale. Néanmoins, les Phéniciens vont progressivement investir les lieux où ils auront installé un comptoir et se constituer une sphère d'influence de type coloniale. Il se rapproche du type

Banque Nationale pour le Commerce et l’Industrie Afrique (BNCIA), filiale du groupe Français BNCI. En 1940, la BNCI s’est implantée au Maroc via sa filiale la BNCIA dont le siège était installé à Alger. Trois ans plus tard (1943), la BMCI a vu le jour avec l’apport par la BNCIA de ses biens immeubles. Mais ce n’est qu’en 1964 que cette dernière a cédé une partie de son capital permettant ainsi à la BMCI de se marocaniser. La fusion, en 1966, de la BNCI et du Comptoir National d’escompte de Paris

Banque Nationale pour le Commerce et l’Industrie Afrique (BNCIA), filiale du groupe Français BNCI. En 1940, la BNCI s’est implantée au Maroc via sa filiale la BNCIA dont le siège était installé à Alger. Trois ans plus tard (1943), la BMCI a vu le jour avec l’apport par la BNCIA de ses biens immeubles. Mais ce n’est qu’en 1964 que cette dernière a cédé une partie de son capital permettant ainsi à la BMCI de se marocaniser. La fusion, en 1966, de la BNCI et du Comptoir National d’escompte de Paris

Gaulle veut restaurer l’autorité de l’Etat, dans la légalité républicaine. Seulement, en 1944, la France est en ruine à cause des bombardements, des sabotages et des combats. Par exemple, les communications sont rendues pratiquement impossibles entre Paris et la province, car les lignes de chemins de fer ont été coupées ou sabotées, les ponts ont été détruits, et on n’a pas assez d’essence. Le problème également, c’est qu’un certain nombre de région ont été libérées par des maquis FTP (maquis communistes)

Le banquier avance de l’argent et fait payer ce service. Ensuite à l’échéance le banquier présente l’effet de commerce au débiteur qui s’acquitte entre ses mains de la somme due. Cette opération s’appelle l’escompte et l’intérêt retenu le taux d’escompte Le « génie bancaire » de Palmstruck est de proposer au créancier escompteur de lui remettre non plus des espèces métalliques mais de simples billets comportant promesse de rembourser au porteur du billet et immédiatement, en monnaie métallique

GRANDES REALISATIONS 3. LES LIMITES DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE Jeudi 25 avril 2013 Page 2 I. INTRODUCTION Avant de rentrer dans le vif du sujet et de parler des constructions et des innovations effectuées durant le second empire à Paris, rappelons en premier ce qu’est le second empire. Le Second Empire est le système constitutionnel et politique instauré en France le 2  décembre  1852 lorsque Louis-Napoléon Bonaparte, le Président de la République française, devient «  Napoléon III

ne cessent de s’accroitre. La supériorité matériel acquissent dans tout les domaines par les alliés peser de manière décisive sur le conflit. Section 1: La fin de l’occupation: la victoire conjointe des Alliés et de la Résistance en Europe et à Paris. Objectif : Abattre l’Allemagne mais les allemands ont construit l’Europe en véritable forteresse que leur propagande totalement efficace. A l’est, en dépit de Stalingrad, les territoires russes occupés forme un glacie à peine entamé par la reconquête

marocaine filiale du groupe BNP PARIBAS Historique : Dès la fin du XIXe siècle, le Comptoir National d’Escompte de Paris (CNEP) - l’un des fondateurs de la BNP – s’est intéressé au Maroc tandis que la Banque de Paris et des Pays-Bas participait dès 1902 au financement de l’Empire chérifien. Les emprunts marocains, notamment ceux de 1902 et 1904, comme ceux de l’entre-deux-guerres que dirige la Banque de Paris et des Pays-Bas, furent déterminants et favorisèrent l’émergence Maroc moderne que nous

la fin des années 70, le secteur bancaire est soumis au dictat des pouvoirs publics. L’Etat nationalise la Banque de France et les quatre grandes banques de dépôt en 1945 : Crédit Lyonnais, Société générale, Banque nationale pour le commerce et l’industrie, Comptoir d’escompte de Paris. Durant cette période, les banques sont l’instrument de la politique monétaire et doivent prendre en charge le financement de l’économie française. Les autorités utilisent les banques pour recycler les fonds publics

ce mode de financement franchissait l’Atlantique pour atteindre le Royaume Unis puis la France (1962) où il prend le nom de « crédit-bail ». Peu de temps après, en 1965, le crédit-bail est introduit au Maroc à l’initiative conjointe de la Banque de Paris et des Pays-Bas (dans le cadre de réutilisation de la part local de l’indemnité de rachat par l’Etat marocaine de l’Energie électrique du Maroc et des chemins de fer du Maroc) et de la BNDE soucieuse de renforcer le financement des besoins d’équipement