Comptoir

enseigne, j’ai été contacté par la responsable du magasin de chez Comptoir des Cotonniers pour passer un entretien à Saint Germain des Prés dans le 6ème arrondissement de Paris. Lors de mon entretien, j’ai dû choisir un vêtement et essayer de la lui vendre, cet étape s’étant bien déroulé, elle a ainsi répondu favorablement à ma demande. Désireux de travailler dans le secteur du luxe et dans le prêt-à-porter, ce stage chez Comptoir des Cotonniers représentait une belle opportunité pour moi de découvrir

japonaise de conception, de confection et de distribution de vêtements. Elle détient la première place en ventes et en profits des magasins d'habillement du Japon. C'est une filiale de la société Fast Retailing (également propriétaire des marques Comptoirs des cotonniers, Princesse Tam Tam…). Elle se caractérise par une politique de prix très bas et par une abondante collection de teeshirts. Elle possède près de 750 boutiques dans le monde dont deux en France. Après avoir ouvert son premier magasin

Langeais, ville de 4 000 habitants en Indre et Loire, s’est transformé au fil du temps et des enseignes. D’abord sous l’enseigne CODEC avec une superficie de 990 m², devenu Super U par un agrandissement sur les réserves, puis racheté par les Comptoirs modernes en 1990, il est resté enseigne STOC jusqu’en 1999. Agrandi jusqu’à obtenir une surface de 1500 m² avec ajout d’une station service en 2000, il passe sous l’enseigne CHAMPION, format supermarché du groupe CARREFOUR. Son directeur actuel

1995, en Chine. En 1996, en Thaïlande, en Corée du Sud et à Hong Kong. En 1997, à Singapour et en Pologne. En 1998, en Colombie, au Chili et en Indonésie. 1998-2000 : croissance externe[modifier | modifier le code] En 1998, Carrefour rachète Comptoirs Modernes, dont il détenait 22,4 %, et met ainsi la main sur environ 500 supermarchés à l’enseigne Stoc, intègrant ainsi le format supermarché, dans lequel il était encore très peu présent22. À la suite de cette opération de 19 milliards de francs

musicien-producteur Yuksek et des collaborations ponctuelles avec des stylistes comme Jil Sander ont permis à la firme de cibler un large public. La maison-mère d'Uniqlo se trouve d’ailleurs être le groupe nippon Fast Retailing, également à la tête de Comptoir des cotonniers depuis son rachat en 2005. "Cette dernière est très appréciée du public féminin qui plébiscite son image raffinée", note Philippe Jourdan. Pour Christine Laure, "le succès se base sur une image de la femme active, intemporelle et très

de créer un réseau de 4000 points de vente d’ici à 2020, afin de rivaliser avec H&M, Zara ou Gap. Au 1er octobre 2009, Fast Retailing est un groupe qui se porte très bien car il détient, outre l'enseigne Uniqlo, les marques françaises comme Comptoir des Cotonniers (vêtements et accessoire féminins) et Princesse Tam Tam (lingerie féminine). Les revenus encaissés par les magasins Uniqlo hors du Japon ont presque doublé en un an à 72,7 milliards de yens soit 654 millions d'€, mais ils ne représentent

Pologne (1997). Cette année Carrefour lance aussi les marques Escapades Gourmandes, présentant des produits de tradition rares ou peu connus, et Carrefour Bio, une gamme de produits biologiques certifiés. En 1998 Carrefour prend le contrôle de Comptoirs Modernes : 16 hypermarchés Mammouth deviennent partenaires du groupe et prennent l'enseigne Carrefour, tandis que Carrefour intègre l'activité supermarché avec Stoc et le commerce de proximité avec Marché Plus. Un an plus tard il y a un rapprochement

€ et 34 millions d’euros)[19], et met fin aux quelques diversifications du groupe pour mieux se consacrer au cœur de métier. Sous son mandat, le groupe prend véritablement sa dimension internationale, et s’implante : En 1998, Carrefour rachète Comptoirs Modernes, dont il détenait 22,4 %, et met ainsi la main sur environ 500 supermarchés à l’enseigne Stoc, intégrant ainsi le format supermarché, dans lequel il était encore très peu présent[20]. Suite à cette opération de 19 milliards de francs français

tout comme le britannique Tesco et le néerlandais Ahold (numéros 3 et 4 mondiaux).  Carrefour, très soucieux de ne pas tomber dans des mains étrangères, va alors chercher à verrouiller son capital, et dans un premier temps rachète l’entreprise Comptoirs Modernes (propriétaire des chaînes Stoc et Comod) ; mais cette opération ne suffit pas à mettre le groupe à l’abri. Par la suite, Carrefour va tenter un rapprochement avec Auchan, mais le groupe de Gérard Mulliez n’étant pas côté en Bourse, cela

des produits traditionnels ou rares et Carrefour Bio pour des produits certifiés biologiques. En 1998, Carrefour intègre dans le groupe les hypermarchés Mammouth, les supermarchés Stoc et les commerces de proximité Marché Plus : il contrôle alors Comptoirs Modernes tandis que Promodès a su acquérir des participations de nos voisins étrangers. En 1999, Carrefour et Promodès se fusionnent afin de former le groupe européen numéro un dans la distribution et numéro deux au niveau mondial ; ils acquièrent