Confédération germanique

------------------------------------------------- HISTOIRE Dissertation : La Prusse et l’unité Allemande (1848-1871) Après le congrès de Vienne clôt en juin 1815, le défunt Saint-Empire est remplacé par la Confédération germanique (Deutscher Bund) qui regroupe trente-neuf États sous la direction honorifique des Habsbourg, réduisant la Confédération germanique à l’impuissance. Mais la Prusse, plus homogène linguistiquement que l’Empire d’Autriche où les germanophones sont minoritaires, apparaît vite comme le principal moteur du sentiment

allemand au sein de la «Confédération Germanique » : Impact de la Révolution Autrichienne En 1848, l'Allemagne n'existe pas officiellement, le peuple allemand est réparti dans plusieurs États formants la « Confédération Germanique ». (voir carte) La « Confédération Germanique » est composée, entre autres, de deux États plus importants que les autres : l'Autriche et la Prusse. Jusqu'en mars 1848, l'Autriche de Metternich a un rôle de gendarme sur la confédération germanique. Le 13 mars 1848, Metternich

durable, un certain équilibre des puissances et un soutien mutuel. Durant le congrès de Vienne fut ainsi créé la Confédération Germanique, vestige du Saint Empire Romain Germanique qui rassemble tous les pays germanophones d'Europe au sein de 41 Etats indépendants et dont le Royaume de Prusse et l'Empire d'Autriche sont les deux pays membres les plus importants. La confédération germanique permet cependant à tout Etat membre de conserver une certaine indépendance politique. Seulement une assemblée permanente

l'oeuvre du congrès de Vienne ne se limite pas qu'à cela. L'Etat Germanique qui était morcelé avant les conquêtes Napoléonienne en 300 Etats, va garder sa forme plus simpliste créé par Napoléon sous le nom de Confédération Germanique, seulement 39 Etats. Dont les plus puissants, sont l'Autriche et la Prusse. La Conf Germanique dispose à Frankfort, d'une diète fédérale ou se réunissent les Etats de la confédération Germanique. La Congres de Vienne s'inspire des idées des lumières également :

doublé de leur refus de voter les crédits militaires poussent le roi de Prusse Guillaume 1° à nommer Bismark, anti libéral affiché, chancelier. Cet événement est donc loin de faire l’unanimité, tant au de la la Prusse qu’à l’intérieur de la confédération germanique puisque les intentions de ce nouveau chancelier sont clairement teintées de conservatisme, d’autoritarisme et d’une aspiration à retrouver la grandeur de la Prusse. Dès lors, il fait appel à des procédés dicatoriaux pr mener à bien sa politique

Europe Vienne se soulève le 13 mars. C’est Metternich, en place depuis 1815 lâche le pouvoir. Symbole de cette Europe post révolutionnaire. Berlin se soulève le 18 mars. [Confédération germanique (1815) : Prusse, Autriche (territoires de culture allemande). Union européenne de l’Allemagne]. 1) Confédération germanique (dominée par l’Empire d’Autriche). La cas allemand Entre 1815 et 1848 : Mouvements étudiants poursuivant l’unification, plutôt clandestins( Burschenschaften. Appuient aussi

qui fermentent en Autriche, en Hongrie, en Allemagne et en Italie. La puissance de l’Autriche ne s’exerce pas seulement sur les territoires de l’Empire proprement dits ; elle étend son contrôle sur la majorité des Etats italiens et sur la Confédération germanique en y instaurant un régime autoritaire. Partout où règne l’influence de l’Autriche, l’absolutisme triomphe. Toutefois, si le régime a peu à craindre, à l’interne, d’une opposition libérale sans racines réelles dans la société, il doit néanmoins

Allemagne La grande Allemagne et la petite Allemagne ( L’idée d’une Grande Allemagne est avant tout pan-germanique. Basée sur la langue allemande, elle regroupe tous les peuples germanophones, majoritairement catholiques, dont l’Empire d’Autriche à l’exclusion de ses territoires slaves et hongrois. La solution de la Grande Allemagne donne le primat à l'Autriche des Habsbourg sur la Confédération. Cette conception a la préférence des Etats du Sud et des conservateurs. ( La Petite Allemagne, majoritairement

tout cas nous donnait l’impression qu’elle en était une. II) mais cette révolution n’a pas abouti et elle s’est en fait soldée par un échec Reprise : Analyse des termes du sujet Confédération germanique : Allemagne n’existe pas (-> donc le sujet est un peu paradoxale) depuis 1815 confédération germanique qui rassemble/fragmente 37 Etats différents et 4 villes libres unies de manières de distinctes par une assemblée fédéral de prince et l’empereur d’Autriche. La diète de francfort est une

Mémoire sur la nécessité pour la Prusse d’inaugurer une politique indépendante en Allemagne Rapport d’Otto von Bismarck au baron von Manteuffel (mars 1858) Jusqu’en 1848, la Confédération germanique, quelle qu’ait été son importance au point de vue théorique, n’était en réalité traitée que comme une association des gouvernements allemands contre la guerre et la révolution. En ce temps-là, l’Autriche laissait en général une grande liberté à la politique prussienne en Allemagne, et, comme