Conjuration de Catilina

et le seul recours envisageable était la fuite ou… le parricide. Un pater  pouvait être chargé d'exécuter une décision de justice prise dans la Cité mais il pouvait prendre les devants et l'exécuter de lui-même comme ce fut le cas avec la conjuration de Catilina. [5] Rappelons que les lettres de cachet permettaient d'incarcérer un fils récalcitrant sur simple demande de son père  et que le code civil cette pratique en permettant le placement d'un enfant en maison de correction sur simple demande

Petite biographie de OVIDE OVIDE nait à Sulmone en 43 ACN et meurt en 17 ou 16 PCN. Il est originaire d’une famille aisée (de l’ordre équestre) et s’instruit en allant notamment à Athènes et en étudiant la rhétorique à Rome. Il entame une carrière juridique mais finit par l’arrêter pour commencer une carrière de poète. Il fréquente déjà les poètes HORACE, TIBULLE, et PROPERCE et à l’âge de 24 ans, il inaugure sa carrière par les Amours dédié à sa muse Corinne

que 6 mois, cf. infra). Il va s’illustrer notamment par les proscriptions. Sylla démissionne. Après, différents consuls. -73-71, révolte esclavagiste de Spartacus. -70-66, Pompée a les pleins pouvoirs. -63. Cicéron consul, conjuration de Catilina qui, après avoir essuyer un échec électoral, mobilise 20 000 hommes avec pour ordre d’assassiner Cicéron et d’incendier la Ville. Cicéron sent le danger, obtient les pleins pouvoirs et réussit à déjouer le projet : cette tentative de coup

JC, le Pont, la Bithynie et la Syrie séleucide deviennent provinces romaines. La conjuration de Catilina En l’absence de Pompée, le sénat accumule les irrégularités pour casser les élections consulaires qui lui déplaisent en jouant des rivalités personnelles au sein de la faction de Crassus qui a réorganisé autour de lui le parti populaire (avec César, marianiste ruiné et Catilina, ancien Syllanien). Catilina, avocat, ambitionne un grand commandement. Son programme (annexion de l’Egypte et octroi

(normalement que 6 mois, cf. infra). Il va s’illustrer notamment par les proscriptions. Sylla démissionne. Après, différents consuls. -73-71, révolte esclavagiste de Spartacus. -70-66, Pompée a les pleins pouvoirs. -63. Cicéron consul, conjuration de Catilina qui, après avoir essuyer un échec électoral, mobilise 20 000 hommes avec pour ordre d’assassiner Cicéron et d’incendier la Ville. Cicéron sent le danger, obtient les pleins pouvoirs et réussit à déjouer le projet : cette tentative de coup

militaire et de la subversion révolutionnaire, entretenue et facilitée par les impuissances du régime sénatorial qui ne sait se dégager des luttes de factions. En 64, un aristocrate décavé, Lucius Sergius Catilina, ancien syllanien devenu démagogue, déjà battu au consulat, réunit dans une conjuration hétéroclite tous les mécontents et se propose, avec la complicité de certains hauts magistrats et de nombreux sénateurs, de s’emparer du gouvernement par l’émeute et par la force. Cicéron, bien qu’homme

Après l'assassinat de Jules César, en 44 avant Jésus Christ, Salluste décida de se retirer de la vie politique, et entama une carrière d'historien. Il écrivit trois grands ouvrages, dont deux seulement nous sont parvenus en intégralité : la Conjuration de Catilina et la Guerre de Jugurtha. Dont notre texte est justement tiré. La guerre de Jugurtha relate le déroulement d’un conflit entre la République Romaine et le roi numide : Jugurtha de 112 à 105 av JC. Les dirigeants de l’armée romaine connurent

et 63, tandis que César se fait élire en -63 au titre de pontifex maximus par une campagne financée par Crassus. Le triumvirat Le 1er triumvirat conclu entre César, Pompée et Crassus en 60 av. J.-C., secrètement, car l'échec du complot de Catilina en 63 av. J.-C. est récent. Leur accord, valable pour 5 ans, a pour objectif premierl'élection de Jules César au consulat de 59 av. J.-C., objectif réussi grâce à nouveau à la campagne électorale financée par Crassus. César s’imposera rapidement

lieu à un nouveau siège, à de nouvelles violences. Par la suite, les factions politiques et aristocratiques s’affrontent pour le contrôle de la Ville. En 63, la conjuration de Catilina fait peser la menace d’un coup d’Etat. Cicéron affirme redouter (non sans quelque exagération parfois) des actions violentes qu’auraient fomentées Catilina. Le complot est dénoncé et la répression frappe ses partisans. Peu après, dans les années 50, la lutte fait rage dans les rues de Rome livrées aux bandes de Clodius

Première Catilinaire, exorde1 On vient de dévoiler à Cicéron, consul (69 av. J.-C.), les plans de la conjuration de Catilina. Cicéron met Rome en état de défense contre cette tentative de prise de pouvoir, et comme Catilina ose venir au Sénat, il prononce contre lui devant tous les sénateurs un discours véhément, la Première Catilinaire : « Jusques à quand abuseras-tu de notre patience, Catilina ? Combien de temps encore serons-nous ainsi le jouet de ta fureur ? Où s’arrêteront les emportements