Contrefort

un élément formé d'un arc en maçonnerie qui contrebute la poussée latérale des voûtes en croisées d'ogives et les achemine vers le pilier de culée. Ce dernier est le plus souvent couronné d'un pinacle. L’arc-boutant reprend la fonction des contreforts de l'architecture romane. Architecture Gothique Eléments Constructifs L’Arc-boutant Architecture Gothique Eléments Constructifs L’Arc-boutant Architecture Gothique Eléments Constructifs Le Pinacle • Le Pinacle: Le pinacle

voûte. {draw:frame} {text:soft-page-break} Les barrages à contreforts Un barrage à contrefort est un barrage comportant une série de murs parallèles, généralement de forme triangulaire, plus ou moins épais et plus ou moins espacés appelés contreforts . {draw:frame} Le barrage contrefort ou multivoûte fonctionne de la même manière qu’un barrage voûte. Il reporte la poussée de l’eau vers le sol grâce à ses contreforts encastrées dans la terre, ce qui permet au barrage de résister. Ce

plomb ou en pierre), de forme pyramidale ou conique, qui sert de couronnement à un contrefort. C’est un élément décoratif de l’édifice qui assure aussi la stabilité de la structure. - Croisée d’ogives : système dans lequel les voûtes ne se reposent plus directement sur les murs mais sur des ogives croisées, la poussée étant alors répartie sur des piliers (eux-mêmes soulagés par des arcs-boutants et des contreforts). - Clef de voûte : pierre, placé au centre de la croisée d’ogives qui maintient

des arcs trilobés sont une des caractéristiques du style dit rayonnant. Les contreforts, qui sur les grands côtés de la châsse séparent les unes des autres les arcades surmontées d’un gâble, se composent de différentes parties. Le contrefort proprement dit, qui repose sur la plinthe et la gorge, s’élève jusqu’à une hauteur située légèrement au dessus des points de naissance des grands gâbles. La façade du contrefort, ornée d’un motif losangé, présente à mi-hauteur une rentrée amenée par un larmier

hautes car le poids des pierres en haut de la voûte avaient seulement deux supports. Ces deux supports sont les deux colonnes de la voûte. A l'extérieur des églises romanes se trouvent d'immenses contreforts (renforcement vertical de maçonnerie en forte saillie sur le mur qui l'épaule).. Les contreforts des églises romanes sont directement appliqués sur l'église. • la décoration des églises romanes est simple. A l'intérieur de l'édifice, sur les murs, les piliers et sous les voûtes, partout les

plomb ou en pierre), de forme pyramidale ou conique, qui sert de couronnement à un contrefort. Elément décoratif le plus éleva de l’édifice, il assure aussi la stabilité de la structure. Croisée d’ogives : système dans lequel les voûtes ne reposent plus directement sur les murs mais sur des ogives croisées, la poussée étant alors répartie sur des piliers (eux-mêmes soulagés par des arcs-boutants et des contreforts). Clef de voûte : pierre, placé au centre de la croisée d’ogives qui maintient l’ensemble

Gothique : XIIème au XIVème siècles Expansion le long des routes des pèlerinages 3ODQG·XQHpJOLVHURPDQH L'Art Roman Dates ème Du X au XIIème siècle. Description L'art roman est caractérisé par : ses voûtes en berceau et par la construction de contreforts pour arrêter la poussée. Sur les chapiteaux, les colonnes et les tympans des portails, les artistes créent également tout un monde de personnages inquiétants (monstres grimaçants et animaux IDQWDVWLTXHVTXLHQWUHWLHQWODSHXUGHODMXVWLFHGH'LHX

armés. * les murs profilés : en béton armé. L'écran maintient les terres mais c'est le poids du sol sur la semelle qui donne la stabilité du mur (l'étude sera faite ultérieurement). * les murs à contrefort (intérieur ou extérieur). Ils sont identiques aux précédents mais possèdent des contreforts permettant de diminuer le cisaillement à la jonction semelle-écran. * les murs cellulaires : construits avec des billes de bois dans les parois naturelles. Ils existent aussi des murs en éléments

pierre, la forme arrondie des ouvertures (partie supérieure en demi-cercle), ses voûtes en berceau qui ne pouvaient pas être très hautes car le poids des pierres en haut de la voûte avaient seulement deux supports et par la construction de contreforts (un contrefort est un bloc de maçonnerie qui est élevé à l'extérieur d'un mur pour le soutenir) pour arrêter la poussée. Sur les chapiteaux, les colonnes et les tympans des portails, les artistes créent également tout un monde de personnages inquiétants

plus d'une contrainte technique que d'un choix liturgique. Ainsi, lors du deuxième âge roman différentes voûtes sont créées (voûte d'arête, voûte en croisée d'ogives) et contreventées avec différents contrebutements (demi-berceaux des tribunes, contreforts), ce qui permet de faire entrer la lumière en perçant de plus grandes baies dans les surfaces murales1.