Contrefort

transept; Les édifices gagnent en hauteur : la tour de la basilique Saint-Sernin à Toulouse mesure 64 mètres; les tours de la façade de l'abbatiale Saint-Étienne de Caen s'élancent à 80 mètres. Les murs sont renforcés à l'extérieur par des contreforts massifs. Les recherches sur le voûtement progressent : les voûtes à charpente sont remplacées par la pierre dans les grands édifices, dans le Sud et en Bourgogne par exemple. Les absides sont souvent en cul de four, les collatéraux en voûtes

transversales est faible. Améliorée si les joints sont remplis de coulis de ciment et si ces joints présentent une surface supportant le cisaillement (joints avec des décrochements). Les barrages à contreforts: peu résistant pour les sollicitations transversales, mieux avec l'élargissement des âmes des contreforts à l'aval pour les rendre jointives. Les barrages en enrochement à masque: l'élément étanche est fragile. Laboratoire de Constructions Hydrauliques ÉC O LE PO L Y TEC H N IQ U E FÉ DÉRA LE

ancien pour la sauvegarde du patrimoine historique architectural. 2.5.1 Les contreforts Lorsqu'un mur de façade ou une grande muraille présente un dévers, la réponse de la communauté à ce problème est presque toujours la même : la mise en place d'un contrefort. Il s'agit donc d'un élément confortant une structure existante et le plus souvent, il est ajouté sur une maçonnerie plus ancienne. Parfois, le contrefort est exécuté en même temps que la construction, acte volontaire et prémédité pour

puisqu’il est fixé par la Thora. Hérode lui-même surveille les travaux qui sont gigantesques et embauche 10 000 ouvriers. Il fait construire une esplanade de 300 à 400 mètres, soutenue par des contreforts, surgissants des ravins qui entourent le Har Habayit (La montagne du Temple) (Un des contreforts existe encore aujourd’hui, c’est le mur occidental, le Kotèl Hamaaravi) Il surélève les façades. Il emploie des pierres blanches et des plaques d’or pour la façade, « de loin, on dirait une montagne

bas-côtés et sa hauteur sous voûtes est de 36m (comme la cathédrale de Chartres), si bien que le croisée est rectangulaire. Les croisillons sont très nettement saillants. La nef de huit travées est flanquée de chapelles latérales et de bas-côtés entre les contreforts. Le chœur est formé d’une abside à sept pans, précédée d’une travée de chœur, dont les bas-côtés sont la base des tours, et flanquée de la sacristie et du trésor. Les bas-côtés de la première croisée servent de bases aux tours de façade. Quant au

restauration de l’édifice sont renforcés et continuent à ce jour. L’architecture de la Basilique Sainte-Sophie 1. L’extérieur De l’extérieur, il est très difficile de reconnaître le premier plan de la Basilique. Les contreforts massifs et les constructions postérieures adossées aux murs de la Basilique en masquent l’architecture et alourdissent les formes. Seuls les quatre minarets construits au 15ème siècle, (lors de la transformation de l’église en mosquée) aux angles

à la place des pilastres ou des colonnes habituels, des contreforts. Dans leur partie supérieure, ils se terminent avec un modèle ressemblant à un triglyphe dorique. Les gouttes ne sont pas en trois dimensions, mais plutôt semblent figurer des denticules en bas-relief. Ils font partie d'une frise continue qui entoure le dôme, formant une séparation entre les baies et les frontons triangulaires. En-dessous des fenêtres et des contreforts, on trouve une bande qui fait écho à cette frise puisque de

gothique méridional: contreforts à l'intérieur. Perpignan, Narbonne, Colliour. *Narbonne: principes de l'île de France= cage de verre. Crénelage= pas fonction défensive mais expression de l'orthodoxie triomphante. *Eglise de Lamourguié, Narbonne: arcs diaphragne. Espace intérieur unifié. Diffusion modèle des mendiants dans églises paroissiales. *La chaise-Dieu: abbatiale bénédictione, reconstruite en 1344. par le pape Clément VI> austérité voulue, nef unique, contreforts intérieurs percés pour

arcs-boutants. Un arc-boutant est l'élément d'appui en forme de demi-arc situé à l'extérieur de l'édifice; il repose sur un contrefort et soutient le mur là où s'exercent les plus fortes poussées des voûtes sur croisées d'ogive. Les constructeurs cherchèrent à annuler le poids des ogives par des arcs-boutants cachés dans la couverture de l'édifice, puis par un support extérieur sur un contrefort. Les arcs-boutants paraissent nécessaires dès la construction pour les édifices du premier art gothique qui ont adopté

financeurs qui assoient un peu plus leur pouvoir sur ce royaume. I - L’art gothique, un art national ? Comment se caractérise le style gothique ? Le style gothique se définit par des murs très épais renforcés le plus souvent par des contreforts. On trouve en plus dans la cathédrale de Cologne, 15 mètres de pierres érigés sous le niveau du sol afin de soutenir l’édifice. A l’intérieur même de ces églises romanes, existent un type architectural récurrent sur toutes les voutes et parois