Convention sur la diversité biologique

pollution atmosphérique transfrontières. Les propositions contenues dans ce chapitre n'obligent aucun gouvernement à aller au-delà des dispositions de la Convention de Vienne de 1985 pour la protection de la couche d'ozone, du Protocole de Montréal de 1987 relatif à des substances qui appauvrissent la couche d'ozone (amendé en 1990) ou de la Convention-cadre (1992) des Nations Unies sur les changements climatiques. Pour traiter des problèmes de changements climatiques, de pollution atmosphérique

est sa diversité. La biodiversité est la richesse du monde vivant. Elle désigne la vie dans sa plus petite expression (invertébrés, plancton), dans ses formes invisibles (virus, bactéries) comme dans son immensité (océans, forêts tropicales). Tout à la fois plantes, animaux, hommes et sociétés, elle exprime aussi l’ensemble des relations qui lient les êtres vivants, comme la prédation, la compétition ou la coopération. La biodiversité regroupe donc la diversité génétique, la diversité des espèces

désigne la diversité du monde vivant à tous les niveaux : diversité des milieux (écosystèmes), diversité des espèces, diversité génétique au sein d'une même espèce. Synonyme de diversité biologique. Peut être considérée à cinq niveaux : celui des écosystèmes, des espèces, des populations, des individus et des gènes. Sur le terrain, le deuxième niveau est clairement le plus accessible et relève directement des compétences naturalistes. La France occupe le 1er rang européen pour la diversité des vertébrés

terre se distingue par une grande diversité de vie à la fois visible et invisible. De la bactérie à la baleine, de la pâquerette au baobab, du désert à la forêt tropicale, tout est biodiversité. L'ensemble des formes de vie sur Terre est recouvert par la biodiversité, les relations qui existent entre elles et avec leurs milieux depuis l'origine commune de la vie, c'est-à-dire plus de 4,5 milliards d'années. La biodiversité se divise en plusieurs catégories, diversité des gènes, des espèces (dont l'Homme)

quotas act.). L’hydrogène est inexistant « prêt à l’emploi » dans la nature, il faut le transformer avec du gaz naturel ou charbon. 3. AGRICULTURE : Produire autrement DPU : droit à paiement unique Favoriser le développement de l’agriculture biologique qui est effacée par l’agriculture intensive, plus polluante et gourmande en énergie, au profit de l’économie. 4. TERRITOIRE : Contenir l’extension périurbaine et relocaliser les activités humaine Il existe une trop grande complexité des lois

les niveaux, elle soutient, au plan international, les efforts en faveur d’une meilleure cohérence des accords multilatéraux d’environnement, d’une synergie accrue des conventions internationales, particulièrement celles issues de Rio, ainsi que d’une amélioration du suivi et de l’évaluation de la mise en œuvre de ces conventions. Au plan national, elle appuie le renforcement des cadres institutionnels et réglementaires favorables au développement durable. ■ La démocratie est indissociable

explicitait le concept d’un développement durable qui respecterait l’environnement et ferait une utilisation prudente de la nature et de ses ressources par une exploitation rationnelle et modérée, de façon à assurer le maintien indéfini de la productivité biologique de la biosphère. Ce concept a été largement repris et développé dans ses dimensions économiques en 1987 par le rapport de la commission des Nations unies pour l’environnement et le développement, dit « rapport Brundtland », du nom de sa présidente

l’eau douce, dont souffrent déjà 1 à 2 milliards de personnes à travers le monde, devrait s’accroître, entraînant de plus fortes pressions sur les zones sèches et en fin de compte une aggravation de la désertification. La mise en pratique de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification serait particulièrement difficile dans un monde régionalisé réactif, tandis que les perspectives s’amélioreraient dans un monde globalisé ayant une approche proactive de la gestion des écosystèmes

who.int Influence du changement climatique sur la diversité inter et intra-spécifique des plantes cultivées à Tougou au nord du Burkina Faso Dasmané BAMBARA*, Ablassé BILGO, François LOMPO et Victor HIEN Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles (INERA), 01 BP 476 Ouagadougou 01, Burkina Faso. * Auteur correspondant, E-mail : das.bambara@coraf.org ; Tél : 226 70 28 52 45 RESUME L’objectif de l’étude est d’évaluer la diversité taxonomique et la variabilité inter et intra-spécifique

4 :  les monuments naturels constitués par des formations physiques et biologiques ou par des groupes de telles formations qui ont une valeur universelle exceptionnelle du point de vue esthétique ou scientifique, Exemple : l’île volcanique de Surtsey (Islande) [inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’humanité car il s’agit d’une formation physique « éminemment représentati[ve] de processus écologiques et biologiques en cours dans l'évolution et le développement des écosystèmes et communautés