Conviction

croyance est le faite d'adopter une attitude en fonction de l'accoutumance. Donc la raison permet la remise en question de l'accoutumance. L'individu serait soumit par ces habitude que l'on retrouve dans différents domaines de la vie (croyance, convictions, superstitions, préjugé...etc) et il est serait très difficile de remettre en question les accoutumances d'un individu car lui même aura trouvé des raisons de ces certitudes. La croyance est le faite d'affirmer quelque chose sans pouvoir donner

Fiche d’arrêt Soc. 17 avril 1991 « Painsecq » Phrase d’introduction : La chambre sociale de la Cour de Cassation a rendu un arrêt de cassation en date du 17 avril 1991 qui interroge sur la validité du licenciement fondé sur les moeurs ou les convictions religieuses du salarié. Faits : Une association religieuse a engagé en date du 1er février 1985 un aide sacristain qu’elle a rattaché à l’une de ses paroisses. Le 17 juin 1987, le salarié a été licencié en raison de son homosexualité, l’employeur

deux preuves testimoniales. Il peut désormais établir la preuve de l’infraction par tout moyen comme le principe fondamental de liberté de la preuve en vigueur dans notre droit pénal contemporain l’y autorise. Seul importe qu’il emporte l’intime conviction du juge, du tribunal, des jurés. Cependant, la liberté de la preuve ne signifie pas qu’il s’agisse d’un principe absolu, ne comportant aucune limite, permettant de prouver par toute chose, tout moyen, plus ou moins légalement, loyalement admis

Ex : l’euthanasie 1. Qualités pour être morale : Etre morale = respecter les règles et les principes intériorisés, avoir un comportement juste, capacité de trouver la meilleure action singulière dans une situation singulière VALEUR = conviction pas forcement argumentée PRINCIPE = neutre | Vertu morale = trait de caractère valorisé, socialement intrinsèque à l’individu Selon les principes de l’éthique médicale, les vertus nécessaires à un bon soignant sont : la compassion, le discernement

des raisons de conviction religieuse ou même encore philosophiques : des « objecteurs de conscience ». Mais dans ces cas, la loi ne laisse pas à la discrétion de l’individu de déterminer lui-même si la loi va s’appliquer. Au contraire, c’est la loi qui fixe les conditions de sa non-application (il faut que les raisons soient religieuses ou philosophiques; elles ne peuvent être d’un autre ordre). La loi stipule qu’il ne sera pas suffisant pour l’individu d’affirmer ses convictions ou sa foi (le sérieux

respecter des règles de manière raisonnable ? En effet, une liberté s’arrête là où commencent la liberté des autres. C’est pourquoi cette liberté est protégée par des lois réprimant le fait d’imposer ses convictions à d’autres personnes ou de discriminer une autre personne à raison de ses convictions, de sa race ou de sa religion, et cela depuis le 19 juillet 1997, date à laquelle il fut introduit une loi dans le Code pénal traitant en autre du racisme et autres discriminations. Elle désigne comme discrimination

------------------------------------------------- THEORIES X ET Y DE MACGREGOR Douglas McGregor formula deux théories, issues d’observations empiriques à l’intention des dirigeants. Il postule que la manière dont une organisation est dirigée résulte des convictions de ses dirigeants sur la nature humaine et le comportement des hommes. 1. Théorie X : La théorie X épouse la vision des dirigeants sur 3 hypothèses : * L’individu moyen éprouve une aversion innée pour le travail, l’effort et fait

de savoir (objectivement) qu'il a raison ou ne peut-il que le croire (subjectivement) ? Le problème est donc : si on ne peut être sûr (au sens de la certitude) que ce qu'on dit ou ce qu'on pense est vrai, on pourra toujours se rabattre sur la conviction. Les expressions "avoir raison" et "être sûr" sont utilisées ici dans leur ambiguïté entre une vérité objective et un sentiment subjectif. La problématique peut se formuler de la façon suivante : puis-je savoir que j'ai raison ou ne puis-je que

L’efficacité personnelle désigne la conviction individuelle, développée différemment selon les personnes, de pouvoir fournir une performance adéquate dans une situation donnée. Cette conviction à propos de ses propres capacités personnelles définit les sentiments, les pensées, la motivation et les comportements de la personne. Elle influence également la perception et la performance de manière différenciée. L’efficacité personnelle se rapporte ainsi à la conviction d’être capable d’apprendre ou d’effectuer

apportent une conviction sur ce qui est juste ou injuste, en politique par exemple. Socrate va alors s'interroger sur le type de conviction qu'apporte la rhétorique. En distinguant la connaissance de la croyance, il amène Gorgias à dire que le rhéteur fait croire qu'une chose est juste ou injuste mais qu'il ne le fait pas savoir, qu'il ne l'explique pas, « par manque de temps » dit-il, par ignorance insinue Socrate. La rhétorique apporte donc de la persuasion, et non pas une conviction rationnelle