Coordination pour l'éducation à la non-violence et à la paix

De la cause aux métiers de la paix ou la paix en mouvements : agir aujourd’hui pour la paix. « Cartographie historique et problématique du "champ pacifiste" français. » Mémoire réalisé par Alexis Anagnan sous la direction d’Anne Le Naëlou. Mémoire de Master II – Crises : interventions d’urgence et actions de développement. Université Paris I - Institut d’Etudes du Développement Economique et Social

Culture de paix 1. Définir la culture de paix « La culture de la paix est un ensemble de valeurs, attitudes, comportements et modes de vie qui rejettent la violence et préviennent les conflits en s’attaquant à leurs racines par le dialogue et la négociation entre les individus, les groupes et les Etats ». Assemblée générale des Nations-Unies, 15 janvier 1998 1.1. Essai de définition 1.1.1. La paix, une expression du vivre ensemble L’expression « culture de la paix » sous-entend que la paix signifie

VERS UNE CULTURE DE LA PAIX »   Que signifie la culture de la paix ? Comment ce concept devient-il réalité ? En d’autres termes, comment transformer les idées et idéaux que renferme l’expression « culture de la paix » en politiques publiques et en actes individuels qui, partout, changent la vie ? Tout d’abord, la culture de la paix suppose un effort généralisé pour modifier les modes de pensée et d’action afin de promouvoir la paix. Elle signifie transformer les conflits, prévenir les conflits

limitée 20 mai 2008 Français Original : anglais Pour suite à donner Conseil économique et social Fonds des Nations Unies pour l’enfance Conseil d’administration Session annuelle de 2008 3-5 juin 2008 Stratégie de l’UNICEF pour la protection de l’enfance Résumé Dans sa Stratégie pour la protection de l’enfance, l’UNICEF définit sa contribution à l’action menée aux échelons national et international en vue de réaliser le droit des enfants à la protection et d’atteindre les objectifs du Millénaire

et de petit calibre constitue une menace grave à la paix, la sécurité, la stabilité, le sureté et le développement de tous les États membres de l'Union africaine. C'est dans ce contexte que les États membres de l'Union africaine ont élaboré la «Stratégie de l'Union africaine sur le contrôle de la prolifération, de la circulation et du trafic illicites des armes légères et de petit calibre" (ci-après «la stratégie») pour renforcer la coordination et la coopération entre et parmi tous les organes

compatriotes d'une part, au pardon et à la réconciliation et d'autre part à la reconstruction et au développement, nous nous sommes senti interpellé à un double titre : d'abord, en tant que citoyen, ensuite en tant que etudiant. C'est donc à ce double titre que nous apportons notre modeste contribution à l'identification des défis majeurs du secteur Education /Formation, et mes recommandations susceptibles de les relever. En fait, il s'agit de concilier, à terme, trois exigences apparemment contradictoires

pays : - Tchad- Burkina Faso- Mauritanie- Mali- Niger → (réunis au sein du G5 Sahel).Ce territoire est confronté à de multiples difficultés et défis : → progression de la menace terroriste et du crime organisé, → changement climatique, → expansion démographique… autant de facteurs qui contribuent à fragiliser la région. Face à ces défis communs, la réponse doit être à la fois politique , militaire et favoriser le développementPROBLEMATIQUE :

Cette phrase a été prononcée par le mouvement féministe « La Marche Mondiale des Femmes ». Il s’agit d’une initiative féministe crée par la fédération féministe du Québec. Ce mouvement nous permet de comprendre que des femmes se battent pour défendre leurs droits et certaines inégalités. C'est à ce mouvement altermondialiste que nous allons nous intéresser. Une marche est une marche, un cortège mais aussi une manière de procéder et une progression. Mondiale signifie qu’il y a un rapport avec

REFUGIES, LES RAPATRIES ET LES PERSONNES DÉPLACÉES EN AFRIQUE Ext/Assembly/AU/PA/Decl. (I) Page 1 Nous, Chefs d’Etat et de gouvernement des Etats membres de l’Union africaine, réunis à Kampala (Ouganda) les 22 et 23 octobre 2009 ; Rappelant l’esprit du panafricanisme qui a inspiré nos prédécesseurs et les amenés à mobiliser les ressources du continent pour la lutte pour l’indépendance, et ; l’élimination de l’apartheid, pour le bien collectif de tous les peuples d’Afrique ; Renouvelant notre engagement

et 14 du Protocole relatif au Mécanisme de Prévention des Conflits, de Maintien de la Paix et de la Sécurité amendé par le Protocole A/P1/12/00, VU l’article 3 alinéa (d) du Protocole relatif au Mécanisme de Prévention des Conflits, de Maintien de la Paix et de la Sécurité prescrivant l’accroissement de la coopération dans les domaines de la prévention des conflits, alerte précoce, opérations de maintien de la paix et contrôle de la criminalité transfrontalière, du terrorisme international et la prolifération