Cordoue

L’Alhambra de Grenade 1) Définir le mot L'Alhambra de Grenade est un des monuments majeurs de l'architecture islamique. C'est avec la Grande mosquée de Cordoue le plus prestigieux témoin de la présence musulmane en Espagne du VIIIe au XV siècle. Le nom féminin Alhambra provient de l'arabe Al Hamra , « la rouge » en raison de la couleur des murs du monument. 2) Expliquer son importance dans le monde musulman du moyen âge Conçue initialement comme une zone militaire, l'Alhambra devient

de gules, linguado de lo mismo, uñado de oro y coronado del mismo. Bordura componada de dieciocho compones, nueve de gules con catillo de oro, almenado y alarado de azur, alternados con nueve de plata, con un león rampante de púrpura | Córdoba (Cordoue en la mapa) se sitúa en el sur de España en Andalucía a orillas del rio Ocadalquivir. Luego, gracias a la irrigación y el sol, la ciudad ha desarrollado sus cultivas, especialmente la de la oliva ; eso hace pensar en la región de España. | I)

Abstrait La mosquée-cathédrale de Cordoue, également connue sous son ancien nom de grande mosquée de Cordoue (Mezquita de Córdoba), est un ancien temple romain qui devint église puis mosquée, et dans laquelle fut ensuite érigée une cathédrale. C'est un monument majeur de l'architecture islamique, témoin de la présence musulmane en Espagne du viiie au xve siècle. Elle est connue dans le monde entier pour être le monument le plus accompli de l'art des Omeyyades de Cordoue. Convertie en église au xiiie siècle

Le Guadalquivir, sa rivière plus importante, coupe en deux les régions, qui est unies au plateau central par le pas de Despeñaperros. Les Romains ont construit d'importantes villes, entre autres, Cordoue et Italique. Les arabes ont laissé en Andalousie des monuments sublimes comme la mosquée de Cordoue ou l'Alhambra de Grenade, mais en Andalousie on trouve beaucoup d'autres attraits. Les plages méditerranéennes de la Côte de du Soleil ou de ce qui est atlantiques de la Côte de la Lumière en Huelva

des influences arabes de l’Andalousie, de l’héritage romain de Cordoue, ou encore des empreintes celtes de Galice. En ces lieux empreints d’historicité, loin des complexes hôteliers bordant les célèbres plages de la Costa Brava et de la Costa del Sol, il est possible de découvrir au travers de pérégrinations en terre espagnole de véritables splendeurs architecturales : la cathédrale de Saint Jacques de Compostelle, la mosquée de Cordoue, la vieille ville de Ségovie fortement marquée par le Moyen Age

l’investiture du calife de Bagdad reste une source de légitimité. Le prestige des Abbassides est à nouveau renforcé avec la chute des califats rivaux, Omeyyades de Cordoue et Fatimides d’Egypte. Voyons à présent comment le califat Omeyyade de Cordoue accentue la mise en cause de la fonction califale et sa légitimation. Jusqu’à 929 les Omeyyades de Cordoue sont à la tête d'un émirat en 756 en Espagne (al-Andalus) et ce n’est qu’en 929 qu’ils fondent une dynastie califale. Abd al-Rahmān III prend le titre

situation de ces mêmes juifs et chrétiens à l’époque du califat de Cordoue. On ne peut pas vraiment parler de tolérance puisque les chrétiens et les juifs sont décrits comme des suppôts de Satan (des infidèles) et les musulmans cherchent à les « humilier » en leur faisant porter des signes distinctifs. Les Almoravides, partisans d’un Islam intransigeant, sont beaucoup moins tolérants que les califes sous le califat de Cordoue, qui laissaient par exemple les juifs et les chrétiens (mozarabes) exercer

parfois qualifiée « d’art abbasside ». Dès la fin du IXe siècle, les califes abbassides durent faire face à l’autonomie, voire à la sécession, de nombreuses provinces ; dans les premières décennies du Xe siècle, la proclamation du califat omeyyade de Cordoue et surtout du califat fatimide shi’ite d’Ifrîqiya puis d’Égypte mit fin à la fiction d’un Dâr al islâm uni sous la direction du seul calife de Bagdad. Puis les Abbassides durent accepter la tutelle de chefs militaires chiites, les émirs bouyides,

réparation, restauration et conservation qui sont maintenus actuellement n'ont pas commencé jusqu'au XIXe siècle. L'architecture nasride constitue la fin d'une époque de splendeur qui commença à Cordoue avec les Omeyyades au VIIIe siècle. Cette architecture n’aurait pas été influencée par la Mosquée de Cordoue, construite bien avant de L’Alhambra. Cette architecture présente néanmoins certains des éléments typiques de l'architecture arabe andalouse, comme l'arc outrepassé avec alfiz (frise quarrée qui

divisions de l'émirat de Cordoue pour reprendre la marche en avant. Mais déjà des divisions apparaissent : la Castille, autour de Burgos, se sépare des Asturies, tandis que, plus à l'est, le royaume de Navarre s'affirme. À la fin du Xe siècle, l'expansion chrétienne est bloquée par les succès d'Abd ar-Rahman III et d'Al-Mansour. La première phase de la Reconquista s'achève. XIe siècle : unité et morcellement des partis Dans la première moitié du XIe siècle, le califat de Cordoue (l'émirat avait en