Corniche

prédilection de cette époque, avec sa fibre très fine, il est plus facile à travailler que le chêne et facilite donc les gravures et sculptures sur les meubles, ce qui est très en vogue à cette période. Nous retrouvons beaucoup de colonnes, de corniches saillantes supportées par des modillons, des pilastres qui soutiennent des frontons la plupart du temps triangulaires avec des ornementations à l’intérieur, des pilastres ornées de grotesques, d’arabesques ou de rinceaux. C’est une époque très

L’intérieur peut aussi se composer de parties. Schéma de l’architecture dorique (les colonnes n’avaient pas de bases, elles possédaient de 16 à 20 cannelures, des arêtes vives et se divisaient en 16 rayons horizontaux) : fronton corniche Entablement frise architrave abaque Colonne chapiteau fût stylobate Degrés stereobate II- Architecture

frise, corniche.) Architrave : Partie de l’entablement qui sert de socle à la frise. Il est composé d’un bandeau (taenia) qui couronne l’architrave. Triglyphe : élément qui sert à identifier la frise dorique (glyphe : rainure) Métope : petite plaque composée d’une histoire séparée par des triglyphes. Régula : Petites plaquettes (ordre dorique) composées de gouttes. Corniche : composé de geison horizontal et rampants avec fronton et tympan. Sima : Au-dessus du geison, couronne la corniche et permet

ornementé (il représente la femme), le chapiteau dessine des volutes, la base est moulurée, la frise est ornée d'une série continue de sculptures, la colonne est plus élancée, plus fine et presque toujours monolithe. L'architrave + la frise + la corniche = l'entablement. Le fût + le chapiteau = la colonne. Les acrotères sont des éléments décoratifs en terre cuite et peints placés sur le toit du fronton. L'ordre corinthien : est le dernier des trois ordres architecturaux grecs, dont le caractère

COLLATÉRAL : nef collatérale : nef latérale d’une église     CORBEAU : pierre ou pièce de bois en saillie sur l’aplomb d’un parement et supportant un linteau, une corniche.     CORINTHIEN : se dit de l’ordre d’architecture grecque, caractérisé par un chapiteau orné de deux rangs de feuilles d’acanthe entre lesquelles s’élèvent les volutes.     CORNICHE : partie saillante qui couronne un édifice, destinée à protéger de la pluie les parties sous-jacentes.     DÉAMBULATOIRE : galerie qui tourne autour du choeur

au sol, et si elle se trouve un jour en équilibre instable, elle préférera s'abîmer plutôt que d'y contrevenir. Mais enfin, dans une certaine mesure, elle joue avec la pesanteur, elle la défie : elle ne s'effondre pas dans toutes ses parties, sa corniche, ses moulures ne s'y conforment pas. Il existe en elle une résistance au profit de sa personnalité et de sa forme. liquide est par définition ce qui préfère obéir à la pesanteur, plutôt que maintenir sa forme, ce qui refuse toute forme pour obéir

l’arc surbaissé. Un schéma extrêmement récurrent propose des baies rectangulaires au rez-de-chaussée, à encadrement plat en pierre bleue, et des baies à arc surbaissé aux étages, à encadrement mouluré, parfois frappé d’une agrafe décorative. Une corniche ou un élément d’entablement surmonte quelquefois, dans les beaux exemples, les fenêtres. La baie disposée dans l’axe de l’étage se différencie souvent par un traitement plus élaboré. Des bandeaux continus saillants en pierre bleue prolongent presque

Kairouan La frise corinthienne ne se distingue de l'ionique que parce qu'elle comporte généralement une plus grande magnificence d'ornements ; elle reste parfois lisse. -Quant à la corniche qui contourne l'entablement corinthien, elle varie beaucoup dans ses proportions et sa décoration. On trouve des corniches corinthiennes qui n'ont pas de larmier ; d'autres, au contraire, ont le larmier d'une grandeur énorme. L'ordre corinthien, d'abord d'une grande beauté, alla toujours croissant en luxe et

l’interprétation antique. Ordre d’architecture : ensemble d’éléments basée sur un système de proportion et qui est constitué d’un support colonne ou pilastre, composée d’une base d’un fut d’un chapiteau et d’un entablement (architrave, frise, corniche)== » voir le schéma. A la Renaissance, utilisation des ordres en tant que décor au lieu d’un élément structurel. Alberti va définir les 3 ordres grecs : ordre DORIQUE, IONIQUE, CORINTHIEN. Les romains rajoutent les ordres : TOSCAN, COMPOSITE

et de fruits. Ces trois termes portent chacun trois ceintures (la première au niveau du buste, la seconde de la taille et la dernière située en dessous du personnage) et sont coiffés de chapiteaux en forme e corbeille de fleurs. En dessous de la corniche saillante (mais peu haute), il y a le corps supérieur. Le corps supérieur et surtout constitué de deux niches abritant deux scènes différentes sculptées sur chacun des ventaux, coiffées de tondi à motifs. La niche de gauche accueille Hercule