Corset

Couture de Christian Dior en 1947, le Tailleur Bar devient l’incarnation absolue du New Look qui enserre la taille dans un corset sur des mètres de jupe. Travaillé par le jeune Pierre Cardin, il se compose, selon la ligne Corolle, d'une ample jupe noire large, longue, juponante et plissée, évasée vers la cheville et cintrée à la taille. Une taille fine maintenue par un corset ou une guêpière met en valeur et souligne la poitrine tout en courbes et rondeurs contrairement à la silhouette des années

L’histoire commence dans un petit atelier de la rue de Montyon à Paris en 1948. Jeune corsetière, Simone Pérèle comprend les aspirations des femmes. Pour elle, toutes les femmes sont belles. [...] [...] L'ancêtre de la guêpière chère à Marcel Rochas! Un corset soutenant les seins à la base pour les dévoiler dans leur quasi-nudité. Une centaine d'années plus tard, les femmes adoptent l'apodesme, bandelette d'étoffe qu'elles enroulent sous leur poitrine. Il n'est plus question de montrer les seins, mais de

cheveux...). Gabrielle Chanel est le symbole de cette indépendance. La silhouette est plus longiligne, on n'a pas beaucoup d'épaule, le vêtement est raccourci. L'une des grandes lignes maîtresse est la fin du corset, le vêtement devient ample, porté à la pointe des hanches. La perte du corset va entrainer chez les femmes un effondrement du corps. On va silhouetter l'homme dans un espèce de corps androgyne, on montre les bras et les jambes. Apparaissent des manteaux de très grand volume, en fourrure

quelques exemples. L’Europe est aussi touchée, avec les corsets et les tailles de guêpe, puis les talons hauts et les chaussures étroites qui déforment le pied. Ce sont majoritairement les corps des femmes qui sont soumis à ces contraintes, les pratiques de déformation étant rares chez les hommes. En Occident, la libération du corps féminin est venue du monde anglo-saxon. Des mouvements souvent apparentés au féminisme, ont jeté aux orties le corset. Les femmes peuvent enfin respirer normalement, avoir

gants, en peau souple, à grands poignets évasés, couverts de broderies, sont imprégnés de parfums. La mode féminine : Les différentes parties du costume féminin au XVII : Les pièces principales se composent de robes ou jupes accompagnées de corsets. La jupe est assortie avec le corsage en fonction de la matière, des motifs et de la couleur. Le vertugadin sert à faire bouffer la jupe. La jupe du dessus est large et laisse entrevoir d'autres jupes plus étroites que l'on portent en dessous. La

de la femme change radicalement. L'effet de cette transformation apparaît non seulement dans les modèles, mais aussi dans les pratiques : celles de l'amincissement en particulier, les corps étant moins dissimulés. Le couturier Poiret ose abolir le corset vers 1905 bien que certaines femmes en portent, elles n'en sont pas toujours fières. Alors le couturier Poiret dessina des robes et inventa de nouvelles formes sans appuyer sur l'abdomen. La silhouette des femmes était en forme de S. La femme de la

Elle marque sa taille par une écharpe. Toutes ces robes de simplicité servirent de tenues féminines estivales durant les années 1780. La chemise à la reine va s'apparenter pour l'époque comme une tenue déshabillée. Elle se porte sans corps ou un corset blanc léger, ses manches sont bouffantes et son encolure, largement décolletée, s'agrémente d'une collerette bouillonnante de forme ronde. Le bas de la robe porte un grand volant. Les tissus utilisés pour ces robes sont la percale, le taffetas de

CHASNEL » ; la boutique ne désemplit pas. En 1915, à Biarritz, elle ouvre sa troisième boutique et première vraie maison de couture. Suivant sa seule inspiration, elle raccourcit les jupes et supprime la taille. A l'instar de Paul Poiret qui supprima le corset en 1906, elle libère le corps de la femme. Ses boutiques bénéficient de la clientèle de toute la société élégante qui s’est repliée pendant la guerre dans ces deux stations balnéaires. Dès 1915, l'étoffe manquant, elle taille des robes de sport

fait que évoluée. Les seigneurs portaient des tentures souvent ornées d’or et de perles. La plus part du temps, elles étaient brodées mais elle pouvait également être tissée. (ex : manteau du couronnement de Roger II) RENNAISSANCE Arrivée des corsets à baleine pour les femmes et des chemises pour les hommes. A partir de cette époque, on commence à varier son style. Les vêtements suivent les humeurs des rois. C’est au 17ème siècle que le vêtement des hommes connait son plus grand changement de

est Fribourg. Un corset, du vieux français cors, lui-même dérivé du latin corpus (corps), est un sous-vêtement féminin porté du XVIe siècle au début du XXe comportant des baleines et destiné à modeler le buste suivant des critères esthétiques variables au fil des époques. C'est une pièce de vêtement rigide (sans souplesse ni élasticité) qui a essentiellement deux effets : d'une part affiner la taille, d'autre part maintenir la poitrine. On appelle corsetier un fabricant de corsets. V. La nouvelle