Cortex préfrontal

quantité de tissu retirée. Le trouble empirait au fur et à mesure que le cerveau était endommagé. Cependant, la mémoire n’était pas affectée en fonction de l’endroit du cortex où le tissu était retiré. Lashley en a conclu que l’insaisissable engramme n’existait pas dans une région précise, mais était largement dispersé dans tout le cortex. Lashley n’a peut-être pas pu localiser l’engramme, à cause notamment de la variété des types de mémoires qui sont en jeu, même dans une situation d’apparence simple

substance grise (partie superficielle des hémisphères, composée de cellules nerveuses entières) qui forme le cortex ou l’écorce cérébrale et de substance blanche (composée de fibres nerveuse et de cellules de soutien (cellules gliales)) -> Les hémisphères sont divisés par des sillons formant ainsi 4 lobes principaux : -> La surface corticale (surface du cortex cérébral) peut être divisée en 4 types d’aires :- aires sensorielles (5 sens) primaires (zone d’arrivée des messages

cerveau de se développer spatialement : c'est l'apparition d'un néo-cortex. D'ailleurs, Leroi-Ghouran nous dit que le langage d'il y a 2 millions d'années était d'essence identique au notre : c'état un système de signes vocaux de valeur symbolique, il pouvait exprimer une pensée. Toute la naissance de l'humanité repose sur le processus déclencheur du déverrouillage préfrontal. La capacité d'être homme repose sur l'existence d'un néo-cortex. La capacité d'être homme repose sur la nature primale de l'homme

leur cortex, puis a testé à nouveau leur mémoire du labyrinthe. Lashley a trouvé que le trouble mnésique dû aux lésions cérébrales était proportionnel à la quantité de tissu retirée. Le trouble empirait au fur et à mesure que le cerveau était endommagé. Cependant, la mémoire n’était pas affectée en fonction de l’endroit du cortex où le tissu était retiré. Lashley en a conclu que l’insaisissable engramme n’existait pas dans une région précise, mais était largement dispersé dans tout le cortex. Lashley

surprise ; ce qui ressemble à ce qu'une farce peut effectuer. De plus, lorsqu'ils ont comparé le cerveau avant un "punch" et le cerveau après ce "punch", les chercheurs ont remarqué, à la fin de la blague, qu'il y avait beaucoup d'action dans le cortex préfrontal, partie avant du cerveau. Sans cette partie, l'humain ne pourrait tout simplement pas rire d'une bonne blague. Il est intéressant de mentionner que le type de blague utilisée va faire réagir différentes parties du cerveau. Par exemple, une

reproduction.Ainsi, l’idée reçue selon laquelle le cerveau resterait inactif pendant le sommeil et que ce temps serait du temps perdu est infondée.II) Focus sur les rêvesA) Le rôle joué par le cerveau dans nos rêvesÀ l’avant de notre cerveau se situe le cortex frontal qui est peu actif lorsque nous rêvons. Ce dernier est habituellement le centre de contrôle du cerveau : Il sait si ce qui se passe est logique, réel, si une situation a du sens, si nous allons bien, le contexte dans lequel on se trouve. De

fois dans l’amygdale (une structure cérébrale impliquée dans la peur) et dans le cortex cingulaire antérieur (une région impliquée dans la régulation des émotions). De plus, l’allèle court est associé à une hypersensibilité de l’amygdale en réponse à une menace perçue (en l’occurrence des visages avec une expression de peur ou de colère), et à une moindre connectivité fonctionnelle entre l’amygdale et le cortex cingulaire. Ces résultats, obtenus au sein de la population générale non affectée de

survivre seule. A cela s’ajoute le fait que, le cerveau de la fourmi n’étant composé que de 500 000 neurones alors qu’un humain en possède déjà 20 milliards rien que dans son néo-cortex, on peut supposer qu’elle n’a pas conscience d’elle même et quelle n’existe qu’à travers sa fourmilière. De plus, étant dépourvue de cortex préfrontal une fourmi n’a donc pas de possibilité d’anticiper. Une fourmi ne peut pas non plus se démarquer des autres par ses possessions, cette notion étant abstraite pour elle. En

cérébral des patients MA dans la région frontale moyenne et supérieure gauche (BA 9/46 et 8) Corrélations négatives entre le facteur de coordination et le métabolisme dans plusieurs régions plus postérieures Cortex cingulaire postérieur (BA 31) Cortex temporal moyen droit (BA 21) Cortex pariétal bilatéral (BA 40/7)MA et fractionnement de l’administrateur central Coordination doubles tâchesInhibitionMA et fractionnement de l’administrateur central Collette, Van der Linden et al. (1999b) : Conclusions

information from sensory input; and executive attention involves mechanisms for monitoring and resolving conflict among thoughts, feelings, and responses. The alerting system has been associated with thalamic as well as frontal and parietal regions of the cortex (Fan et al. 2005). A particularly effective way to vary alertness has been to use warning signals prior to targets. The influence of warning signals on the level of alertness is thought to be due to modulation of neural activity by the neurotransmitter