Cortex

CHAPITRE 16­   LE CORTEX SENSORIEL ET LA PLASTICITÉ DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL    Malgré la mise en place d’un plan d’organisation du système nerveux commun à tous les vertébrés (2nd)  et le contrôle génétique du développement du réseau neuronique, chaque individu ne perçoit pas son  environnement de la même façon.  L’apprentissage topographique d’un labyrinthe digital montre que :  Tous les expérimentateurs ont construit une carte mentale du labyrinthe au cours des 5 essais de  l’apprentissage. 

augmentation brusque de la tension du muscle, et une réponse statique en proportion à la tension. L’information provenant de l’organe de Golgi est transmise par l’intermédiaire des fibres Ib à la moelle épinière et à des centres sus-jacents (cervelet, cortex cérébral). Les fibres Ib inhibe le motoneurone  indirectement (interneurone) : c’est le réflexe myotatique inverse. C’est un réflexe disynaptique. réflexe de flexion Elles sont déclenchées par une stimulation sensorielle appliquée sur la

passé ! Les reflexes primitifs, eux, relevent des parties les plus anciennes de notre cerveau, les premieres parties qui ont une construction achevée à la naissance : bulbe rachidien, mesencephale. Ex : reflexe de sucion (existe meme lorsque le cortex cerebral n’existe pas), r. de vaminski, reflexe de la stimilation de la plente du pied avc reflexe d’aduption des orteilles, reflex de moro (si bruit très fort, sursaut du bébé avec bras mis vers l’exterieur et dos cambré). Reflexe damatoire (bb

dégénérescence de cellules Dégénérescence neurofibrillaire Mort neuronale Plaque sénile sé Perturbation de la neurotransmission Dépopulation neuronale Acétylcholine Acé Déficit cognitif 7 Les zones clefs de la mémoire : le système limbique Cortex cingulaire Thalamus Fornix Hippocampe Hypothalamus Amygdale Corps mamillaires Plus généralement, la mémorisation fait intervenir l’ensemble du SYSTÈME LIMBIQUE gé mé l’ SYSTÈ Ce système interviendrait dans les processus mnésiques à connotation

entre l’organisme et le cortex cérébral : Centre décisionnel de l’homme. 2. Mode d’action de l’endorphine Le message nerveux (de la douleur par exemple) chemine sous forme d’activité électrique à travers l’axone. Arriver à cette endroit, le message électrique est traduit sous forme chimique et provoque un mécanisme appelé l’exocytose*. Ici le neurone va libérer des neurotransmetteurs dans le milieu synaptique et le message de la douleur continu son cheminement vers le cortex cérébral après avoir

convergent => correction par des verres divergents - correction myopie : verres formés de lentilles divergentes qui permettent aux images des objets lointains de se former sur la rétine afin de voir correctement de loin. - l’aire visuelle 4 (V4) du cortex gauche traite les informations provenant des récepteurs rétiniens du champ visuel droit - trajet des voies visuelles de la rétine au cerveau : les messages nerveux rétiniens côté temporal ne se croisent pas tandis que ceux côté nasal se croisent

tegmentale ventrale (ATV) supprime toute sensation de plaisir.  Ainsi, l’aire tegmentale ventrale (ATV), groupe de neurones situés en plein centre du cerveau, est une zone traitant les informations sensorielles associées au plaisir envoyées par le cortex cérébral.  Après traitement de ces informations par l’ATV, celle-ci émet en réponse des messages transmis à différentes régions du cerveau, qui sont alors activées.  Comportement du rat Jack : le septum est un « centre du plaisir » : son activation

Neuropsychologie 21/01/05 Les syndromes frontaux I) Anatomie Le cerveau comprend 5 lobes dont le lobe frontal qui représente environ 1/3 du cortex cérébral. C’est donc une région importante qui, d’un point de vue phylogénétique, est récente et s’accroît en taille quand on se rapproche de l’homme (qui a le plus gros lobe frontal du règne animal). [pic] Les lobes frontaux sont composés d’un

original de MacLean affirmait que trois cerveaux distincts, apparus successivement au cours de l’évolution, cohabitaient en nous : [pic] |un cerveau « reptilien », le |un cerveau « limbique », apparu avec les premiers mammifères, capable|un « néo-cortex », qui prend de | |plus ancien, qui assure les |de mémoriser les comportements agréables ou désagréables, et par |l’importance chez les primates et | |fonctions vitales de |conséquent responsable chez l’humain de ce que

reconnus consciemment. Cependant, l’activation intense des intérocepteurs peut provoquer des sensations conscientes qui sont essentiellement des sensations de douleur. Les zones du cortex cérébral qui reçoivent alors des afférences végétatives sont principalement : l’insula, le cortex préfrontal orbitaire médian et le cortex somesthésique. La douleur viscérale présente deux caractéristiques : douleur diffuse ( sentiment de malaise général ) souvent associée à une modification de la sensibilité