Couleur du ciel

horizontales sont la frontière entre le ciel et la terre. Composition : un personnage dont on ne peut pas très bien distinguer le sexe (tout le monde peut s’y identifier) porte un habit blanc, se qui est synonyme de pureté, de douceur. Il est assis sur un sofa, simple avec à coté de lui un verre de jus de fruit. Ce sofa se trouve sur une sorte de grande terrasse, synonyme d’espace. Le paysage est apaisant puisqu’il représente le coucher du soleil. Le blanc et le bleu ciel sont les principales composantes

l’amour Entre tous mes tourments entre la mort et moi Entre mon désespoir et la raison de vivre Il y a l’injustice et ce malheur des hommes Que je ne peux admettre il y a ma colère Il y a les maquis couleur de sang d’Espagne Il y a les maquis couleur du ciel de Grèce Le pain le sang le ciel et le droit à l’espoir Pour tous les innocents qui haïssent le mal La lumière toujours est tout près de s’éteindre La vie toujours s’apprête à devenir fumier Mais le printemps renaît qui n’en a pas fini

une palette de couleur des plus vaste. Les couleurs dominantes de cette toile sont le bleu, le blanc et le rouge qui émergent d’un ensemble gris et marron. Cette peinture ne comporte que très peu de couleurs primaires, elles sont d’ailleurs toutes situées sur l’axe vertical du sujet, au centre de l’image. Cela a permis à l’auteur de mettre en valeur son sujet. On peut remarquer que les couleurs bleu, blanc et rouge du personnage aux pieds de Marianne, sont un rappel des couleurs du drapeau.

laissant ce couteau et mon sang coulait en abondance, mais il n’était pas de couleur rouge comme toute personne normale, il avait une couleur transparente et il était visqueux. Je ne pus m’empêcher de bouger mes bras dans tous les sens, personne ne put venir me porter secours. Le lendemain, plusieurs personnes un peu plus vieilles, sont venues m’attaquer avec une sorte de perceuse, pour faire couler mon sang d’une couleur n’ayant pas changé depuis la veille. Ils partirent avec plusieurs bidons

relation entre la couleur marron-sépia jauni des arbres, et du ciel, tacheté de cette même teinte par endroits. Sans doute une relation entre terre et ciel, donc notion quasi-divine. La couleur abordée, proche de celle du café, donne du relief aux puissants et humides nuages blancs. Les vides laissés par les nuages révèlent le bleu originel du ciel. Cette alliance du bleu et du orange sera d'autant plus représenté sur la battisse à gauche. Il y a une complémentarité des couleurs et un tout harmonieux

de la couleur verte. La couleur verte représente aussi la couleur de l’avenir qui normalement la science et non la religion. Tous les appareils technologies sont de la couleur rouge car cette couleur représente le diable et aussi l’enfer. De plus, cette couleur sors le plus sur le dessin et accroches tout le monde. Dans tout les cultures la couleur rouge est associes au feu, chaleur, puissance et au sang. Le roi qui représente le dieu et qui veut dire la religion. le roi est de la couleur blanche

plan se trouve une plage avec un abri , enfin , à l’arrière plan , on aperçoit la mer qui va en zigzag . Il y a des couleurs restreintes . Les couleurs dominantes sont le orange et le rouge , contrastant sur du noir sur le pont . L’orange est teinté de noir sur le pont ou le personnage de l’œuvre hurle , de rouge et de orange dans le ciel pour montrer un effet de feu . Le ciel est peint en rouge et orange , donc ce n’est pas réaliste . L’image semble offrir une représentation qui n’est pas

> ‘’Bip ! Bip ! Bip ! Bip !’’ Je regardai, alors, l’heure et vit qu’il était exactement 6 : 50 du matin. Le soleil commençait, justement, à levé son voile sur le merveilleux monde qui m’entourait. Les fleurs avaient retrouvés leurs couleurs vives et les arbres, leurs feuilles. Le vent virevoltais dans ceux-ci et je me demandai, complètement absorbé dans mes pensées: On est quel jour de la semaine ? Et c’est à ce moment même que je me levai d’un coup sec. > Je me dirigeai à la hâte vers ma

Naturellement, à mesure que la paresse et la misère entraient, la malpropreté entrait aussi. On n’aurait pas reconnu cette belle boutique bleue, couleur du ciel, qui était jadis l’orgueil de Gervaise. Les boiseries et les carreaux de la vitrine, qu’on oubliait de laver, restaient du haut en bas éclaboussés par la crotte des voitures. Sur les planches, à la tringle de laiton, s’étalaient trois guenilles grises, laissées par des clientes mortes à l’hôpital. Et c’était plus minable encore à l’intérieur

l’élan de Saccard vers les sommets. Cependant, cette scène est avant tout une scène de séduction. En effet, nous voyons un homme inviter sa femme au restaurant, pour leur sortie du dimanche, dans une ambiance romantique : le soleil se couche, le ciel rougeoie. Mais nous relevons la formulation un peu triviale : « il l’attablait dans quelque cabaret de banlieue. » Premièrement, l’imparfait souligne qu’il ne s’agit pas d’un moment exceptionnel mais habituel. Deuxièmement, le « quelque » possède une