Cour d'appel de Limoges

DROIT DES OBLIGATIONS Commentaire d’arrêt : Cass. Ass. Plén., 29 mars 1991 Si certains revirements de jurisprudence sont attendus, pour ne pas dire annoncés parfois plusieurs années à l'avance, l'arrêt rendu par l'Assemblée plénière de la Cour de cassation le 29 mars 1991 (arrêt Blieck) n'aura pas manqué de surprendre tous ceux qui s'étaient résignés à lire dans la formule selon laquelle « On est responsable (...) du dommage causé par les personnes dont on doit répondre » le principe de responsabilité

l'arrivée des compagnies aériennes low cost à l'aéroport de BergeracRoumanière. Dans ce cas, le tourisme de résidence a nourri le low cost et non l'inverse. La hausse des prix de l'immobilier a surtout touché un certain type de biens. Un expert près la Cour d'appel de Bordeaux précise que «la hausse des prix affecte les biens anciens en zone rurale. En milieu urbain, la hausse sur l'habitat courant est beaucoup plus raisonnable, de l'ordre de 30 à 40% sur 6 ou 7 ans» (soit environ 5% par an). Selon lui «le

quels arguments) o la décision de la Cour d'appel (infirme ou confirme le jugement qui lui est déféré). Si l’on ne peut pas retrouver les éléments du jugement de première instance, il faut à ce stade donner des précisions sur le fond de l’affaire. o l’auteur du pourvoi en cassation. 4) Les arguments en présence Il faut indiquer les arguments invoqués par les plaideurs devant la juridiction qui a rendu la décision à étudier. Si l’arrêt est un arrêt rendu par la Cour de cassation, les positions adverses

habitants et que cette considération sur les qualités requises pour contracter étant connue des époux Huchon leur était opposable ; Qu'en statuant ainsi, alors qu'elle avait constaté que l'offre publique de vente ne comportait aucune restriction, la cour d'appel a violé le texte susvisé ; Par ces motifs : casse et annule. Document 2 : Cass. 1re civ., 24 novembre 1998 Vu les articles 1101 et 1134 du Code civil ; Attendu que M. Rahier, pilote motocycliste, s'est engagé le 1er octobre 1989, avec la société

de la victime pouvait l’exonérer de la responsabilité de plein droit qui pesait sur lui, la cour d’appel a violé l’article 1384, alinéa 4, du Code civil ; Mais attendu que, l’arrêt ayant exactement énoncé que seule la force majeure ou la faute de la victime pouvait exonérer M. X... de la responsabilité de plein droit encourue du fait des dommages causés par son fils mineur habitant avec lui, la cour d’appel n’avait pas à rechercher l’existence d’un défaut de surveillance du père ; D’où il suit que

 Sujet : Que vous inspire l’arrêt ci-dessous (Cass., soc., 8 avril 2014) ? En quoi l’arrêt de la cour d’appel violait-il le principe d’impartialité ? Peut-on éviter, dans certains cas, qu’un juge partial statue dans une affaire ? * L’arrêt Cass., soc., 8 avril 2014 L’arrêt numéro 752 de la cour de cassation, chambre social du 8 avril 2014 démontre que le rôle de cette juridiction suprême est d’examiner en droit, mais non en fait (article L 411-2 du code de l’organisation judiciaire). Dans

de mariage au procureur, M. Naimi a été interpellé puis expulsé de France avant que le mariage ait pu être célébré. Presse : Le Monde, 26 mars 2009, « Des soutiens aux sans papiers demandent à être poursuivis » (en annexe). Condamnations 2) Cour d'appel de Nîmes, 23 aout 2005 : Hébergement d'un amant étranger en situation irrégulière – condamnation à 1000 euros d'amende 3 Extrait de l'arrêt : « Attendu que M. V. ne conteste pas avoir hébergé à son domicile, à Avignon, pendant, selon lui 4

fait des personnes dont on doit répondre…». La question a été posée, il y a bien longtemps, de savoir si l’on ne pouvait pas voir dans ce texte un principe autonome de responsabilité du fait d’autrui. A travers les trios arrets susvises rendus par la Cour de Cassation, on peut observer comment la jurisprudence a progressivement construit une responsabilite generale du fait d’autrui. (Les faits, la procedure, moyens des parties, questions de droit…on sait déjà) Il est dans l’office du juge, non

d’assurance maladie des Yvelines, qui décide alors de faire appel. Faisant face à un nouveau rejet de la part de la cour administrative de Paris dans sa décision du 20 octobre 1998, la caisse primaire d’assurance maladie des Yvelines décide de saisir le conseil d’Etat. Ce dernier confirmera la décision de rejet rendue par la cour administrative d’appel de Paris en jugeant que « la cour administrative n’a, par suite, pas commis d’erreur de droit en appréciant la légalité de l’acte qui lui était soumis

objective. Classiquement, la jurisprudence semblait se satisfaire d’une certitude subjective, c’est à dire qu’il suffisait que l’événement soit considéré comme acquis par les seules parties. Par exemple, dans un arrêt en date du 13 décembre 1994, la Cour de cassation a estimé que le contrat par lequel le propriétaire d’une oeuvre d’art s’engage à payer une somme d’argent à son cocontractant s’il vend la chose à un tiers contenait un terme et non une condition potestative. Civ. 1ère, 13 décembre