Création de valeur

clientèle adhérant à la philosophie créative et aux valeurs de Miyake. On parle alors de clan ou tribu Miyake, englobant le créateur et ses fans. Par ailleurs, le créateur japonais a su interpréter le besoin de cette clientèle particulière, le désir d’unicité. Le style Miyake ne résulte en aucun cas d’un conformisme ou de déjà vu. Par cette originalité, il attire ses semblables, c'est-à-dire une clientèle avant-gardiste capable d’apprécier à sa juste valeur son travail. La clientèle est donc impliquée

par Peter Drucker : Il n’invente pas de nouveau produit mais opte pour une organisation de travail innovante qui rompt avec l’organisation traditionnelle de la relation clients et qui dote les Ressource Humaine d’une nouvelle capacité de création de valeur innovation organisationnelles. c. Caractérisez les objectifs de Projelect : * Objectifs innovation : changer relation client et partenaire * Objectifs marketing : connaitre et analyser besoin des clients * Objectifs profit : Dégager

Deuxième composante: la valeur du produit En quoi elle se différencie de la concurrence En quoi elle correspond à des critères au regard de la cible qui est la notre toute chose égale par ailleurs En quoi l’offre de produit ou de service simplément avec les reptésentations mentales de la cible du client La valeur c’est d’abord la representation mentale de client et pas la votre. Il ne faut pas confondre valeur réelle , valeur technique , valeur perçue: par le client. Valeur appropriable: depend

ainsi guidé les choix éventuels de diversifi- cation ou de recentrage. L’analyse de la chaîne de valeur verticale de conception-production-distribution de biens ou services (Porter 1985) permet de guider la recherche des sources de l’avantage concurrentiel dans une activité donnée. Il s’agit alors, en considérant toutes les étapes du processus, de s’interroger sur les sources possibles de création de valeur et sur l’intégration verticale (ou la désintégration). Pour interpré- ter les logiques d’efficience

Le conglomérat peut-être nuisible car les investisseurs ont tendance à avoir moins confiance en les groupes trop diversifiés, ils pensent que cela sera nuisible à la qualité et préfèreront donc se tourner vers des entreprises plusspécialisées. La création de géants peut également être nuisible car leur grande taille peut les rendre difficile à gérer. Dans d’autres cas une fusion ou acquisition peut être une manœuvre pour dissimuler et détourner l’attention d’un manque de croissance interne et ainsi

............4 1.3.1 L’innovation 4 1.3.2 La fidélisation et l’attraction de nouveaux consommateurs 4 2. Les opportunités 4 2.1 Levier de performance 4 2.2 Identification de leviers de croissance 4 2.3 Création de valeur 4 2.4 Compétitivité 4 2.5 Gains de productivité 4 2.6 Collaboration Inter-entreprises 4 Chapitre 2 : Une data-strategy pour les fonctions marketing : un facteur clé de succès 4 1. Les données au centre de la stratégie

CHAINE DE VALEUR DIRECTION GENERALE DU GROUPE HERMES DIRECTION DES AFFAIRES JURIDIQUES RESSOURCES HUMAINES RECHERCHES ET DEVELOPPEMENTS ACHATS RESEAUX DE DISTRIBUTION APPROVISIONNEMENT LOGISTIQUE FABRICATION EXPORTATION COMMERCIALISATION SERVICE Mise au point par Michael Porter, professeur de stratégie d’entreprise de l’Université d’Harvard, la chaîne de valeur est un outil d’analyse stratégique permettant d’identifier, au sein d’une entreprise ou d’une organisation, les différentes

FORCE / FAIBLESSE de l’entreprise à l’aide d’un certain nombre d’outil. S1 : la chaine de valeur C’est un outil qui a était présenté en 1986. La notion de chaine de valeur met en évidence les différentes activités qui sont à l’origine de création de valeur. M. Porteur classe les activités en 2 catégories : activité principale et de soutient. * Activité principale/primaire : activité qui concerne la création matériel du produit, sa vente, son transport jusqu’au client et le service après vente

les entreprises de la contribution des sociétés de conseil à la création de valeur s’avère imprécise. Question de critères, de grilles de lecture, de définitions ? Il semble évident que l’évolution rapide des métiers et l’absence d’outil reconnu de quantification de la création de valeur ont brouillé la perception qu’ont les entreprises de la profession de conseil en management. N’oublions pas que la notion même de création de valeur a fortement évolué depuis les années 1990. Une étude réalisée

Une maîtrise technologique reconnue, - Une notoriété commerciale mondiale - Une solidité financière apparente - Son business model est basé sur le principe d’enchères entre particuliers portant sur des objets initialement simples et de faible valeur - La mise en contact simultanée de plus de 70 millions de visiteurs réguliers de ses sites à travers le monde - Enchères organisées en ligne pour tous types d’objets - Un nombre sans cesse croissant de vendeurs et d’acheteurs (principalement des