Crépuscule des idoles

le Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes. Friedrich Nietzsche, pour sa part, est un philosophe, philologue et poète né le 15 octobre 1844 à Röcken en Allemagne. En 1882 il a publié le Gai savoir suivi du Crépuscule des idoles en 1888. Dans le texte qui suit, nous allons comparer l’anthropologie de Rousseau et celle de Nietzsche considérant les trois thèmes suivant: la raison, la morale et la relation entre l’individu et la société. Nous allons donc débuter par la

Confucius et le confucianisme E. Lévinas Le temps et l’autre * Liberté et commandement C. Lévi-Strauss Race et histoire * N. Machiavel Le prince M. Merleau-Ponty L’œil et l’esprit * E. Morin La complexité humaine F. Nietzsche Aurore Le crépuscule des idoles B. Pascal Pensées De l’esprit géométrique (principalement pour les Trois discours sur la condition des grands *) C. Pépin Ceci n’est pas un manuel de philosophie Platon Le banquet Gorgias J.-J. Rousseau Du Contrat social * Discours

(voir Bergson, Matière et Mémoire, éd. PUF, p. 148 et sqq) ; l’artiste enrichit notre perception du réel (Le Rire, éd. PUF du centenaire, p. 460-461). On peut enfin faire référence à la position radicale de F. Nietzsche (voir par exemple Le Crépuscule des idoles, "Flâneries inactuelles", § 24), pour qui l’art est une illusion certes, mais salutaire. C’est un mensonge au profit de la vie. L’art ne copie ni ne dévoile la réalité : il la transfigure. Cette opération de l’art permet à l’homme de supporter

 D.M Philosophie Friedrich Nietzsche est un philosophe du 19 ème siècle qui a beaucoup théorisé sur l'art, notamment dans Le Crépuscule des idoles  datant de 1889, quelques années avant sa mort. Dans cet extrait du Crépuscule des idoles que nous allons étudier, Nietzsche parle du mouvement de « L'art pour L'art » et présente son point de vue sur ce mouvement ayant une idéologie particulière. Pour lui l'art n'a pas de but et n'est pas guidé par une morale, mais il doit avoir une

celle d’un absolu. Nietzsche, qui se déclare un anti-métaphysicien convaincu dans le § 125 du “gai savoir”, proclame la mort de Dieu : “Dieu est mort ! Dieu reste mort ! et c’est nous qui l’avons tué”. Il réitère cette affirmation dans “Le crépuscule des idoles”. En m’appuyant sur différentes notions, je vais expliciter la pensée de Nietzsche en rapport avec l’idée de vérité. On ne peut pas qualifier Nietzsche de chercheur de la vérité. Pour lui, c’est une tromperie, un résidu de métaphores comme

tension et le martyre de l’incertitude. Ou l’expression de la maturité et de la perfection, dans le fait, dans la création, dans l’action et dans la volonté, la respiration tranquille, la liberté de la volonté conquise… qui sait ! Peut-être le Crépuscule des Idoles n’est-il aussi qu’une sorte de « Paix de l’âme ». Je formule ce principe : tout naturalisme dans la morale, autrement dit, toute saine morale, est commandé par un instinct de vie, toute sommation vitale contient une norme déterminée de «

expérience de pensée dont le but est la connaissance de l’homme. Friedrich Nietzsche est aussi un philosophe qui a vécu pendant l’époque moderne, au XIXe siècle. Il a élaboré sa conception de l’être humain dans le Gai Savoir en 1882 et dans le Crépuscule des Idoles, en 1888, dans lequel il critique l’importance de la raison. Ce texte expliquera les pensées de Rousseau et Nietzsche selon leurs idées de l’anthropologie. Aussi, il sera question d’une comparaison qui expliquera les ressemblances et les différences

Un philosophe doute, comme Platon, dans son allégorie de la caverne, ou Descartes, dans ses méditations metaphysiques, de la consistance de la réalité sensible. Il existe une réalité en soi, indépendamment de la conscience : Nietzsche, « le crépuscule des idoles » ou Martin Heidegger dans son livre « Etre et temps ». Il n'est qu'une partie infime du monde. 2°) Le « besoin de transformer le monde » peut contribuer à la connaissance de soi car l'homme doit se projeter, s'extérioriser. C'est une démarche

autre« acteur » bien connu du système normatif. Meursault manifeste une fois de plus son « étrangeté », expulse comme il se doit le digne représentant de Dieu pour se consacrer seul à la contemplation des étoiles. C’est ici, au « crépuscule des idoles » (ainsi que l’intitulait Nietzsche) que Meursault renoue avec le désir de vivre, dans la clairvoyance du condamné. Ne pleurons pas sur son sort, tout comme sur celui de sa mère, car les larmes sont hypocrites. Et d’ailleurs, à quoi bon pleurer sur

l'orgueil blessé.  (Le Gai Savoir) Quand on a la foi, on peut se passer de vérité. Quand la paix règne, l'homme belliqueux se fait la guerre à lui-même.  (Par-delà le Bien et le Mal) Il faut avoir besoin d'esprit pour avoir de l'esprit.  (Le Crépuscule des idoles) Plaisir : sensation d'un accroissement de puissance.  (La volonté de puissance) De quel désert est entouré le génie ! Mieux vaut ne rien savoir que beaucoup savoir à moitié.  (Ainsi parlait Zarathoustra) La connaissance est pour l'humanité