Cristallographie aux rayons X

que de l’imagerie par contraste chimique avec une résolution latérale de 1 µm Analyse d’une griffe dans un film mince Poussière lunaire Le microscope électronique (MEB) à balayage permet d'observer un objet avec un grandissement maximum de 50 000 x. La technique permet la détection de défauts en surface d’échantillons mais aussi en coupe. Une imagerie en contraste chimique est possible. Défaut de couche en coupe La technique EDX couplée au microscope est utilisée pour déterminer la nature des

Introduction............................................................................................................................................... 3 I. Les rayons X............................................................................................................................................4 II. L’analyse des rayons X..........................................................................................................................7 a) L’identification des phases cristallines

variations. En subissant les effets de la sélection naturelle, l'ADN permet l'évolution biologique des espèces. C'est au laboratoire Cavendish de Cambridge, qu'a été établie la structure en double hélice de l'ADN, grâce à la technique de diffraction des rayons X sur des cristaux de l'ADN5, qui est publiée dans Nature, le 25 avril 1953. On doit cette découverte à James Watson, alors âgé de 25 ans et Francis Crick, physicien de formation, qui reçurent tous deux le prix Nobel de physiologie et de médecine,

(température de fusion), son application est donc bien limitée. Une méthode de synthèse électrochimique a été étudiée pour élaborer δ-Bi2O3 sur un substrat d'inox. La nature et la stabilité de δ-Bi2O3 réalisé ont été confirmées par diffraction des rayons X (DRX) à température ambiante. La morphologie et l'état de surface du dépôt ont été étudiés respectivement par la microscopie électronique en transmission à haute résolution (HRTEM) et par la microscopie à force atomique (AFM). Le film δ-Bi2O3 est

Relation entre modèle moléculaire de l’ADN et dimensions déduites des radiographies RX : Travail sur un modèle de la molécule d’ADN de types A et B sur RASTOP, en relation avec les données extraites des autoradiographies obtenues par diffraction de rayons X sur ADN A et B (Rosalind Franklin): Mesure de distance (diamètre, hauteur d’un tour d’hélice, hauteur d’un couple de nucléotides, nombre de nucléotides par tour d’hélice), mesure de l’angle thêta donnant la pente de l’hélice. Repérage des carbones

magnétiques intéressantes. Le but de ce TP est d’observer l’effet d’un changement du cation métallique utilisé sur les propriétés magnétiques et cristallines de ferrites spinelles. Nous avons donc synthétisé un composé de Ni1-xZnxFe2O4, en prenant x=1. Le composé que nous avons produit est donc ZnFe2O4. I) Synthèse par voie céramique Pour cette synthèse, nous avons utilisé de l’oxyde de zinc (ZnO) et de l’oxyde de fer III (Fe2O3). La réaction chimique mise en œuvre est donc : ZnO

entre deux stries Z, définissant le sarcomère qui est l’unité contractile de la myofibrille. Coloration à l’acide osmotique renforce la vue des striations. On peut aussi le colorer au trichrome de Masson. En ME : On utilise la diffraction des Rayons X et de ME, pour examiner ces myofibrilles. Il apparaît en coupe longitudinale tout comme en coupe transversale que les myofibrilles vont correspondre à un assemblage de structures unitaires auxquelles ont donne le nom de myofilament. Il y a un myofilament

............................................................. 4 II - Différents nitrures de fer dans le diagramme de phase fer-azote : ....................... 5 III – Méthode des rayons X ................................................................................................... 7 III – 1. Principe des rayons X ............................................................................................. 7 III – 2. Phénomènes de diffusion et de diffraction ................................

T.P. n°1 Rayons X et loi de diffraction BUT : Il s’agit tout d’abord d’observer le phénomène de diffraction des rayons X sur un cristal de fluorure de nickel et d’en déduire la loi de Bragg. Nous pouvons ensuite déterminer la distance interéticulaire de cristal LiF. Nous réalisons par la suite la diffractogramme émis par une anticathode de cuivre afin de repéré les raies d’émission Kα et Kβ et la valeur de la longueur d’onde λmin. A – Observation de la diffraction On applique une haute

cristallisation, les impuretés sont rejetées dans la phase liquide ; •conférer au produit la bonne forme cristalline (morphologie, taille de particules, structure cristalline…) afin de l'étudier par différentes techniques comme la diffraction des rayons X ou pour lui assurer la stabilité et la biodisponibilité nécessaire dans le cas d'une substance pharmaceutique ; •dans le cas des polymères, accroître les propriétés mécaniques, voir Polymère semi-cristallin. Plusieurs approches sont utilisées