Crucifixion

La descente de la Croix DE RUBBENS: 1 - Que représente la scène ? La scène du tableau représente des hommes et des femmes qui descendent le corps de Jésus de la Croix, pour le récupérer après la crucifixion. 2 -Qui sont les personnages ? Les personnages qui entourent Jésus sont des hommes et des femmes qui ont eu un rôle majeur dans sa vie ( amis, famille, disciples …). -Le personnage au centre est Jésus. -Le personnage en bas à gauche est Marie Madeleine, disciple de Jésus . -Le

œuvre majeure de la Renaissance : leRETABLE D ISSENHEIM 1513-1515, de Mathias Grünewald REFERENCE AU RETABLE D ISSENHEIM Dans le retable d'Issenheim il est aussi question de mort de souffrance et de résurrection puisque le panneau central est une crucifixion (c'est à dire le Christ sur la croix). GRÜNEWALD choisit de peindre sans rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, mains et pieds arqués, chairs grises et meurtries par les clous, sang, pustules

structurés en arbre : les troncs des colonnes sont inclinés et se ramifient en branches et en feuilles. La Sagrada Família est une « Bible en pierre » dont les décorations reprennent les récits de la tradition chrétienne et de la vie du Christ. La crucifixion de Jésus est représentée au centre de la façade de la Passion . On peut observer sur la croix formée par les poutres de fer les traces du I de profil, première lettre de INRI (Iesvus Nazarevs rex Ivdærorvm: Jésus Nazareth roi des Juifs). À ses pieds

Bach: Knut NYSTEDT (compositeur norvégien 1915) - LIGETI: Lux Aeterna - LIGETI: Continuum pour clavecin - PÄRT: Miserere En Peinture, quelques tableaux illustrant La Passion du Christ : - ALDORFER Albrecht(1480-1538): La Crucifixion - ENGELBRECHT (XVIe siècle): La Passion du Christ - CAMBIASO Ottavio : St Augustin et Ste Marie Madeleine de Pazzi aux pieds du Christ en croix - JAN VAN NOORDT * (XVIIè):Le Christ en croix sur le Golgotha 1640

Ces deux derniers donnent une vision positive du monde et de l´homme qui est capable à répondre aux défis de la vie. Dans ces tableaux Bruegel cherche à peindre les émotions et les sentiments des personnages. Par exemple dans le tableaux de la crucifixion de Jésus, Bruegel s´intéresse aux émotions de Jésus, mais aussi au paysage réel. De temps en temps, Bruegel c´est laisser inspirer par Da Vinci, Botticelli et Michel-Ange. Beaucoup de ses œuvres présentent aussi la vie quotidienne des paysans

de la Renaissance Grünewald et, pour le panneau latéral gauche, la descente de croix de Rubens. En quatre panneaux, comme Grünewald et Rubens Otto Dix raconte ou plutôt s'inspire de la passion du Christ : la montée au calvaire (panneau 1), la crucifixion (panneau central), la descente de croix (panneau 3), la mise au tombeau (prédelle). Mais si, à l'image du Christ, les combattants de la Grande Guerre vivent la passion, pour eux il n'y a ni résurrection ni salut ! Le seul espoir dans ce tableau

croix. On retrouve aussi de nombreuses traces polychromes, notamment de dorures. Plusieurs têtes ont disparu, ainsi que l’ensemble du personnage du Christ et la partie centrale de l’arc qui l’entourait. A but lucratif, ce retable représente la Crucifixion (le centre de la doctrine du Christ, le sacrifice de Dieu), scènes du Nouveau Testament et de la vie de Saint Germer. Il est ici question d’un espace délimité dans un bandeau, avec à l’intérieur, des personnages dans le même plan, à peu près tous

parcours de Jésus après sa capture. Le jugement de Jésus, surmonté par l’aigle romain, il porte l’inscription Tibère, empereur de Rome. Ensuite, Véronique, elle soutient le suaire du visage de Jésus. Suivis des soldats tirant à pile ou face. Enfin la crucifixion de Jésus suivis des trois Maries autour du corps du Jésus. 1 ) La façade de la nativité raconte le triomphe de la vie, elle est formée de trois portails et de quatre clochers. Les travaux débutent en 1894 et s’achèvent en 1932. Cette façade montre

La "Nuit de Cristal" (Kristallnacht) est le nom donné au violent pogrom qui eut lieu les 9 et 10 novembre 1938, dans toute l'Allemagne et les territoires récemment annexés (Autriche et Sudètes), à l'initiative des dirigeants du parti nazi et des S.A. (sections d'assaut). L'origine du nom de cet événement est liée au nombre incalculable de vitres brisées des synagogues, magasins, centres communautaires et maisons appartenant à des Juifs qui furent mis à sac et détruits à cette occasion. Ce terme est

par hasard puisqu'il évoque avec son triptyque une oeuvre majeure de la renaissance Dans le retable d'Issenheim il est aussi question de mort et de souffrance puisque le panneau central de celui-ci est la représentation d'une crucifixion (c'est à dire du Christ sur la croix) que GRÜNEWALD choisit de peindre sans rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, chairs grises et meurtries par les clous, sang, pustules. Ainsi, en utilisant