Crue

traversé l’Arve et la route. Mais selon le PPR alors en vigueur, la zone de construction du lotissement était principalement « blanche » ; le risque lié à cette avalanche était limité à l'aval de la route, sans sa traversée. Crues torrentielles : La crue du Borne du 14 juillet 1987. Rive droite actuelle du Borne à l’emplacement du camping Le Borne est un torrent alpin tributaire de l’Arve, connu pour ses violentes crues d’été. Certaines d’entre elles occasionnaient des dommages plus ou moins

notamment des petits barrages, des boulis et de réservoirs divers. Les paramètres hydrologiques suivants sont utilisés pour le dimensionnement des ouvrages : Pour les barrages : les apports pour déterminer le volume du réservoir à créer et le débit de la crue de projet (décennale ou centennale) pour dimensionner l’évacuateur de crues ; Pour les boulis, les apports pour déterminer le volume ; Pour les bâches et réservoirs, les hauteurs de pluies pour déterminer le volume. II.1. PETITS BARRAGES EN TERRE

habitants et les poissons n’aiment pas ça !La conception d’un barrage hydroélectrique doit tenir compte des risques et les limiter au maximum :- Etude de la résistance aux crues : en 1889, le barrage de Johnston, aux États-Unis, cède sous l’effet d’une crue : 2 000 victimes. Tous les barrages sont aujourd’hui équipés d’évacuateurs de crues.- Etude de la résistance du barrage aux séismes. Il faut aussi tenir compte de la stabilité des sols entourant la cuvette de retenue : en 1963, un gigantesque glissement

Risque de crue, qui peut devenir important, et manteau neigeux instable. Débit saisonnier pour le Rhône. Pyrénées : 3,5 km² de glaciers / Alpes : 350 km². Retrait glaciaire est assez net : avant il y avait une calotte glaciaire bien visible. Recul des glaciers 10m/an sur la dernière décennie. Mais d’une année à l’autre on peut avoir des conditions qui temporairement changent. 45% Alpes, 85% Pyrénées ont disparu. 3) La difficulté de prévoir un risque multiforme et évolutif Crue => glissement

2kg de choucroute crue 2 gros oignons émincés 200gr de graisse d'oie 1litre de riesling 1 litre d'eau Enveloppés dans une gaze : 3gousses d'ail dégermées 2 clous de girofle, 1 feuille de laurier, 1 branche de thym, 6 baies de genièvre et 12 grains de poivre. Garniture : 1 palette de porc fumée 1 jambonneau ½ sel 400gr de poitrine de porc fumée 1 petit carré de porc fumé 8 saucisses de Strasbourg Progression : 1)Lavez à l'eau a plusieurs reprises la choucroute crue, puis l'égouttez en

l'espace intertropicale. Les inondations qui affectent toute les grandes vallée fluviale. Elles sont souvent due a de forte précipitation qui entraîne des crues très importante tel que au Bangladesh qui est confronté tous les ans a se genre de crue, celle ci inondent plus du tiers de sa superficie. C- Risque naturel aggravé par les hommes : L'activité des hommes peut aggravé les risques en modifient volontairement ou non les processus naturels, comme a Haïti ou la déforestation massive

passes équipées de vannes réglables. Leur système de gestion intègre les contraintes et de sécurité qui permettra d’évacuer le débit important d’une crue, même en cas de non-disponibilité d’une passe. Lorsque la crue est exceptionnelle le débit vers les centrales est réduit progressivement pour être transféré dans le lit naturel du fleuve. La pointe de la crue peut être écrêtée par étalement des eaux jusqu’aux digues des hautes eaux. a) impact des barrages : Les eaux stagnantes dues au barrage

Conakry. Ce fleuve allochtone a un bassin versant draine 300.000 km² et son parcours s’allonge sur près de 1.700 km. Les apports annuels moyens des cent dernières années sont de l’ordre de 24 milliards de m3 sous un régime très contrasté : une période de crue de juillet à octobre, une période de sécheresse où le débit est quasiment nul tout le reste de l’année. (Aavant la construction du barrage de Diama les eaux salées remontaient couramment au-delà de 200 km en amont de l’estuaire) (OMVS, 2003). Il constitue

inondations dans le Var : risques et valorisations du territoire. Les inondations sont la première cause de catastrophe naturelle. Par définition une inondation est un phénomène naturel ; c’est le résultat du débordement d'un plan d'eau le plus souvent en crue submergeant les terrains avoisinants à la suite de fortes pluies diluviennes. Les causes de ses inondations sont nombreuses et diverses selon l'endroit où elles se produisent en l’occurrence ici dans le Var. Ces dernières années le Var a été le théâtre

des techniques correspondrait donc à une maîtrise progressive de la nature. Mais lorsque l’on essaie de maitriser la nature alors celle-ci se renforce. Par exemple, la construction du barrage permettrait de maîtriser les crues d’un fleuve mais, une crue exceptionnelle pourrait passer au dessus du barrage. En effet, une force n’existe qu’en fonction d’une contre-force. La nature vient alors nous rappeler qu’elle peut se mettre contre la technique. On pourrait ainsi croire que la technique menace la