Culte impérial

remarquable que TRAJAN ait tente de financer par la guerre et son butin des dépenses qui seront plus tard demandes par l'ânonne, les réquisitions et les corvées aux populations et aux bourgeois des cites. En religion TRAJAN évite les excès du culte impérial et pratique envers les chrétiens une politique mesurée. Il fut un des derniers Empereurs à croire en une politique extérieure à la fois impérialiste et payante, en quoi il se trompait. Les résultats des guerres de Dacie et de Parthie très coûteuses

séculaires, fête religieuse extraordinaire célébrant l'avènement d'un nouveau siècle et le retour de l'âge d'or selon la conception cyclique du temps. A la mort de Lépide en 12 av. J.C., Auguste prend le titre de grand pontife et met en place le culte impérial, ciment de l'Empire. Désormais, tous les empereurs prendront soin de revêtir le grand pontificat. Ce rôle est promis à un grand avenir puisque le titre est encore assumé aujourd'hui par les papes comme un héritage multiséculaire des empereurs

romains. * Le texte de son édit indique qu’il veut « rendre grâce aux dieux » (l.3) et faire cesser « plaintes et libelles » (l. 2). « rendre grâce aux dieux » Cela veut dire qu’il désire étendre le culte impérial à tous les provinciaux, car c’est un culte rendu aux empereurs divinisés. Rendre ce culte montre la fidélité du citoyen à l’empereur. Faire cesser « plaintes et libelles » correspond au fait de simplifier les procédures administratives et juridiques car désormais les statuts individuels

chrétiens persécutés La nouvelle religion partie de Palestine, fait d'abord des progrès dans l'orient romain, puis gagne les autres parties de l'Empire. Périodiquement, les empereurs persécutent les chrétiens parce que ces derniers rejettent le culte impérial et le polythéisme. En 313, l'empereur Constantin adopte une politique de tolérance religieuse et met fin aux persécutions par l'édit de Milan. Il se convertit lui même au christianisme. Après Constantin, les empereurs sont chrétiens. Encouragés

comme Jupiter qui est le dieu du ciel. Pour les Romains, les dieux sont dans le monde, ils sont avec eux. La puissance des dieux inquiète, il faut donc vivre en bonne entente avec eux, en reconnaissant leur supériorité, et donc en leur rendant un culte par les rites. La religion est simplement de la « diplomatie » avec les dieux : on recherche la paix des dieux. II Le calendrier religieux Le calendrier romain est divisé en diverses sortes de jours, selon l'activité que l'on pouvait entreprendre

permission pleine et entière de pratiquer leur religion » et précisent que « la même possibilité d’observer leur religion et leur culte est concédée aux autres citoyens, ouvertement et librement ». Tel est l’essentiel de cette décision, si du moins nous suivons la version latine, qui parle de religio (« religion »), alors que la version grecque parle de thrèskeia, qui signifie « culte », dont l’équivalent latin est cultus et non religio. Pour la première fois, les autorités romaines reconnurent

l'adhésion au modèle urbain romain.  -l'adhésion à un nouveau culte public et officiel : le culte impérial, à partir de -30 avec le successeur de César : Auguste le premier empereur. Ce culte contribue à l'unification de l'Empire et à l'intégration des régions conquises. Le fait qu'il soit un culte public et officiel permet de mesurer la loyauté des habitants au régime. Il est organisé à tous les niveaux de l'administration. Le culte fédéral est organisé à Lyon (capitale des gaules depuis -12), au

La Religion Romaine, Yves Lehmann, Que sais-je ? (n°1890) « Si nous nous comparons aux peuples étrangers, nous nous révélons égaux ou même inférieurs dans les autres domaines ; mais dans la religion, je veux dire le culte des dieux, nous sommes de beaucoup supérieurs. » Cicéron « Quelle que soit notre propre complaisance envers nous-mêmes, Messieurs les Sénateurs, nous ne pouvons pas nous prétendre supérieurs aux Espagnols par le nombre, ni aux Gaulois par la force, ni aux Carthaginois par

"Icônes et culte des icônes dans l'Empire byzantin à l'époque du second iconoclasme (815-843)" Aujourd’hui encore, les hommes prennent les armes pour défendre leur interprétation d’une religion quant à la question des images. Douze siècles auparavant, l’empire byzantin se déchirait tout au long du VIII et IX siècle autour de la « querelle des images » en deux temps : deux périodes iconoclastes se succédèrent de 123 à 787 puis de 813 à 843 ; pendant ces périodes, la production d’images représentant

2) Pour faciliter l'existence des différentes religions, les autorités impériales via l'édit de Milan, donnent le libre choix de religion. Ainsi, aucune des religions existantes n'est interdite. Cela permet l’apaisement des conflits et emmène la paix. 3) Il y a une tolérance nouvelle qui s’installe vis-à-vis du christianisme au IVe siècle après J.C. Il n’y a plus de persécutions ni de martyrs. Le pouvoir impérial tolère et favorise de plus en plus l’église et le christianisme. En 337, le premier