Cursus honorum

la citoyenneté à des pérégrins et à leur famille Les citoyens disposent de nombreux droits et privilèges, entre autres le jus suffragii : droit de vote, ou le jus census : droit de propriété. La citoyenneté leur ouvre également les portes du cursus honorum, leur permettant d’accéder aux plus hautes fonctions de l’état. Ils ont tout de même des obligations, comme participer aux cultes publics, comme le Culte Impérial instauré sous Auguste, et payer certains impôts, comme celui sur les successions

rejoindre la classe des chevaliers. Recevant une formation en droit et en philosophie, le jeune homme partit achever ses études en Grèce, après avoir fait son service militaire. Cicéron se lança dans la politique en 75 avant Jésus Christ. Suivant le cursus honorum, il fut questeur, édile, préteur, puis consul. Cicéron laissa une image d'homme intègre, désireux de s’élever au dessus du débat opposant nobles et gens du peuple, et soucieux de débarrasser la classe politique de la corruption, de l’arrivisme

fils, Marcus peut avant son consulat. En 81 av JC, Cicéron se fit remarquer comme avocat. Ayant atteint l'âge minimum légal de 30 ans pour postuler aux magistratures, Cicéron se lance dans la carrière politique : en 75 av JC il entame le cursus honorum en étant élu questeur, fonction qu'il exerce à Lilybée en Sicile occidentale, et qui lui ouvre l'admission au Sénat. Il acquiert sa célébrité en août 70 av JC en défendant les Siciliens dans leur procès contre Verres, ancien proprépteur de Sicile

se trouvaient à la tête des corps auxiliaires, c'est-à-dire des unités d’armées composés de soldats qui ne possèdent pas la citoyenneté romaine, laissant ainsi le commandement des légions au légat d’auguste de rang sénatorial, ayant accompli le cursus honorum jusqu’à la préfecture. Ces troupes étaient surtout composées de pérégrins, mais on peut aussi y trouver des hommes de peuples habitants en dehors des limites de l’empire. Ces corps auxiliaires permettent à l’armée romaine d’intégrer des troupes

de l'empereur Caracalla étend ce doit à l'ensemble des hommes libres de l'Empire. Mais un exercice limité des pouvoirs: pas de véritable pouvoir politique, comme dans l'Athènes des 5ème et 4ème siècle, sauf pour les magistratures locales (« cursus honorum », ou carrière des honneurs, dans l'administration ou la justice). Pas d'égalité non plus: les familles les plus riches et les plus influentes (honestiores) occupent les plus hautes fonctions politiques et administratives, et bénéficient de privilèges;

|Q. CICERON, Petit manuel de |Robert Harris, Imperium, « jour |- Rappel de notions : comices | | |et d’être élu magistrat|campagne, V et XI |d’élections à Rome » |centuriates, cursus honorum et autres | | | | | |magistratures | | |

doctrine de Pythagore pour qui les nombres étaient essentiels et croyait à la réincarnation des âmes. Puis, Il fut envoyé en Egypte pour se soigner car il tomba gravement malade vers l’âge de 20 ans. De retour à Rome en l'an 31 il commença le cursus honorum (la course des honneurs) pour une carrière politique. Il devint un avocat brillant mais dont le succès fit ombrage à l'empereur Claude. Sur le conseil de son épouse Messaline( 3 ème épouse de Claude), Sénèque fut exilé en 41en Corse. Mais, il

Dans le domaine judiciaire, le citoyen romain est justiciable devant les seuls magistrats romains et peut recourir au jugement de l'empereur. Et enfin il y a des droits politiques. Seuls les citoyens ont le droit d’être élu et d’avoir accès au cursus honorum (« voie des honneurs »). Les carrières administratives, politiques, juridiques et militaires se déroulent par étapes et mènent aux plus hautes fonctions. Être citoyen romain, c'est également avoir des obligations

le fait d’appartenir à une catégorie supérieure de citoyens garantit un certains nombres de privilèges. Ici, ce sont des privilèges judiciaires mais ils existaient bien d’autres privilèges. On peut ainsi citer des privilèges politiques comme le cursus honorum, un privilège vestimentaire comme le droit de porter une toge ou bien encore le droit d’avoir une place réservée au théâtre. 3) Evoquer les autres caractéristiques de la citoyenneté romaine non mentionnées dans le texte – une idée + un exemple

environ trois cents chevaliers, pris parmi les gens de bien, qu'il fit élire séparément dans des comices par tribus. » De plus les magistratures ont été réformés, Sylla augmenta le nombre de prêteurs à 8 et le nombre de questeurs a 20, et le cursus honorum dû être mieux respecter avec les intervalles entre chaque magistratures pour diminuer les tensions politiques liée à un accès trop restreint à certaines charges publiques. Ligne 33/34 : « Il défendit qu'on pût parvenir à la préture avant que