Cyborg

encombré de contradictions, vers un monde plus ouvert à des évolutions fructueuses. Quelques exemples d'idees transhumanistes: - progression rapide de la medicine moderne: mutants, immortalité, etres hybrides... - Avénement de l'homme machine, ou cyborg, visé par differents chercheurs (comme Eric Drexler: un des pères des nanos technologies ) - Amelioration des performances humaines, ses capacités d'apprentissage, comme de défense, selon Mihail Roco (président de la NSET: National Science and Technology

le malabar des bières Qui swing les syllabes, Met la gomme jusqu'à l'abus Tu t'rebutes devant mes rébus Rencard au bar Abra carambar, Je brigue les brocs et truque les bocks j'me biture et turbine à la Tuborg Turbo cyborg comme bjon Borg Tête de céréales killla, Je marche pas mes mots, je les smatche Splash craft sur les fûts, v'là l'raffut Les big baroufs toujours à l'affut d'une soirée mousse Les capitaines Taverne t'avoinent, t'avertissent

siècle) chantaient leur beauté. - fordisme, taylorisme, travail à la chaîne, Chaplin dans les Temps Modernes : à lier avec la notion d’aliénation de Marx (double sens : extorsion de la plus-value, et monovalence du travail). - pêle mêle : le scarabée cyborg  est un scarabée téléguidable (militaire), les transhumanistes veulent améliorer l’espèce humaine en l’hybridant avec des prothèses technologiques (Humanité 2.0), les animaux GM (cf fiche). Quelques notions philosophiques : - Gestell (arraisonnement)

menacer notre humanité, jusqu’à la poser la question de l’humain dit “naturel". C’est le cas pour les transhumanistes qui utilisent la technique pour effectuer des améliorations physiques sur leurs corps, allant jusqu'à ne plus ressembler qu'à des cyborgs. Le transhumanisme consiste à utiliser la technique, non pour soigner l’humain, mais pour améliorer ses capacités physiques, intellectuelles, et mettre fin à la vieillesse et à la mort. Le transhumanisme pose donc problème car il n’est plus question

part depuis dix ans le sujet. Ayant le mérite d'être assez accessible, on y retrouve les problématiques les plus connues: la lutte contre le vieillissement, la guérison de maladies par la génétique, les questions éthiques propre à l'avènement des cyborgs et de la robotisation, les points de détails scientifiques dont je n'ai saisi que des bribes tant les nanotechnologies semblent être difficile d'accès. Tout se mélange dans mon cerveau et je ne sais plus quoi entendre ou qui croire. Tant d'informations

sont aussi de bons exemples de « beaux mensonges », car ce sont des romans imaginaires, ou les histoires se passent dans le futur, dans des mondes parallèles, ou encore dans nos mondes, mais dans une réalité n'existant pas encore (clonage,robots,cyborgs). Le roman de science-fiction de Isaac Asimov Fondation illustre parfaitement le « beau mensonge », car dans ce livre l'histoire se passe dans le futur de l'humanité, ou un homme crée une colonie sur une planète perdue pour sauvegarder le savoir des

que l'on appelle le cyborg c'est à dire une créature mi-homme mi-machine à aujourd'hui de farouche adeptes. A leur tête, on trouve un scientifique, le célèbre professeur Kevin Warwick. Cet homme hors de commun, considéré tour à tour comme un savant fou et même un génie visionnaire, est chercheur en cybernétique à l'université Reading en Grande Bretagne. {draw:frame} Kevin Warwick Pour lui, l'aventure a commencé en 1998, il a réalisé ce qu'il appelle le programme cyborg 1: se faire greffer une

sans se couvrir car le froid nous tuerait et on doit se munir de la technique pour se nourrir) on compense néanmoins cette faiblesse par une force mentale => l’intelligence compense. L’homme comme il ne peut vivre sans technique est par nature un cyborg. Comment chaque objet cristallise le fait d’être en société et avec les autres ? (penser exposé) Il y a une parallèle entre l’homme et la technique : l’Art. Dans la Grèce antique art = technique. Pendant la Renaissance art =/ technique. L’invention

dans ce domaine. Cette forme de réalité virtuelle peut être considérée comme un psychologie de la désincarnation, en ce qu'elle annonce en définitive la possibilité d'abandonner le corps obsolète et d'investir le paysage numérique sous la forme d'un cyborg. Considérée sous cet angle, la réalité virtuelle s'inscrit dans une vieille tradition de volonté de fuir le corps, tradition dont on peut situer l'origine au XVe siècle et à l'invention de la perspective linéaire. Or ce concept de désincarnation nie

améliorer condition humaine par dépassement limites génétiques / informatique (≠éducation / culture)Un antihumanisme :· Dépasser condition naturelle de l’homme => « l’homme a été un animal, il peut devenir un Dieu » => surhomme (cyborg) · Libération technique / individuelle (≠économique / politique => ≠ Lumières ) · Croisement de 2 prophéties auto-réalisatrices :· Humanisation de la machine