Cycle Audit Assertion

NORME CANADIENNE D'AUDIT NCA 200 objectifs généraux de l'auditeur indépendant et réalisation d'un audit conforme aux Normes canadiennes d'audit (En vigueur pour les audits d'états financiers des périodes closes à compter du 14 décembre 2010) La NCA 200 comporte des modifications par rapport à la norme ISA 200 correspondante. La préface du Manuel de l'ICCA – Certification fournit des explications sur ces modifications. | SOMMAIRE | Paragraphe | Introduction | | Champ d'application |

Normes Internationales d’Audit dans l’Audit des Petites et Moyennes Entreprises Traduction en français du “Guide to Using International Standards on Auditing in the Audits of Small-and Medium sized Entities” publié par l’IFAC en décembre 2007 Traduction faite par les soins et sous l’unique responsabilité de Néjib SFAYHI Audit & Systems –TUNISIE Avec la participation de Comité de traduction - Mme Mounira TLILI ép. BEN MILED - M. Mohamed Néjib BEN SAOUD Comité de pilotage - M. Hechmi

que celles-ci résultent de fraude ou d’erreurs, aux niveaux des états financiers et des assertions, et de disposer ainsi d’une base pour concevoir et mettre en œuvre des réponses à son évaluation des RAS. L’auditeur doit mettre en œuvre des procédures d’évaluation des risques dont les résultats lui serviront de base pour l’identification et l’évaluation des RAS au niveau des états financiers et des assertions. Les procédures d’évaluation des risques ne fournissent toutefois pas à elles seules des

fonctionnement de toute organisation. La notion de contrôle, appelée à prendre de l’ampleur dans la deuxième décennie de ce siècle, s’est ancrée dans les méthodes de gestion sous le terme d’audit. Ce terme provient du verbe anglais « to audit » qui signifie contrôler et vérifier. A l’origine, l’audit est un examen critique destiné à vérifier que l’activité de l’entreprise est correctement reproduite sur les documents comptables conformément à un référentiel comptable déterminé

tests de procédures 2A - évaluation du contrôle interne 2B - adaptation de l'approche d'audit 2C - établissement du programme de révision 3 - révision des comptes 31 - procédures analytiques 32 - contrôles substantifs 3A - conclusions sur les assertions d'audit 3B - préparation de l'opinion sur les comptes 4 - finalisation 41 - contrôle de l'ETIC 42 - examen des événements post clôture 43 - vérifications spécifiques (si la mission le prévoit) 4A - communication avec le gouvernement d'entreprise

comptables (Intec) La certification des comptes à la Sécurité sociale : cas de la Caisse Générale de Sécurité Sociale de la Réunion (CGSSR) Mémoire présenté et soutenu publiquement en juin 2010 en vue de l’obtention du Master en Comptabilité Contrôle Audit par Madame Irène ANDRIANTSOA Directeur de mémoire : Madame Marie-Astrid Le THEULE Le Conservatoire national des arts et métiers n’entend donner ni approbation ni improbation aux opinions émises dans ce mémoire. Ces opinions doivent être considérées

être choisies et présentées sans parti pris. LA VERIFIABILITE C’est la capacité d’une information ou d’une opération d’être enregistrée à l’appui des pièces ou d’une documentation probante. C’est la possibilité de retracer un chemin de révision (Audit Trail). LA COMPARABILITE C’est la capacité pour une information d’être présentée et évaluée de manière identique, au cours d’exercices distincts pour une entreprise, et pour différentes entreprises. LA CLARTE C’est la qualité pour une information

O. n° 239 du 14 octobre 2006. Elle remplace la norme « 2-203. Caractère significatif en matière d'audit» du référentiel normatif CNCC de juillet 2003. 1. En vue de formuler son opinion sur les comptes, le commissaire aux comptes met en œuvre un audit afin d'obtenir l'assurance, élevée mais non absolue, qualifiée par convention d'« assurance raisonnable », que les comptes pris dans leur ensemble ne comportent pas d'anomalies significatives par leur montant ou par leur nature. 2. Pour évaluer le

pendant/après l’activité de contrôle mais avant d’atteindre l’objectif final. Vérification d’une opération déjà entrée dans le système mais qu’on est encore capable de corriger. Ex : vérifier la saisie d’une transaction pour s’assurer qu’elle est bien ctb, audit interne (aussi préventif car le fait d’avoir comité d’audit interne peut aider à prévenir certaines choses), vidéo surveillance, etc. Type #2 : manuel ou automatisé Manuel : Intervention humaine nécessaire. Ex : paraphe du superviseur sur une facture

................................. 21 I. PRISE DE CONNAISSANCE ET PLANIFICATION DE LA MISSION ................................. 21 II. EVALUATION DU CONTROLE INTERNE ...................................................................... 27 III. AUDIT DES COMPTES ................................................................................................ 32 IV. TRAVAUX DE FIN DE MISSION ET REDACTION DU RAPPORT D’AUDIT ..................... 39 V. TENUE DES DOSSIERS DE TRAVAIL .............