Cythère

bien la série de fête Galante pas Antoine Watteau. « Dans l'embarquement pour Cythère » Watteau nous montre au travers d'une scène champêtre sa réflexion sur la constance des sentiments amoureux . Les narration et la composition de la toile nous montre une action entrain de se dérouler . Un même couple tout d'abord assis puis en train de se lever pour finalement se rédiger vers l'embarcadère soit pour aller sur Cythère soit pour la quitter ! L'auteur nous laisse décider de l'issu du récit en

Pour les Grecs, cette légende s'inscrit dans le nom même de la déesse : elle est « née de l'écume[6] » (ἀφρός / aphrós) — cependant, il ne s'agit en fait que d'une étymologie populaire, sans fondement[7]. Poussée par les Vents, elle vogue jusqu'à Cythère, puis Chypre. Ainsi s'expliquent, selon Hésiode, ses principaux surnoms : « Cypris » et « Cythérée », mais aussi son épithète homérique[8] φιλομμειδής / philommeidếs, qu'il interprète comme signifiant « sortie des testicules » (μήδεα / mếdea)[9].

comme le décrit Hésiode : « De cette écume une femme se forma, qui toucha d’abord à Cythère la divine, d’où elle fut ensuite à Chypre qu’entourent les flots ; et c’est là que prit terre la belle et vénérée déesse qui faisait autour d’elle, sous ses pieds légers, croître l’herbe, et que les dieux aussi bien que les hommes appellent Aphrodite pour s’être formée d’une écume, ou encore Cythérée, pour avoir abordé Cythère, ou Cyprogénaia pour être née à Chypre battue par les flots … ». De plus, l’Hymne

double le Malé » éloignent Ulysse de Cythère, c'est-à-dire de la route balisée du retour à Ithaque. La dérive va durer 9 jours avant de rencontrer les « mangeurs de fleurs ». En revanche, au chant V, la tempête entre l'île de Calypso et celle des Phéacinens symbolise la derniére épreuve du monde imaginaire, Ulysse redevient un homme parmi «  les mangeurs de pain ». Les tempêtes éloignent Ulysse d'Ithaque à deux reprises, au chant IX car il s'éloigne de Cythère et au chant X avec l'outre d'Eole, la

caractérise tout d'abord par l'utilisation de nombreuses couleurs chaudes et vives, ainsi qu'une forte utilisation du clair-obscure. Ces techniques permettent de mettre en valeur certaines zones d'une œuvre. Pélerinage à l'île de Cythère (1717) Le Pèlerinage à l'île de Cythère est un tableau d'Antoine Watteau, réalisé en 1718, il est aujourd'hui exposé au musée du Louvre. La peinture met en scène des nobles sur une île représentant le symbole des plaisirs amoureux.. On y retrouve les caractéristiques

existe-elle vraiment ? * * * En effet, ce voyage apparaît également comme un leurre, un mensonge. Le voyageur des Fleurs du mal est le plus souvent l’amant ou le frère comme dans « l’invitation au voyage » ou « un voyage à Cythère ». Mais c’est une figure rarement sereine ou joyeuse. Ainsi, dans « Bohémiens en voyage », les voyageurs perpétuels sont des êtres tristes, en marge, qui se heurtent à des « chimères absentes ». Cette figure du bohémien annonce d’ailleurs celle d’Apollinaire

auxquelles il aborda, Bougainville dut sa célébrité au séjour de La Boudeuse à Tahiti, en avril 1768. L'île, qui avait été découverte l'année précédente par le Britannique Samuel Wallis, lui sembla un tel enchantement qu'il la baptisa « Nouvelle-Cythère ». Après être rentré en France, à Saint-Malo, le 16 mars 1769, il publia, en 1771, le compte rendu de sa mission scientifique, sous le titreVoyage autour du monde. L'ouvrage fut un véritable succès, principalement en raison de sa description des mœurs

délire, s’il ne s’agit pas d’une seule et même personne ; le souvenir de Sylvie le replace dans le réel et il décide de se rendre à la « fête de l’arc » où l’on danse toute la nuit. IV — Un voyage à Cythère. En traversant un petit cours d’eau, le narrateur se rappelle L’Embarquement pour Cythère de Watteau. Il se retrouve assis auprès de Sylvie, laquelle le boude toujours car il n’est pas venu la voir depuis longtemps. Le narrateur ceint alors le front de Sylvie d’une couronne et tous deux se réconcilient

nouvelle connaissance de soi, et le relâchement. Cela concerne toutes les civilisations. Le troisième texte est extrait de Les Misérables écrit par Victor Hugo, 1862. Il raconte une forme de fête qui est le carnaval. Le dernier texte est Un voyage à Cythère de Gérard de Nerval, 1854. Il raconte la fête qui se passait dans les châteaux, une fête de convenance. Ensuite il y a un poème de Victor Hugo, La fête chez Thérèse du recueil Les Contemplations, 1856. Il illustre la fête qui s'y passe. C'est

l'univers de la campagne par rapport à celui de la ville a connu son apogée essentiellement sous l'Antiquité et aux XVIe/XVIIe siècles. - "fils de Cythère" : Cythère est l'île dont les eaux ont vu naître la déesse Aphrodite avant que celle-ci soit poussée par le zéphyr vers Chypre. Hérodote mentionne la présence d'un temple dédié à la déesse dans l'île. Cythère = amour. Cette référence mythologique s'inscrit parfaitement dans la littérature pastorale. - tonalité élégiaque à partir du vers 77 : "hélas"