Décasyllabe

métaphore de la femme.  Ce poème suit la structure traditionnelle du sonnet en ce qui concerne la succession strophique des deux quatrains et des deux tercets mais opère un bouleversement dans la structure des vers et des rimes. L’alternance d’un décasyllabe et d’un octosyllabe, parallèlement à l’éclatement partiel du schéma rimique (ABBA.ABBA.CDCDCC) font de ce sonnet un texte particulier entre héritage et innovation.  II) Analyse  L’animal « Chat » est une métaphore de la femme, nous le voyons

réguliers dans des poèmes à forme fixe; à partir de Rimbaud et Aloysius Bertrand on trouve le plus souvent des vers libres. 1) LA SYLLABE: unité de mesure du vers français. -Le nombre de syllabes dans un vers détermine le mètre (octosyllabe, décasyllabe ou alexandrin) - «  e muet »: en fait, c'est celui lorsqu' il est sonore qui nous intéresse, et on l'appelle ainsi par mise en garde!c'est un e qui termine une syllabe et qui la fait exister en tant que telle lorsque la syllabe suivante débute

repris à la fin = circularité du poème. d. Nombreuses répétitions dont le refrain donnent une impression de monotonie, de plainte, et rapprochent ce texte d'une complainte. 2. L'AMBIGUITE DU TEXTE. a. Vient de l'absence de ponctuation et du décasyllabe qui ne permet pas d'imposer un sens au texte, ce qui provoque plusieurs lectures. b. ambiguïté du temps: dominant = présent de vérité général et de méditation. Present du subjonctif exprime un souhait. 3. ECOULEMENT DE L'EAU ET DE L'AMOUR.

la nature, donc les champs lexicaux de ce sonnet sont envers la nature (cieulx, la mer, le vent, lys, le soleil) et les sentiments (amour, grace, haute valeur, bonheur, gracieulx). Par rapport à la versification, on peut dire que les vers sont décasyllabe avec dix poids et les rimes sont embraseés. La ponctuation n'est pas pertinente pour notre discussion. Les virgules apparaisse seulement pour énumérer quelques termes. Il y a seulement un enjambement, le rejet et contre-rejet sont respectivement

diérèse = dédoublement de 2 syllabes b) Les différents vers. 1 = monosyllabe | 2 = dissyllabe | 3 = trisyllabe | 4 = quadrisyllabe | 5 = pentasyllabe | 6 = hexasyllabe | 7 = heptasyllabe | 8 = octosyllabe | 9 = ennéasyllabe | 10 = décasyllabe | 11 = endécasyllabe | 12 = alexandrin | ≠ Prose * Retour à la ligne * La rime n’est pas obligatoire « Le ciel est comme la tente déchirée d'un cirque pauvre dans un petit village de pêcheurs  En Flandres Le soleil est un fumeux quinquet

également se trouver dans les souvenirs de l’amour ou bien dans sa célébration. Pour finir nous verrons la versification et la forme du poème. Durant la pléiade, le poème de du Bellay est très cadré et respecte les règles : c’est un sonnet en décasyllabe composé de rimes tout d’abord embrassées, puis plates et enfin embrassées à nouveau. « […] amassait, […] vagabondes, […] profondes, […] chassait. » vers 1, 2, 3, 4. Durant le romantisme, le poème d’Hugo est composé de quatre quatrains en alexandrins

allitérations. S’il disait préférer « l’indécis au précis » ce n’était certainement pas dans l’élaboration de la technique poétique ; Car Paul Verlaine sait écrire selon les règles classiques, (qui privilégient les césures paires, l’alexandrin ou le décasyllabe) mais choisit de faire autrement. Les mots de Verlaine ne servent pas seulement un propos, ils servent une émotion. Décrire un sentiment peut permettre au lecteur de l’intellectualiser, de le comprendre, mais pas de le ressentir totalement. C’est

d'une injuste rigueur, (12 alexandrin) Je demeure immobile, et mon âme abattue (12 alexandrin) Cède au coup qui me tue.(6 hexasyllabe) Si près de voir mon feu récompensé,(10 décasyllabe) ô Dieu, l'étrange peine ! (6 hexasyllabe) En cet affront mon père est l'offensé, (10 décasyllabe) Et l'offenseur le père de Chimène ! (10 décasyllabe) 

« sous le pont de nos bras » où s'ajoute le symbole de solidarité et d'amour mais aussi de souvenir. Les distiques ( les refrains ) sont ambiguës, car il représentent l'antithèse de cette solidarité ( antithèse du pont ) alors que l'utilisa° du décasyllabe « les mains dans les mains, restons face à face ». À aucun moment Apo ne cite le nom de Marie, ce qui donne au poème un aspect universel ; le lecteur peut se mettre à sa place mais aussi penser à leur amour à l'évocation du pont Mirabeau. B)L'ambiguïté

Paul Eluard, un des chefs de file du mouvement surréaliste, Capitale de la douleur, publié en 1926 et dédié à Gala, sa muse et première épouse. Ce poème, constitué de trois quintils, de décasyllabes pour les deux derniers et de vers de trois mesures différentes – trois alexandrins, un octosyllabe et un décasyllabe – pour le premier, est un éloge de la femme aimée, dont le pouvoir des yeux est source de vie. I. UNE METAPHORISATION DES YEUX (= procédé qui consiste à mettre en métaphores) Comment