Dégoût

s’agira donc de voir comment l’auteur parvient à nous convaincre d’être contre la peine capitale. Nous allons donc montrer le caractère de cet extrait afin, par la suite, d’expliquer l’indignation du peuple face aux crimes commis et en suite le dégoût ressenti après avoir assisté à l’exécution du criminel et pour enfin présenter de quelles façons l’auteur dénonce la peine de mort. Comme nous l’avons dit précédemment, le caractère de cet extrait est particulier. Il donne à voir deux types

trouve pas la trahison de sa mère horrible, il a quand même peur que la dignité de sa famille soit bafouée. II- Attitude vis-à-vis le mariage A) Pierre Articulation -Le mariage n’est pas une priorité. --------------------------------- -Dégoût des femmes et du mariage Illustration «Il y a des jours où il faut savoir tout sacrifier, [...] m’établir ensuite.» (l, 4172-4175) --------------------------------- -«  S’il avait été le marie de cette femme, lui, son enfant, il l’aurait saisie

sur la paume de la main, elle regardait les invités de sa tante et de son mari, elle les voyait à travers une sorte de brouillard jaune et fumeux qui sortait de la lampe. Toutes ces têtes-là l’exaspéraient. Elle allait de l’une à l’autre avec des dégoûts profonds, des irritations sourdes. Le vieux Michaud étalait une face blafarde, tachée de plaques rouges, une de ces faces mortes de vieillard tombé en enfance ; Grivet avait le masque étroit, les yeux ronds, les lèvres minces d’un crétin ; Olivier

péjoratifs qualifiant (la foule) « …des mortels la multitude vile » montre le dégoût de Baudelaire pour ces semblables v.6 et v.7 « le fouet du plaisir », « ce bourreau », « fête servile » Il accuse l’homme d’être l’esclave de son plaisir ; plaisir malsain v.8 « donne-moi la main » Il demande et cherche une délivrance Strophe 3 v. 8 et v.9 l’enjambement Met en relief « loin d’eux » ce qui montre le dégout de Baudelaire à être avec ses semblables v.10 allégorie de « les

rage). C’est un homme pris d’un désir immodéré de possession ( convoitise), épris d’une passion excessive (furieux, enragée) pour Madame Arnoux. Le superlatif “ plus forte que jamais” renforce cette impétueusité. Puis quelques mots plus tard, le dégoût l’envahi, la femme aimée a vieilli, elle suscite chez lui répugnance, aversion ( répulsion dans le texte). L’image épouvantable d’un inceste jaillit en lui. Il préfère la fuite ( tourner les talons) et penser à autre chose, sa nervosité nous est

récompense mais ne montre pas d’autres signes d’affection. 3) Point de vue de l’autre enfant Même vêtements que le point de vue précédent. La lumière est ici très vive et les couleurs sont très saturées ce qui amène rapidement un sentiment de dégout. Dégout qui se retrouve chez l’enfant qui n’a pas eu le gâteau. La musique est très lourde et dérangeante : Nyan Cat façon distordue. L’enfant regarde sa sœur en train de manger comme une goinfre car elle personnalise sa façon de manger sous l’effet

qui avait écrit des courtes pièces de piano. Les sonorités et le visuel se mêlent dans cette courte poésie en distiques d’octosyllabe. Le mot anglais « spleen »se traduit par un état mélancolique, sans cause apparente qui peut aller de l’ennui au dégoût de l’existence. On partagera le plan en deux parties à fin de mieux dégager sa structure. Le premier axe portera sur les moyens de mise en valeur des sentiments mélancoliques du poète et le deuxième sur les procédés qui on été mis en place à fin de

le rat d’égout (on peut entendre rat… « dégoût » / rat « des goûts » ??) peut nous faire réfléchir sur le fait que ce que certains trouvent beau…. Peut être jugé hideux par les autres. Cf. Les réactions variées face aux grands peintres, notamment les peintres réalistes comme Courbet, les impressionnistes qui ont choqué à l’époque (Monet, Manet, Van Gogh…) ; les cubistes (Picasso, Braque) . = allez voir qqs tableaux de chaque sur Internet ! - Le rat dégout ne dérange pas Serge, il aime le trouver

de nombreuses émotions. Chaque poème aussi différent soit il, a un registre et des procédés rhétoriques appropriés qui laissent au lecteur le bénéfice de s'immerger dans le poème, de partage le ressenti de tous les personnages. Nous éprouvons du dégout, de la répulsion envers la Vénus de "Vénus anadyomène" lorsque Rimbaud emploi l'oxymore "Belle hideusement d'un ulcère à l'anus." ou bien "Hop! Qu'on ne sache plus si c'est bataille ou danse!" avec le registre de l'ironie dans le poème "Bal des pendus"

appel à des stratégies conscientes ou inconscientes pour dépasser cette difficulté afin que sa prise en soins n‟en soit pas influencée. Nous tentons d‟éclairer le sujet au travers de cinq grands thèmes : la profession infirmière, les émotions, le dégoût, le tabou et les stratégies. La littérature et des entretiens semi-directifs, menés auprès d‟infirmières d‟un département de chirurgie, nous apportent des éléments de réponse. Il est clair que ces sentiments influencent la prise en soin, mais cela