Demain ne meurt jamais

notre infini sur le fini des mers. Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent Pour partir, coeurs légers, semblables aux ballons, De leur fatalité jamais ils ne s’écartent, Et sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons ! Amer savoir, celui qu’on tire du voyage ! Le monde, monotone et petit, aujourd’hui, Hier, demain, toujours, nous fait voir notre image : Une oasis d’horreur dans un désert d’ennui ! Charles Baudelaire, Les fleurs du mal. Charles Baudelaire :

devons+.] 2 ME DABIS QUEM QUI Me citeras-tu quelqu'un qui PONAT ALIQUOD PRETIUM TEMPORI donne une valeur au temps, quelle qu'elle soit, QUI AESTIMET DIEM qui estime +à sa juste valeur+ un jour, QUI INTELLEGAT SE MORI COTIDIE qui comprenne qu'il meurt chaque jour. ENIM FALLIMUR IN HOC QUOD En effet nous nous trompons lorsquePROSPICIMUS MORTEM nous voyons devant +nous+ la mort: JAM MAGNA PARS EJUS PRAETERIT Déjà une grande partie de cette dernière est passée. MORS TENET la mort possède QUICQUID AETATIS

(1961-Aujourd’hui) « Il meurt lentement »(«A morte devagar ») Il meurt lentement Celui qui ne voyage pas, Celui qui ne lit pas, Celui qui n’écoute pas de musique, Celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux. Il meurt lentement Celui qui détruit son amour-propre, Celui qui ne se laisse jamais aider. Il meurt lentement Celui qui devient esclave de l’habitude Refaisant tous les jours les mêmes chemins, Celui qui ne change jamais de repère, Ne se risque jamais à changer la couleur De

non n'y changera rien, parce-que tu n'arriveras pas à changer mon humeur, tu me diras de vulgaires banalités, pour te faire passer pour un super ami, laisse-moi dans mon état, je me débrouille comme une grande. J'ai toujours été forte, personne n'a jamais rien remarqué, j'ai toujours répondu "ça va merci", pour ne pas tout expliquer, parce-que tout le monde en a rien à faire. Tu sais, je n'aime pas dire que je vais mal, je n'aime pas me plaindre sur ça, car y a des gens qui ont vécus des choses bien

mais je pensais que c'etait juste un je taime d'amities et rien d'audre mais chaque fois que le jour passait il me disait de plus en plus meme que il me disait en anglais defois mais voila apres je suis tomber son son charme meme si je sais qu'il va jamais aimer une fille comme moi je connais ses gout et je ne suis pas son genre de fille peut etre ma cousine mes pas moi. Defois je me sens tellement moche a cause de mes bouton et mes petit poil sur mon visage en fait jaime pas mon visage jaime rien sur

chemin La voix qui monte des fers Parle aux hommes de demain J'ai tout dit ce qu'on peut dire L'exemple du Roi Henri Un cheval pour mon empire Une messe pour Paris Rien à faire Alors qu'ils partent Sur lui retombe son sang C'était son unique carte Périsse cet innocent Et si c'était à refaire Referait-il ce chemin La voix qui monte des fers Dit je le ferai demain Je meurs et France demeure Mon amour et mon refus

registre lyrique. 3) Thèmes chers aux romantiques : l’Amour, dont il est question ds ce texte. Jamais dissociable de la souffrance, par analogie avec la vie et la mort. En quoi ce poème est-il un texte lyrique/ romantique ? I. Le cycle de la vie 1) Mort Champ lexical de la mort : « s’incliner ; tombe ; nuit » v. 4 et 5 Cf la Nature 2) Résurrection de la Nature « tout meurt ce soir pour renaître demain » v. 12  antithèse On évoque la nature pour parler de l’évolution de la vie 3) L’espoir

narrateur du roman , il étudie à Jussieu il proteste pour la cause Maoïste. Il est naïf, il n'a jamais quitter la France . C'est un homme blessé et tourmenté depuis son agression par des militants d’extrême droite son genou le fait souffrir. Samuel Akounis , réfugié grec, metteur en scène , juif . Il rejoint le groupe militant maoïste et y rencontre George. C'est la qu'ils deviennent ami. Il meurt d'un cancer en phase terminal. Marwan est le chauffeur libanais de George. Il

violente Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine Apollinaire Demain Âgé de cent-mille ans, j'aurais encore la force De t'attendre, o demain pressenti par l'espoir. Le temps, vieillard souffrant de multiples entorses, Peut gémir: neuf est le matin, neuf est le soir. Mais depuis trop de mois nous vivons à la veille, Nous veillons, nous gardons la

avoir de kilos en trop″, ″je ne veux plus être pauvre″, ″je ne veux plus être seul″ ou ″je ne veux plus être à découvert sur mon compte en banque″. Si beaucoup de gens sont totalement incapables de vous dire comment ils veulent que leur vie de demain soit, d’autres ne voient même pas l’intérêt de se poser la question. Ils ont appris des choses pendant leur scolarité, ont obtenu des diplômes, ont appris leur métier, et maintenant ils sont en vitesse de croisière, vivent chaque jour plus ou moins