Despote

Chapitre 3 : Napo, tyran, despotes ou dictateur ? Despote : modalité des monarchies absolues : despote = souverain avec une légitime institutionnellement, qui se donne des pouvoirs personnels. Le despote cesse d’être légitime s’il méconnait les droits naturels. Phénomène des despotes éclairés, « Il n’y a pas de despote fou il n’ya que des fous ». Le dictateur : notion romaine. Il obtient temporairement et exceptionnellement les pleins pouvoirs en réponse à une menace, souvent extérieure, mais

Voltaire « Tyrannie », Article du Dictionnaire Philosophique explication linéaire Def assez canonique, suivie d'une réflexion sur ce qui est préférable, d'un ou plrs despotes forme d'un article de dictionnaire, condamnation d'une situation politique inacceptable, en en soulignant les petits ridicules, par ironie plus didactique que polémique, pas de hargne militante, art de 64, avt radicalisation liée à l'affaire du chevalier de la Barre. Mvmt : 2 paragraphes définitoires 2 paragraphes

«J'ai cherché la vérité et j'ai trouvé la justice. J'ai inventé l'indépendance de l'art et de l'esprit. J'ai dressé pour la première fois en face, de ses dieux, l'homme prosterné depuis quatre millénaires. Et du même coup, je l'ai dressé en face du despote. » Cette phrase d'André Malraux (1901-1976) figure dans « Hommage à la Grèce », un discours prononcé au nom du gouvernement français à l'occasion de la première illumination de l'Acropole le 28 mai 1959. Ce discours a été repris dans un recueil

Variante du despotisme qui s’est développée au milieu du XVIIIe siècle, le pouvoir y est exercé par des monarques de droit divin dont les décisions sont guidées par la raison et qui se présentent comme les premiers serviteurs de l’État. Les principaux despotes éclairés ont ainsi entretenu une correspondance suivie avec les philosophes des Lumières, et certains d’entre eux les ont même soutenus financièrement. On trouve parmi les monarques éclairés : Charles III d'Espagne, Marie-Thérèse et Joseph II d’Autriche

appuient bien l’idée qu’un retour à l’oppression passée est absolument exclu. Troisième couplet : la guerre aux despotes, ces ennemis de la patrie Quoi ! des cohortes étrangères Feraient la loi dans nos foyers ! Quoi ! ces phalanges mercenaires Terrasseraient nos fiers guerriers ! (bis) Grand Dieu ! per des mains enchaînées Nos fronts sous le joug se ploieraient De vils despotes deviendraient Les maîtres de nos destinées ! La Bruyère écrivit en 1688 : « Il n’y a point de patrie dans le despotisme »

et évoque des scènes de la vie parisienne. On y trouve une satire des institutions. Un grand nombre de lettres touche à des questions religieuses, morales ou politiques. Montesquieu s'exerce à propos du Pape, du Roi représenté  sous l'aspect d'un despote oriental. Auteur expose ses idées sur les colonies, sur l'esclavage, sur les lois. Il esquisse le portrait d’une république idéale fondée sur la vertu (De la lettre 11 à la lettre 14). Il inaugure une méthode nouvelle et étudie non plus l’homme en

France une image de supériorité économique et militaire par rapport aux autre pays de l'Europe, répondit Rousseau à Voltaire. - Mais pourtant à sa mort le roi a laissé son peuple dans la misère avec une économie délabrée. Ne pensez-vous pas qu'un despote éclairé serait plus soucieux du progrès économique et social du peuple et donc être garant de son bonheur! De plus sous une monarchie absolue de droit divin, nous, hommes des lumières, ne pouvons pas exprimer et diffuser nos idées, sinon nous risquons

II entreprend des réformes dont l’éducation, entre autre. Cela fait de ce monarque un ''despote éclairé'', à la fois seul maître de son État mais aussi à son service. Le ''despotisme éclairé'' est une doctrine politique issue des philosophes du siècle des Lumières. Le pouvoir s'y exerce par des monarques absolus, de droit divin dont les décisions sont guidées par la raison. L'action des ''despotes éclairés'' est parfois qualifiée de moderne pour leur inspiration philosophique mais aussi

détesterais moins la tyrannie d’un seul que celle de plusieurs. Un despote a toujours quelques bous moments; une assemblée de despotes n’en a jamais. Si un tyran me fait une injustice, je peux le désarmer par sa maîtresse, par son confesseur, ou par son page; mais une compagnie de graves tyrans est inaccessible à toutes les séductions. Quand elle n’est pas injuste, elle est au moins dure, et jamais elle ne répand de grâces. Si je n’ai qu’un despote, j’en suis quitte pour me ranger contre un mur lorsque je

française ? Y-a-t il eu rupture ou continuité ? Annonce du plan : « Pour répondre à cette question nous nous demanderons d’abord si Napoléon n’a pas achevé la révolution. Puis, dans une deuxième partie nous verrons que Napoléon est à la fois un despote qui ne rompt pas complètement avec la révolution. Enfin, dans une troisième partie nous étudierons comment l’œuvre de Napoléon a continuer la révolution. » Mobilisation des connaissances : - 212 à 218 pour ce qui est Napoléon : plébiscite