Despote

image du maître régnant sur les femmes qui lui sont soumises apparaît en amont dans l'extrait lorsque le personnage, rongé par le désir constant de réussite, poussait la clientèle féminine à la dépense, et « régnait sur toutes avec la brutalité d'un despote ». Cette comparaison apporte un caractère violent à ce désir. Cette volonté ne se limite alors plus à la violence, elle « ruinait les ménages ». Apparaît alors une fois de plus l'immoralité d'un tel désir. Mais le narrateur accentue encore les vices

beaucoup de phrases longues. Il attire beaucoup de gens. Scène écrit dans le registre épique, une description Mouret est considérés comme un conquérant victorieux. Il y a le champ lexical de la royauté : « caprice », « conquis », « despote ». Il est assez méprisant. Dimension religieuse : « culte », « sa création ». Il est conscient d’avoir réussi. On dirait un soir de bataille car il y a des métaphores guerrières. On dirait une scène vu comme dans un tableau. Il fait des

Utilisation de chiffre très élevé Jeux d’inversion de la première partie 3. Permettant à Voltaire de présenter son idéal politique : Un monarque libéral, proche du peuple, comme un père, et qui gouverne une société sans délinquance Ou despote éclairé Une civilisation essentiellement urbaine avec propreté. Une société courtoise qui a des connaissances Ainsi à travers l’innocence de Candide, Voltaire crée un jeu de décalage qui lui permet de mettre en avant son idéal politique

Jean RacineIl fallait faire preuve d’un certain courage, au XVIIe siècle, sous le règne de Louis XIV, pour critiquer le pouvoir absolu du souverain. Jean Racine réussit ce tour de force en mettant en scène, dans sa tragédie, l’un des plus grands despotes que le monde occidental ait connus : l’empereur Néron. Le pouvoir de Louis XIV, monarque absolu, est comparable à celui de Néron, car Louis XIV gardait sous sa protection des écrivains comme Néron qui imposait son idéal classique, sa vision de l’art

puisque les efforts du despotisme s'appesantissaient encore plus durement sur nos têtes que sur les leurs. » Comparaison « plus chère qu'à eux » avec les hommes pour insister sur la valeur de la liberté aux yeux des femmes qui sont victimes de despotes non seulement dans la société avec le régime de la monarchie absolue mais aussi au sein de la famille avec le « despotisme familial » et le « despotisme conjugal »Les impératifs « armons-nous », « allons » et « ouvrons » et le subjonctif à valeur

Prusse: ou Frédérique le Grand fait entrer son pays dans la cour des grandes puissances européennes. Après avoir un temps fréquenté Voltaire, il devient célèbre pour être l'un des porteurs de l'idéal du prince du siècle des Lumières en tant que « Despote éclairé ».   -        Catherine de Russie: Catherine imprimait une activité nouvelle à l'agriculture et à l'industrie, fondée sur la pensée des Lumières. Catherine fit établir un canevas pour réformer les lois. Elle réorganisa l'administration provinciale

“boursouflé” indique mauvaise utilisation, mauvaise digestion des sciences. Antithèse avec termes positifs liés aux lumières et à leurs valeurs 9) il veut commander en despote sur un sexe qui a reçu toutes les facultés intellectuelles ; terme “despote” : voir tyran et opprimer pour analyse. Le “despote” exerce une autorité excessive et illégitime. Périphrase sur les femmes “un sexe qui …” indique que femmes méritent égalité avec hommes. Implicitement dénonce représentation des

Révolution ? (...) Plan de la dissertation: Introduction I) Napoléon, fossoyeur de la Révolution A. Un pouvoir autoritaire B. Un contrôle total de la population II) Le caractère despotique du pouvoir napoléonien est à nuancer A. Un despote mais un adepte des lumières B. Un contrôle du territoire qui respecte les acquis administratifs de la Révolution C. Des liens avec l'Eglise catholique qui respectent les acquis de la Révolution III) Napoléon, continuateur de la Révolution

recherche de son intérêt personnel afin de garantir son ascension sociale mais cet esprit de compétition le pousse à agir pour le bien général. ➢ Le régime despotique : celui «  sans loi et sans règle connues du public » où celui qui gouverne, le despote" entraîne tout par sa volonté et ses caprices ". C’est le règne de la crainte et de la terreur où domine oppressions et tyrannie. A travers la comparaison de ces trois régimes, Montesquieu va alors se demander comment éviter que les gouvernements

maladie agit en fait comme un révélateur et met en évidence la réelle personnalité face aux obstacles. Le second exemple que nous allons traiter est la dictature. Dans notre Histoire, les hommes ont souvent été confrontés à la montée au pouvoir de despotes ou d’illuminés qui bafouent le droit fondamental. Face à ces dictats, les hommes peuvent réagir de plusieurs façons : soit se soumettre en se taisant, soit profiter de l’occasion en collaborant ou encore s’opposer en combattant le pouvoir en place