Deuxième République

comme le suggère l’expression « L’Homme aimera toujours mieux la beauté d’une femme queson esprit ». Une superficialité que George Sand, dans Histoire de ma vie, attribue à « une mauvaise éducation » à laquelle elles sont condamnées. De même, dans Le Deuxième Sexe, l’essayiste nousexplique qu’une femme, superficielle ou non, elle reste une personne forcé d’être tels que l’on veut la voir comme l’indique la phrase « l’individu n’est pas libre de se modeler à sa guise ». Ainsi, lestrois auteurs mettent

Dissertation ECJS. 5.11.14 1eES1 Dans cet extrait du livre « le deuxième sexe » de 1949 de Simone de Beauvoir, philosophe et romancière parisienne du 20e siècle. Simone de Beauvoir dénonce la place de la femme dans la société de manière implicite. Le rapport de force entre les hommes et les femmes a-t-il vraiment lieu d’être ? Cette soumission de la femme existe t’elle dans toutes les sociétés ? Tout d’abord nous aborderons les arguments allant à l’encontre de ce rapport de supériorité

société « devenue marbre en devenant boue » l.12 « qui la touche à froid » l.13, »elle est la figure deshonorée et sévère » l.14. L’auteur veut qu’on arrête cet esclavage, il encourage les femmes à croire en elles l.20-21. - Simone de Beauvoir, Le deuxième sexe : Femme privée de ses libertés, on lui refusait tout espoir de devenir plus intelligente »toute possibilité d’accomplir une œuvre leur était refusée » l.2-3. Elle est comparé au Noirs qui sont au même niveau qu’ elle. Naissance de la femme libre

Eventuellement, rappeler les notions inculcation/interaction, inné/acquis, nature/culture Section 2 : Comment les différentes instances de socialisation construisent-elles les genres ? Introduction : Notez cette citation de Simone De Beauvoir (le deuxième sexe) « on ne naît pas femme, on le devient » et commentez . Question orale : Quelles sont les principales instances de socialisation que vous connaissez ? Réponse attendue : les médias, la famille, l’école. A/ Les médias Question : a)

III/ La mixité à l’école A/ La place de la fille à l’école Simone de Beauvoir Le deuxième sexe livre II : L’expérience vécue (1949) Chapitre II : La jeune fille «  C’est vers treize ans que les garçons font un véritable apprentissage de la violence, que se développent leur agressivité, leur volonté de puissance, leur goût du défi. C’est justement à ce moment que la fillette renonce aux jeux brutaux. » « La sportive n’éprouve jamais l’orgueil conquérant d’un garçon » « Comme les bagarres

la justice, qui est le problème de la conciliation des intérêts particuliers et de l’intérêt général. En gros, on peut envisager deux solutions possibles à ce problème. D’abord la solution « idéale », telle qu’elle s’exprime dans la thèse de la République de Platon selon laquelle la seule manière de faire cesser les maux qui agitent les cités, c’est de faire que les philosophes (les « amoureux de la sagesse ») deviennent rois ou que les rois deviennent de vrais et d’authentiques philosophes.

la justice, qui est le problème de la conciliation des intérêts particuliers et de l’intérêt général. En gros, on peut envisager deux solutions possibles à ce problème. D’abord la solution « idéale », telle qu’elle s’exprime dans la thèse de la République de Platon selon laquelle la seule manière de faire cesser les maux qui agitent les cités, c’est de faire que les philosophes (les « amoureux de la sagesse ») deviennent rois ou que les rois deviennent de vrais et d’authentiques philosophes. Dans

manière différente et, de plus, chacun des gouvernements, du même pays, défendent une éthique et une morale propres à eux. En conséquent, ceci provoque des conflits politiques et met en avant plusieurs définitions différentes de la justice. Dans La République de Platon, plusieurs philosophes, dont Thrasymaque, ont étudié le concept de la justice et certains d’entre eux concluent que l’injustice absolue est la plus parfaite des justices. Dans le fond, l’injustice absolue consiste à paraitre juste tout

La compréhension du terme ''justice'' varie d'une personne à l'autre. Son large sens ouvre la porte à la subjectivité et fait naître bien des débats. Dans le livre de Platon, La République, celui-ci relate plusieurs dialogues qu'a eu son maitre, le grand philosophe Socrate, sur ce même sujet. Notamment, une discussion entre celui-ci et Thrasymaque, un sophiste. Ces deux interlocuteurs s'attardent sur la définition de la justice. Thrasymaque affirme que la justice n'est nul autre que l'intérêt du

conformer activement à la loi : par souci de justice, parce que l’on comprend l’importance de la loi pour le bien de tous. - Mais on peut aussi se conformer à la loi par crainte de la sanction et pour préserver sa tranquillité. Ainsi dans la République de Platon, Glaucon soutient-il que les hommes ne sont pas justes volontairement. Dès qu'il a le pouvoir de mal faire sans crainte, le sage lui-même ne résiste pas. Qu'on lui donne licence comme à ce Gygès dont parle la fable, de se rendre invisible