Dharma

"complexes" comme on les appelle en psychologie) d'énergies négatives. Le 3e va vers la droite et installe en nous la pure connaissance, puis la sagesse et enfin l'humilité. Le 4e va vers le haut et développe en nous l'absence de peurs, puis le pouvoir du "dharma" (juste comportement) et enfin la capacité d'obtenir la "conscience collective" par l'éveil de la Kundalini. Au niveau physique, il gère l'élimination des déchets et en partie la sexualité. Egalement, c'est lui qui protège contre tout élément étranger

lui-même, mais n'a pas les capacités de libérer d'autres êtres. Est samyaksambuddha (sanskrit, pāli sammāmsam-buddha), bouddha pur et parfait, celui qui a atteint l'éveil pur et parfait (samyaksambodhi) par lui-même et a les capacités d'enseigner le dharma. Atteindre cet éveil demande de suivre la voie de bodhisattva. C'est ce dernier type que désigne le plus souvent le terme bouddha. L'exemple le plus célèbre en est le Bouddha historique, Shakyamuni, mais d'autres samyaksambuddha sont reconnus et

l’antiquité jusqu’à ce que l’invasion musulmane du 12ème siècle l’exclu dans certaines régions. Ce droit hindou est fondé sur l’idée que chaque individu doit se comporter conformément à sa place dans la société. Tout cela étant fondé sur la notion de DHARMA c'est à dire la manière dont on doit se comporter afin d‘exprimer l’ordre universel, naturel, immuable qui s’impose à nous. En l’occurrence ce droit hindou comporte principalement un ensemble de devoirs ce qui le différencie de la conception occidentale

traduction littérale est sciences. Ils ont été rédigés dans le passé par des sages vénérés. Les sâstras sont placés en 3 genres correspondant aux 3 mobiles qui peuvent déterminer les comportements : vertu, intérêt et plaisir. La vertu est appelée Dharma-sâstra et indique les règles morales permettant d’atteindre la béatitude éternelle. L’intérêt est appelé Artha-sâstra et est la science de l’utile et de la politique. Elle enseigne aux hommes l’art de s’enrichir et aux princes l’art de gouverner :

2 Les religions en Inde 3.2.1 Le pluralisme religieux de l'Inde 3.2.2 Qu'est-ce que l'hindouisme ? 3.2.2.1 La notion d'hindouisme 3.2.2.2 La « sanskritisation » de l'hindouisme 3.2.2.3 Les formes et la diversité de l'hindouisme 3.2.3 La notion de dharma 3.3 Bouddhisme 4 Typologies et classifications 4.1 Classifications en histoire des religions 4.1.1 Inclusion des religions dans la religion chez Hegel 4.1.2 Les concepts de l'histoire des religions : Polythéisme, monothéisme, hénothéisme, animisme

revenir à l' ile je pense qu'on a suffisemment de réponses sur elle c'est un lieu mystérieux, portail entre le monde des morts et des vivants ou réside une douce lumière doré, symbole des mystères de l' univers une force inexplicable que la science (Dharma) n'a su controler et expliquer. cette lumière est reliée aux origines de l' univers , elle controle l' espace et le temps, la vie et la mort. L'ile a accueilli des peuples depuis des temps immémoriaux, on peut penser que son exploitation a commencé

Il donne des fonctions à chacun. Ainsi il fait d'Indra [Indra], le roi des dieux. Brahmâ intervient seulement de façon occasionnelle dans les affaires des dieux, et encore plus rarement dans celles des mortels. Il est considéré comme le père de Dharma et Atri. Transcendant la dualité, il accorde ses bénédictions indistinctement aux dieux et aux démons. Le Brahmâloka est le Paradis (lieu de séjour) de Brahmâ et de ses serviteurs (Brahmâkayika). Brahmâ est la personnification du brahmane, c’est-à-dire

nom donné à une population agro-pastorale nomade et guerrière de race blanche, venue du plateau iranien. Ils envahissent le nord de l'Inde vers -1700 avant J.C. Ayant une forte croyance religieuse envers leur dieu suprême, Indra, qui imposait son dharma ou loi, par la guerre sainte. Ils refoulèrent vers le sud les dravidiens et les autochtones qui furent présents bien avant eux. Ils furent bien hiérarchisés : au sommet, on trouve les brahmanes, ensuite les guerriers, puis les commerçants et enfin

d'existence substantielle. La « vacuité » est au fondement de la faute que du sujet de la faute. L'enseignement de maître comme Zhiyi vise, en dernière analyse, à la prise de conscience de la vacuité de tous les « dharmas » (les éléments de l'expérience). Non pas parce que ces « dharmas » ne sont rien – le bouddhisme n'est pas un nihilisme –, mais parce qu'ils n'ont pas de réalité auto-subsistante : ils sont tous le produit du mécanisme de la « co-production conditionnée ». Ainsi que le dit le Soûtra

- Parfois, il quitte le ciel pour intervenir sur Terre. Il prend donc la forme d’un « avatara », sorte de déguisement d’apparence soit animale, soit humaine. Cela lui permet d’œuvrer sur Terre sans être reconnu de tous. Il rétablit alors le dharma, c’est-à-dire le bon ordre spirituel et moral dans le monde. - AVATARAS : - Matsya= Le poisson : Dans cet forme, il réussi à mettre fin à un grand déluge marin. - Kurma= La tortue : Dans cette forme, il réussi à redonner les biens premiers