Diffraction

: ONDES ET MATIÈRE TP : DIFFRACTION DES ONDES LUMINEUSES A. ÉTUDE QUALITATIVE 1. En l'absence de fente, on observe un spot lumineux sur l'écran. 2. Figures de diffraction : L fente verticale : horizontale avec une tache centrale large et des taches latérales plus étroites. Plus la fente est étroite, plus la tache centrale est large : le phénomène de diffraction est d'autant plus marqué que l'obstacle est petit. fente horizontale : figure de diffraction est verticale. fil vertical

formées par un télescope sont naturellement limitées en qualité par le minimum de diffraction. Les lois de la lumière imposent à un télescope, même idéal, d’avoir une réponse impulsionnelle imparfaite. En ce sens, l’observation d’un point ne sera pas un point mais une tâche d’Airy. Cette tâche vient Imagerie à haute résolution – Livrable final – Augustin Colas & Chi Hak Uy 1 simplement de la diffraction qui s’opère lors du passage de la lumière de l’étoile dans l’ouverture du télescope

TP3 : Optique ondulatoire Diffraction et interférence de la lumière But du TP Ce TP à pour objectif de mettre en évidence le phénomène de diffraction et de vérifier la formule donnant l’interfrange « i » pour deux différentes largeurs de fentes ainsi que déterminer la distance entre deux fentes. I)DIFFRACTION PAR UNE FENTE Théorie : L L'intensité lumineuse diffractée à grande distance dans la direction repérée par l'angle θ (supposé petit) de la figure est donnée par la

poussière (raison pour laquelle les boîtes de nuit combinent les lasers et les fumées). En 1678, Christian Huygens propose une théorie ondulatoire de la lumière, publiée en 1690 dans son Traité de la Lumière. Thomas Young expérimente en 1801 la diffraction et lesinterférences de la lumière. En 1821, Augustin Fresnel énonce que la conception ondulatoire de la lumière est seule capable d’expliquer de façon convaincante tous les phénomènes depolarisation en établissant la nature transversale des ondes

perdre le puit foré Tête de forage Figure 1 : Description d’un puit de forage L’utilisation d’un granulomètre pour la mesure de boue de forage 10 Boue avant forage 9 Boue après forage L’analyse granulométrique, basée sur la diffraction de la lumière laser est une technique simple d’utilisation pour la mesure de particules dispersées en voie sèche et voie liquide. Dmoyen= 35 µm 8 Volume (%) 7 Dmoyen= 3 µm 6 Toutes les boues de forage et les liquides porteurs

l’expérience, En utilisant l’approximation des petits angles : (avec θ en radians) En utilisant le document 3, OM = 8,0 μm = 2,2857×10–5 rad = 2,3 ×10–5 rad = 23 µrad 2.2.3. La relation entre l’écart angulaire θ entre le centre d’une tache de diffraction et le milieu de la 1ère extinction est : donc (avec θ en radians).  = 2,2857×10–5 × 0,2×10–6 = 4,57×10–12 m = 5 pm avec un seul chiffre significatif. L’ordre de grandeur de cette longueur d’onde est le picomètre ce qui est en accord avec les

Diffraction RX Diffraction RX - interaction faible entre photons et matière - désavantage : peu de signal, mais on a des sources puissantes - avantage : la théorie est plus simple Diffraction RX Sources des rayonnement incohérents  P   P1  P 2  A1 exp{i (1t  k 1r1 )}  A2 exp{i (2t  k 2r2 )   (t )}, I (t )   P1   P 2  2 2 A12  A2  2 A1 A2 cos{(1  2 )t  (k 1r1  k 2r2 )   (t )} I obs  I (t ) t  t t Fréquences différents Facteur de phase 2 A12 

Diffraction Objectif : -Vérifier la diffraction de la lumière, avec l’aide de différentes manipulations. Matériel : • Fente • Laser • Écran • Règle graduée • Crayon • Papier • Clip Schéma : D : distance entre la fente et l’écran Fente : F1 : 0,4 mm F2 : 0,28 mm F3 : 0,12 mm F4 : 0,1 mm F5 : 0,05 mm F6 : 0,04 mm F7 : 0,07 mm Protocole : 1. Pour

etc.). Dans la plupart du temps le trajet direct n’existe pas, il est obturé par des obstacles (masques). En milieu urbain, il y a de nombreux obstacles entre l’émetteur et le récepteur et le mobile reçoit des ondes dues aux réflexions et aux diffractions qui se combinent après avoir effectué des trajets de longueurs différentes. La transmission est le phénomène qui permet aux ondes de traverser un obstacle (mur, immeuble, végétation, etc.). Plusieurs mécanismes interviennent alors dans la propagation

propagation des ondes ultrasonores est par conséquent bien différente par rapport aux métaux, et les techniques ultrasonores classiques s’avèrent souvent inadaptées : déviation des faisceaux par l’anisotropie, atténuation par effet thermoviscoélastique, diffraction par les interfaces entre plis, etc… Il est donc indispensable d’ajuster plusieurs paramètres (fréquence, focalisation, positions des palpeurs, milieu de couplage, etc…) pour adapter les procédés de CND/END existants ou encore de redéfinir de nouveaux