Dilemme Du Prisonnier

concurrents 3. Hypothèses de la théorie des jeux 1. La rationalité 2. L’interdépendance 4. Principes de base pour le stratège 1. Prendre le point de vue du concurrent 2. Elaborer en avançant, puis déduire en reculant 20 Théorie des jeux: Un dilemme du prisonnier 21 Illustration 6.6 Le jeu séquentiel d’Innova et Nasda 22 

normale) lorsque les stratégies des joueurs y apparaissent explicitement ; la représentation de ce jeu sous forme de tableau est communément utilisée dans les jeux à un coup comme ceux illustrés dans les deux exemples suivants. Exemple 1 : dilemme du prisonnier Stratégies : 1) pub comparative : coût = 1, bénéfice = 3 pris à l’autre 2) pas de pub II Pas pub 2, -3 0, 0 Pub Pub Pas pub -1, -1 de -3, 2 de I Remarque : • les vecteurs (x , y) donnent le gain x de I, et y de II, • il s’agit d’un

celle d’au moins un autre est souvent sollicité quant à l’appréciation des issues du jeu. L’optimalité parétienne implique qu’un état est optimal s’il n’existe pas un état qui lui soit unanimement préféré. Un exemple célèbre de jeu est le dilemme du prisonnier: deux suspects qui ont commis un crime ensemble sont interrogés séparément ; ils ont tous les deux le choix entre dénoncer leur complice, avec une commutation de peine, ou garder le silence. Ce jeu possède la matrice de paiement suivante, où

d’anticipation des décisions des autres ex : dans un concurrents même groupe stratégique, nbre restreint de 185 Les jeux simultanés : Le dilemme du prisonnier Concurrent A Dépense mkg Dépense mkg élevé faible Concurrent B Dépense mkg élevée A=5 B= 5 B = 12 A=2 Dépense mkg faible A = 12 B= 2 A=9 B= 9 186 Les jeux simultanés : Le dilemme du prisonnier Identifie les situations dans lesquelles les acteurs ont intérêt à collaborer Pour autant, - la stratégie dominante (ie. qui conduit à

de jeux coopératifs/ non coopératifs– compétitifs/ non compétitifs – répétitifs/ non répétitifs : * Jeux à intérêt communs; Jeux à somme nulle ou les intérêts y sont parfaitement antagonistes ; Jeu type fureur de vivre ; Jeu type dilemme du prisonnier qui fait ressortir une tension entre intérêt individuel et collectif (achat par internet, course aux armements, collusions et commission européenne). Limites de la théorie des jeux : * La TJ ignore l’éthique, elle néglige le bien- être

différents types de jeux coopératifs/ non coopératifs– compétitifs/ non compétitifs – répétitifs/ non répétitifs : *Jeux à intérêt communs; Jeux à somme nulle ou les intérêts y sont parfaitement antagonistes ; Jeu type fureur de vivre ; Jeu type dilemme du prisonnier qui fait ressortir une tension entre intérêt individuel et collectif. Limites de la théorie des jeux : * La TJ ignore l’éthique, elle néglige le bien- être des êtres humains. * C’est la théorie de l’égoïsme, qui nuit aux intérêts

la décision d’un joueur peut être prise en fonction des décisions et stratégies des joueurs précédents. • Les jeux finis : On dit qu’un jeu est fini lorsque l’ensemble des stratégies de chacun sont fixées à l’avance. Exemple : le Dilemme du prisonnier • ETC …

puisque dans les deux cas la société serait gaganante par rapport à Innov Conseil tandis que si elle coopère, soit elle ne gagne rien, soit le gain sera inférieur à celui d’Innov Conseil. 7) Il peut en effet s’agir d’une situation analogue au dilemme du prisonnier puisque dans ce problème, chaque acteur tente de maximiser ses bénéfices sans essayer d’en faire autant avec ceux de l’autre. Ainsi, l’entreprise Innov’Conseil cherche à gagner un maximum d’argent mais ne se préoccupe pas de savoir l’impact

que l’homme a d’user son pouvoir pour sa vie. Il le fera selon son jugement et sa raison propres. Le problème d’action collective : Déf : Situation où la rationalité individuelle entre en conflit avec la rationalité collective. Il y a le dilemme du prisonnier : 1- Opportunisme 2- Situation idéale (Coopération) 3- Situation réelle (Absence de coopération) 4- Dupe La structure du problème d’action collective : 1- Je récolte les bénéfices, vous assumez les coûts. 2- Nous assumons tous les

longtemps, c’est-à-dire les personnes qui font des carrières les plus longues sont ceux qui savent coopérer. Le fameux dilemme du prisonnier pose avec une remarquable clarté le problème de la coopération. Quelle que soit la situation, il est donc toujours plus avantageux de dénoncer et de jouer la carte de l'intérêt individuel que de coopérer. Si chacun fait ce raisonnement, les prisonniers vont probablement choisir de se dénoncer mutuellement, ce choix étant le plus rationnel, en référence au modèle de